Couperet

d’insister ? (1 point) 8. « Le bagne est un vésicatoire (…)supprimez le reste » : identifier les différentes parties de l’argumentation dans ce passage précis et montrer quelle évolution suit Hugo. (1,5 point) 9. Que désignent le « boulet » et le « couperet » ? De quelle figure de style s’agit-il ? (1 point ) REDACTION : Imaginez la plaidoirie de l’avocat lors du procès de Claude Gueux. Votre texte s’inspirera des arguments développés par Claude Gueux lui-même et débouchera sur une remise en cause

(rythme ternaire très particulier de cette suite: lointaine, calme, grave). - Les trois épithètes sont connotées par l’idée de mort: euphémisme: « se sont tues »= sont mortes. - « tues » le sonnet se termine par ce mot lugubre, qui sonne comme un couperet, obligeant presque à relire le sonnet autrement. - Comparaison avec la statue = déshumanisation + « statue » rime avec « se sont tues », ce qui renforce singulièrement cette impression d’étrangeté et d’irréalité. Conclusion : Pour

donne Becque de la famille est un tableau parfait : le père triomphant, la mère dévouée, et les trois jeunes filles insoucieuses du lendemain… Le tableau est si parfait qu’il en serait presque écœurant. Et brusquement (on entend presque tomber le couperet), c’est le drame : le père meurt d’une apoplexie, et, sans laisser le temps aux survivantes de reprendre leur souffle, les corbeaux affluent sur le cadavre pour le dépecer. Les escrocs (le notaire, l’architecte et l’ex-associé, tous trois véreux

donné notre foi à l’immobilité et au déjà fait » (p. 79) Réarmement de la Frce de 1919 à 1939 : 300 Mds de Fr effort rendu caduc par la défaite, défaite qui limite la pô ext de la Fce L’outil militaire a pr épreuve ultime la guerre. Sanction couperet pr la Fce (6 semaines de combat seulement et la défaite est avant tt militaire) => faillite de l’outil militaire (retard technique et conceptuel- cf. de Gaulle). Cpdt, l’armée n’est jms que le reflet de sa nation (=>responsabilité du pvr pô –Daladier

condamner Julien à la guillotine, notamment à cause d'un discours provocant dénonçant les castes et l'ordre établi. À l'issue de la sentence, Mathilde et Mme de Rênal espèrent encore un recours en appel, mais Julien ne voit pas d'autre issue que le couperet. Mme de Rênal, qui s'est installée à Besançon malgré les réticences de son mari, est parvenue à obtenir l'autorisation d'aller voir Julien, qui retrouve pour elle une passion sans bornes. Malgré tous les sacrifices qu'elle est prête à consentir,

résultat de son enferment avant l'exécution «  il a dit oui...il n'a pas pu » accablement par la fatalité , celle de la guillotine «  décapite » « couteau est tombé ». « On l'attache, on le cache» assonance en ch qui fait référence à la hache et donc au couperet .Ici on cherche à dégoutter, à favoriser la pitié, voir la peur.Cette dernière que peux ressentir le lecteur dans le troisième texte face à la déshumanisation totale de l’exécution d'un être humain. Ressemblant à un «  dénouement d'un feuilleton »

symbolique et carnavalisation « La guillotine est la concrétion de la loi […]. Elle n’est pas neutre et ne nous permet pas de rester neutre. Qui l’aperçoit frissonne du plus mystérieux des frissons. Toutes les questions sociales dressent autour de ce couperet leurs points d’interrogation1. » Victor Hugo, Les Misérables I Fruit de sa contemporanéité, Le Dernier Jour d’un Condamné, troisième roman de Victor Hugo, marque les premiers pas d’une écriture qui se veut symptomatique de la situation de la France

peut consister en une destitution du chef de l’État ou des ministres en cas d'abus flagrant de leur part. C'est le cas par exemple de la procédure d'impeachement aux États-Unis. Deuxièmement, le contrôle de constitutionnalité intervient comme un couperet qui décide ou non de la constitutionnalité d'une loi ou d'un acte de l’État. En effet, le contrôle par voie d'action permet la saisine du Conseil constitutionnel qui peut juger de la conformité d'une loi avec la Constitution. Cette position de norme

condamner Julien à la guillotine, notamment à cause d'un discours provocant dénonçant les castes et l'ordre établi. À l'issue de la sentence, Mathilde et Mme de Rênal espèrent encore un recours en appel, mais Julien ne voit pas d'autre issue que le couperet. Mme de Rênal, qui s'est installée à Besançon malgré les réticences de son mari, est parvenue à obtenir l'autorisation d'aller voir Julien, qui retrouve pour elle une passion sans bornes. Malgré tous les sacrifices qu'elle est prête à consentir,

conjonction « mais » adversative contraste fortement avec le rythme ternaire d’une vie heureuse cité plus haut : « Mais l’hiver vient », phrase coupée presque au milieu du vers par un point – et non par la virgule classique, qui accentue l’effet de couperet et introduit une dimension dramatique et met sous tension le personnage. Nous retrouvons la formule orale populaire « en vérité » - plutôt que « il fait véritablement bien froid » où la parole du poète se confond avec celle du personnage et renforce