Cour De Cassation 24 Juin 1878

degré de juridiction seulement : le recours contre la décision de première instance (le plus souvent l´appel) doit être porté devant une juridiction administrative de droit commun (le plus souvent : la cour administrative d´appel territorialement compétente ; parfois directement, par voie de cassation en principe, devant le CE) Il existe un ensemble de juridictions spécialisées organisées sur deux niveaux : les décisions des juridictions spécialisées de première instance sont portées par la voie de

et il n’y a pas de règles de compétence. De plus, tous les Etats membres de l’UE ont signé la Convention Internationale de New York du 10 juin 1958, qui s’applique en matière de droit de l’arbitrage et qui donne déjà satisfaction en la matière. A partir de quand est-on dans le champ d’application d’une de ces exceptions ? CJCE 27 mars 1979 ‘De Cavel’, la Cour s’interrogeait sur la notion de régime matrimonial. Plus particulièrement les époux s’étaient séparés et le juge avait ordonné des mesures

de ces grands arrêts, y compris ceux posant des règles très générales, sont des arrêts en matière de droit de la personne et de la famille. (divorce, mariage, succession.) L’explication principale est qu’il y a relativement peu d’arrêt de la Cour de Cassation sur le droit des affaires internationales car arbitrage (clauses compromissoires dans les contrats.). * Ces grands arrêts, au moins jusqu’à la WW2, sont classiquement désignés par le nom du demandeur qui est souvent des grands noms du gotha

Bruxelles du 24 septembre 1968. On a donc des règles de compétence directe uniformistes. Elles sont impératives pour l’espace intra-communautaire. Quand on ne l’est pas, on doit avoir recours à des règles françaises de conflit de juridictions. La particularité de ces règles françaises c’est qu’elles sont très majoritairement des règles jurisprudentielles. Le législateur ne connait pas le DIP. Il existe une règle de DIP qui est en droit des assurances et une en droit du travail. C’est la Cour de cassation

Inchangé jusqu’au 5 mars 2007. -loi du 13 juillet 1965 sur les régimes matrimoniaux. Elle n’admet pas d’égalité entre l’homme et la femme. La femme est capable depuis 1938 mais elle a moins de pouvoir que le mari sur les biens du mariage. -loi du 4 juin 1970 porte sur l’autorité parentale. -loi du 3 janvier 1972 sur la filiation. Elle pose le principe d’égalité entre les enfants légitimes et les enfants naturelles. -loi du 11 juillet 1975 sur le divorce. On admet le divorce par consentement mutuel

fondamentaux du gouvernement ", disposait, dans son article 6, que " la liberté publique exige que les représentants de la nation soient fréquemment élus, et que leur élection soit soumise à des règles fixes et uniformes ". De même, la Constitution du 24 juin 1793 était précédée d’une Déclaration des droits, dont l’article 9 indiquait : " la loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent ". Il semble que le premier texte officiel à utiliser l’expression

codification. - C'est de ces préoccupations qu'est né le bail à construction, nouveau contrat civil institué par la loi n° 64-1247 du 16 décembre 1964 (JCP N 1964, III, 30637), dont les modalités d'application ont été précisées par un décret n° 64-1323 du 24 décembre 1964 (JCP N 1965, III, 30664 et 30762). Les textes concernant le bail à construction sont aujourd'hui incorporés au Code de la construction et de l'habitation, sous les articles L. 251-1 à L. 251-9 et R. 251-1 à R. 251-3. 3. – Distinction

contraire aux bonnes mœurs ................................ 24 7.7 L’interprétation par analogie du droit pénal favorable ................................................... 24 7.7.1 Notion ...................................................................................................................... 24 7.7.2 Applications ............................................................................................................ 24 7.8 L’interprétation authentique .........................

qui étaient donc lacunaires et ne couvraient pas toutes les hypothèses de DIP. La conséquence est que la jurisprudence est venue pallier ce déficit de règles, elle a joué un très grand rôle pendant l’élaboration et le développement du DIP. La cour de cassation et les tribunaux ont posé les principes en matière de DIP. B- Règles de DIP d’origine internationale Outre les règles nationales il peut se produire que des états décident de conclure entre eux des traités pour adopter sur une question en

Flamands). Sur le plan linguistique, les régions Belges ( intermédiaire entre civilisation germanique et française) subissent surtout l’influence française. Cela s’explique par le fait que ce soit la plus grande puissance. Le Brabant se francise : la cour et noblesse sont bilingue. En Flandre, en revanche, il y a une fracture : les populations conservent leur dialecte et les élites se francisent. Le français est la langue de l’administration , des affaires. Les étudiants Belges font leur étude en France