Coup De Foudre Roméo Et Juliette

et châtiment’’ de Dostoïevski : Frantz est un nouveau Raskolnikov ; la vieille duchesse est semblable à l'usurière ; Monime fait penser à Sonia. Néanmoins, les différences sont profondes : dans le roman de Dostoïevski, Sonia apprend le crime après coup et tombe amoureuse de l'assassin ; dans le drame d'Anouilh, Monime se sent complice du crime. Frantz retrouve l’amour de Monime comme Raskolnikov, s'étant livré aux policiers, se découvre aimé de Sonia. L’action se situe, au premier acte, dans la

de la vie moderne, p. 790-815. 9 Arthur Rimbaud, Œuvres complètes, éd. Pierre Brunel, Paris, Le Livre de Poche, coll. « La Pochothèque », 1999 : « Chant de guerre parisien » [1871], p. 239-243 ; « Adieu », Une saison en enfer [1873], p. 441. 10 Le coup d’envoi est donné malgré lui par Manet (avec le scandale d’Olympia et du Déjeuner sur l’herbe) et surtout par Baudelaire, qui ouvre malgré son aspiration à l’éternel le culte de l’Inconnu, formellement radicalisé par Rimbaud jusqu’à l’Absolu, au risque

mère et moi, étions inséparables. Tout à fait oublié ce qu’il fait, ou plutôt, je crains... qu’il ne fasse rien ! Ah ! si, il joue du piano... Ne serait-ce pas plutôt du violon, mon cher Mr Gray ? » Nous ne pûmes tous deux nous empêcher de rire et du coup nous devînmes amis. – L’hilarité n’est pas du tout un mauvais commencement d’amitié, et c’est loin d’en être une mauvaise fin, dit le jeune lord en cueillant une autre marguerite. – 18 – Hallward secoua la tête... – Vous ne pouvez comprendre, Harry

mère et moi, étions inséparables. Tout à fait oublié ce qu’il fait, ou plutôt, je crains... qu’il ne fasse rien ! Ah ! si, il joue du piano... Ne serait-ce pas plutôt du violon, mon cher Mr Gray ? » Nous ne pûmes tous deux nous empêcher de rire et du coup nous devînmes amis. – L’hilarité n’est pas du tout un mauvais commencement d’amitié, et c’est loin d’en être une mauvaise fin, dit le jeune lord en cueillant une autre marguerite. – 18 – Hallward secoua la tête... – Vous ne pouvez comprendre

charnel. Ses dieux ont besoin d’un nuage pour se dérober aux yeux. Ils boivent, mangent, dorment. On les blesse, et leur sang coule ; on les estropie, et les voilà qui boitent éternellement. Cette religion a des dieux et des moitiés de dieux. Sa foudre se forge sur une enclume, et l’on y fait entrer, entre autres ingrédients, trois rayons de pluie tordue, tres imbris torti radios. Son Jupiter suspend le monde à une chaîne d’or ; son soleil monte un char à quatre chevaux ; son enfer est un précipice

charnel. Ses dieux ont besoin d’un nuage pour se dérober aux yeux. Ils boivent, mangent, dorment. On les blesse, et leur sang coule ; on les estropie, et les voilà qui boitent éternellement. Cette religion a des dieux et des moitiés de dieux. Sa foudre se forge sur une enclume, et l’on y fait entrer, entre autres ingrédients, trois rayons de pluie tordue, tres imbris torti radios. Son Jupiter suspend le monde à une chaîne d’or ; son soleil monte un char à quatre chevaux ; son enfer est un précipice

charnel. Ses dieux ont besoin d'un nuage pour se dérober aux yeux. Ils boivent, mangent, dorment. On les blesse, et leur sang coule ; on les estropie, et les voilà qui boitent éternellement. Cette religion a des dieux et des moitiés de dieux. Sa foudre se forge sur une enclume, et l'on y fait entrer, entre autres ingrédients, trois rayons de pluie tordue, tres imbris torti radios. Son Jupiter suspend le monde à une chaîne d'or ; son soleil monte un char à quatre chevaux ; son enfer est un précipice

importe les apparences.         C'est, sans doute, quand on eut gagné en habileté et en loisir que le souci d'enjolivement s'est manifesté. On continuait toujours à faire des outils, mais cette fois on soignait la forme. Bien sûr, le couteau devait couper, mais on appréciait qu'il fût agréable à regarder.         Cette union de l'utile et de l'agréable est une caractéristique de notre espèce. Seul l'homme construit des objets et est sensible à leur apparence. C'est cette tendance qui a donné naissance

viens en toi, attentive, anxieuse, fouaillée1 par les questions qui alimentent ton incessant soliloque2. Nul pour t’écouter, te comprendre, t’accompagner. Partir, partir, laisser tomber les chaînes, mais ce qui ronge, comment s’en défaire ? Charles Juliet, Lambeaux, P.O.L., 1995. 1. Travaillée. 2. Discours que l’on se tient à soi-même. 4 Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours 1. Relevez les indices de l’énonciation. À qui le narrateur s’adresse-t-il selon vous ? Le narrateur s’adresse

en Picardie (02) : le 10 novembre Théâtre municipal – Caen (14) : les 17, 18 et 19 novembre MAC – Créteil (94) : du 24 au 27 novembre Lieu unique – Nantes (44) : du 30 novembre au 3 décembre Scène nationale 61 – Flers (61) : les 8 et 9 décembre La Foudre SN - Petit Quevilly (76) : les 15 et 16 décembre La Filature SN – Mulhouse (68) : les 6 et 7 janvier Scène nationale Evreux-Louviers (27) : le 13 janvier Le Manège SN – Maubeuge (59) : le 19 janvier Entretien avec David Bobee Par Cathy Blisson