Coup De Foudre Phèdre

l’expression du „coup de foudre“ eut pour premier sens un événement inattendu et en général désagréable, qui générait beaucoup de surprises. Le „coup“ se traduisait par la stupeur d’un bouleversement brutal et impressionnant, on l’associa déjà à cette époque au domaine sentimental et aux émotions. La „foudre“, quant à elle, symbolisa la rapidité ,d’où l’expression „rapide comme un éclair“, mais également le feu, qui au figuré renvoie à la passion. Mais la métaphore du "coup de foudre", en tant qu’émotion

“Phèdre” (1677) Tragédie en cinq actes et en vers Analyse Intérêt de l’action Racine est fidèle aux sources : - “Hippolyte couronné” d’Euripide dont le texte nous est parvenu et qui avait été précédé d'un “Hippolyte voilé”, également d'Euripide, mais perdu. Racine a, comme il le dit, «suivi une route un peu différente [...] pour la conduite de l'action» et a imité quelques scènes. - “Phèdre” de Sénèque, elle-même imitée d'Euripide : il lui a emprunté en particulier l'aveu de Phèdre

de Phèdre, tragédie que Racine rédige à la fin du XVIIe siècle, dépasse le cadre traditionnel de la scène 1 de l’acte I : en effet, le dialogue entre Théramène et Hippolyte qui ouvre la pièce crée un effet d’attente. Rien ne permet encore d’expliquer l’étrange comportement de Phèdre, et la haine qu’elle semble vouer à son beau-fils. Ce n’est donc qu’à la scène 3, au cours de laquelle Phèdre avoue à Œnone, sa nourrice, l’amour qu’elle éprouve pour Hippolyte, que prend fin l’exposition. Phèdre apparaît

PHEDRE Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d’Egée Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi, Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les

l'emporte sur l'honneur et le devoir comme dans Phèdre. En effet, la passion de Phèdre est extrême à tel point qu'elle ne veut même pas prononcer le nom d'Hippolyte: « Tu connais ce fils de l'Amazone, Ce prince si longtemps par moi-même opprimé ? » Cette passion n'est pas n'importe laquelle, c'est véritablement un coup de foudre: « Je le vis, je rougis je palis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. » Mais cette passion est insurmontable car Phèdre est frappée par la malédiction de Vénus: « Je

Explication de texte Jean Racine, Phèdre, 1677, acte I, scène 3 (l’aveu de Phèdre à Œnone : v.269-290) Introduction : La 3e scène de l’acte I voit formulé le premier aveu de la pièce : pressée par sa nourrice et confidente Œnone de lui révéler les raisons du mal qui l’affecte depuis quelque temps et qui la fait dépérir, Phèdre, animée par des pensées suicidaires, est contrainte de se dévoiler. Toute la scène est ainsi tendue vers la révélation de l’amour incestueux qu’elle éprouve pour Hippolyte

in die Französische Literaturwissenschaft Hausarbeit Nr. 1 Dr. Dahan-Feucht 1. Semester Jessica Knöfler 15.04.2013 L´analyse et interprétation de « Phèdre » Introduction Le drame respectivement la Tragédie „Phèdre“ de Jean Racine paru en 1677 est une œuvre qui respecte les principes du théâtre classique grec et possède cinq actes. « Phèdre » n´est pas seulement le titre de l’œuvre mais aussi le nom de l’héroïne de la tragédie. Les personnages principaux sont introduits par Jean Racine dans

ACTE I , SCENE 3 - Très grande intimité entre Phèdre et Oenone. Oenone est à genoux : « Par vos faibles genoux que je tiens embrassés » -> marque de respect. - Pour obtenir l'aveu de Phèdre, Oenone utilise : - l'affection : « Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés » - le questionnement :« Que faites-vous, madame ? », « Aimez-vous ? » - les ordres (injonctions) : « Délivrez mon esprit de ce funeste doute » «oublions-les, madame ». - les reproches : -par rapport à ce qu'elle

Universalité de la nature humaine peinte Acte 1 scène 3 : Vers 269 10dernier vers = veut se tuer fait aveu avant de songer à mourir peinture dla passon racinienne Passion = negatif pour racine V 273 coup de foudre pour phedre Devient Aphasique a sa vue Metaphore du chaud , de la flemme de la passion boulversement du corps et de l’esprit Impuissance de la raison et de la volonté Passion racinienne = faillite de la raison et de la volonté humaine Lutte : -prière = Pris venus pour

I. Une scène d'aveu 1. Un aveu différé Lié a la culpabilité de phèdre avouer = commettre un crime - " Le fils d'amazone " périphrase : retarde l'avey - " Ce prince " 2. Un amour coupable Aveu = torture - Hyperboles " Le comble des horreurs " x3 - intensité dramatique de la scène = superlatifs Mots évoqés quelques choses d'intense " déplorable " = Grande intensité à la scène, présence de la mort ! - réaction d'Oenone : énumération; exclamations, hyperboles et anaphore qui montre