Coup d'État du 11 septembre 1973 au Chili

soviétiques. La seule exception est la Yougoslavie qui maintient une certaine distance avec l’URSS. Dans le bloc occidental, les États-Unis ne tolèrent pas de politiques socialistes en Amérique du Sud (exemple du Chili avec Allende, le dirigeant voulait instruire des politiques socialistes ; en 1973, la CIA (Central Intelligence Agency) intervient et renverse le dirigeant pourtant élu à deux reprises au suffrage universel). Les États-Unis et l’URSS s’affrontent indirectement dans des conflits régionaux

superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1947 et 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est en 1947, sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch, que l’expression « Cold War » apparaît pour la première fois[1]. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann[2]. D'après Raymond Aron, il s'agissait d'une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un

la participation américaine dans la politique étrangère est importante. En 1976, dans les dictatures d’Amérique latine, des opposants disparaissent comme par magie. On préssent que Washington y est pour quelque chose. En 1973, Pinochet au Chili prend le pouvoir par un coup d’État rendu possible grâce à l'aide de la CIA. Le président américain Ronald Reagan s'investit énormément dans l'opposition de l'expansion communistes au Tiers-monde. Tout d'abord il installe un régime démocratique au Salvador

ont mené une chasse contre tous les mouvements ou groupuscule de gauche suspecté de véhiculer l’idéologie communiste : aussi de nombreux coups d’états ont été perpétré dans nombre de pays d’Amérique latine avec l’implication officielle ou officieuse des offices et agence fédérales américaine on se souviendra notamment du coup d’état du général Pinochet au chili contre le gouvernement du socialiste Allende avec la coopération de la CIA. Pendant une bonne partie du siècle dernier, le soutien

au XIXe siècle. Après l’accession à l’indépendance, le Gabon se lance dans le chemin de fer transgabonais, construit de 1973 à 1986. Train de transport de passagers et de marchandises (manganèse, bois), reliant la capitale Libreville à Franceville (sud-est) sur 800 km. Projet pharaonique du président Omar Bongo, qui l'opposa aux bailleurs de fonds ; l’alors jeune chef d'Etat se déclara déterminé, si nécessaire, à « pactiser avec le diable » pour le faire construire. Vital pour l'économie nationale

AR Domaine internet .ar Indicatif téléphonique +54 L’Argentine, en forme longue la République argentine, en espagnol Argentina et República Argentina [reˈpuβlika aɾxenˈtina], est un pays d’Amérique du Sud partageant ses frontières avec le Chili à l’ouest, la Bolivie au nord-ouest, leParaguay au nord, le Brésil et l’Uruguay au nord-est et à l'est, et l’océan Atlantique à l'est et à l'extrême sud. Le pays proclama son indépendance le 25 mai1810 lors de la révolution de Mai, indépendance définitivement

les Italiens ont une grande victoire. L’Autriche arrête le combat donc l’Allemagne est seule. En mars 1918, le maréchal Foch devient chef des alliés. Il organise la contre offensive contre l’Allemagne, avec de nouvelles armes comme chars et avions. Le 11 novembre 1918 l’armistice est signée à Rethondes, dans la forêt de Compiègne. B – Comment la première guerre mondiale inaugure-t-elle la mort de masse ? 1 – L’expérience de combattre. Dans les tranchées les conditions sont difficiles, c’est

14,7 % | 1972 | 14,1 % | 1973 | 14,6 % | 1974 | 15,7 % | 1975 | 13,1 % | 1976 | 6,9 % | 1977 | 7,3 % | 1978 | 10,1 % | Suivent trente années de crise politique marquées par la proscription du péronisme, sans que l'Argentine ne regagne son influence économique, entre dictatures militaires (« Révolution libératrice » de 1955, « Révolution argentine » de 1966) et gouvernements civils maintenus sous étroite surveillance de l'armée. Après les élections de 1973 qui marquent le retour du péronisme

intérêts particuliers dans des zones clés (ex : route maritime du sud). Ils n’hésitent pas à intervenir directement lorsqu’ils le jugent nécessaire comme en témoignent plusieurs opérations (Gautemala-1954, Cuba-1961 et 1962, Saint-Domingue-1965, Chili-1973, Grenade-1983) Du côté soviétique : l’interventionnisme direct de la puissance soviétique n’a longtemps affecté que l’Europe de l’Est (Budapest, Tchécoslovaquie), il faudra attendre 1979 pour voir l’Armée rouge intervenir directement dans le Tiers-monde

York le 11 septembre 2001 changent la nature des relations internationales. Peut-on parler de nouvel ordre international ou de désordre international. N’est-on pas passé dans un monde unipolaire dominé par l’hyperpuissance américaine ? I. LES RELATIONS EST-OUEST : « LA GUERRE FRAICHE » 1975-1985 Ü Un contexte troublé à partir des années 1973-1975 ð Dérèglement du système économique mondial du fait de la crise du $ et de la fin de la convertibilité en or de la devise américaine en 1973, du fait