Cour des miracles

de Champagne (il a décrit les conflits à Troyes en 1249), mais a vécu adulte à Paris. Son œuvre, très diversifiée, qui rompit avec la tradition de la poésie courtoise des trouvères, comprend des hagiographies (Vie de Sainte Helysabel), du théâtre (Miracle de Théophile), des poèmes polémiques et satiriques (Renart le Bestourné ou Dit de l'Herberie) envers les puissants de son temps. Rutebeuf est aussi un poète « personnel », l'un des premiers à nous parler de ses misères et des difficultés de la vie

s'abandonna, Et tout son antre en résonna. Les Lions n'ont point d'autre temple. 15 On entendit à son exemple Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans. Je définis la cour un pays où les gens Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents, Sont ce qu'il plaît au Prince, ou s'ils ne peuvent l'être, 20 Tâchent au moins de le parêtre, Peuple caméléon

il parle du Mariage Rutebeuf qui fut lamentable et qui donna naissance à un enfant ou même aussi qu’il perdit son œil droit. Il trouva consolation dans la poésie, son vrai métier et dans la gloire qui suivit. On doit aussi à Rutebeuf le premier miracle de Notre-Dame. Il fut poète national favorisant la propagande du roi Louis IX, il est alors le favori des seigneurs. Sa dernière œuvre, La nouvelle complainte d’outre-mer serait de 1277. Les poèmes de Rutebeuf sont faits pour être comparés : les

galanterie : portrait, maximes… Si la princesse s’ouvre sur une galerie de portraits des grands de la cour d’Henri II, ceux-ci ne représentent pas des personnages contemporains et, même ainsi, ils provoquent la moquerie du critique Valincour, qui ne retient pas son ennuie de devoir attendre trente-six pages avant l’entrée en scène de la princesse. Les maximes, pour leur part, font encore les délices de la cour et des salons. On trouve quelques-unes de ces sentences morales dans le roman étudié. Elles sont

herboriste la Fougère d’or La Leroux vend de l’arsenic et des crapauds Les Brinvilliers condamner au bûcher pour avoir empoisonné toute sa famille. Le Guet prend les enfants trouvés et les emmener à Hôtel Dieu Melle Claude Œillets une grande Dame de la cour qui achète des crapauds, elle est au service de Mme Montespan Informations : L’époque des porteurs d’eau puisaient l’eau dans la Seine ou dans les fontaines public pour les bourgeois à domicile. Les pauvres faisaient la queue pour un seau d’eau aux

Si d’Aguesseau a été imprégné par la sensibilité janséniste, le pouvoir, au cours des années 30 tente de se dégager de la doctrine. Sur la tombe d’un diacre (Pâris), mort en 1727 et enterré au cimetière Saint Médard, se produisent des miracles, des guérisons suivies de convulsions qui ne manqueront pas d’attirer les foules. En réaction à cet affront janséniste, le cimetière est fermé sur ordonnance royale en janvier 1732. Mais guérisons et convulsions se poursuivent

jamais ne c’est posé la question du choix entre un fils et une fille, en effet toujours s’est trouvé un enfant mal en meme de monter sur le trône. Bien sur nombreux sont ceux qui voient à l’époque et plus tard dans cette situation une sorte de miracle : le miracle capétien. Or, au début du 14eme va se jouer une un épisode particulièrement intéressant qui va donner aux règles aux successions leur caractère définitif. En effet, en l’espace d’une génération (1315-1328) deux principes vont se rajouter aux

Jean de La Fontaine est un auteur du 17ème siècle. Il fut protégé par des grands personnages de la cour, dont Fouquet , car il fut leur amuseur avec ses contes et nouvelles libertines. Il fait partie des grandes figures du classicisme, avec Corneille, Racine, et Boileau. A cette époque où la littérature a pour tendance de flatter le roi, Lafontaine parvient à exprimer ses idées .En effet, derrière, Les fables, son œuvre majeure, se cache une critique de la société de son époque. Le cerf, contrairement

Bodel a)-jeux de mots/gestes b)-mise en abyme du jeu c)-le jeu de saint Nicolas III- Le jeu médiéval a)-le jeu dramatique b)-jeu et enjeu autour du miracle c)-un jeu fidèle aux moeurs INTRODUCTION Jehan Bodel, arrageois, compose le jeu de saint Nicolas au seuil du XIII ème siècle. Cette pièce aborde de manière originale le miracle de saint Nicolas. Comme nombreuses de ses oeuvres, il s'inspire de la ville d'Arras. Ainsi, cette pièce est un jeu dans tous les sens du terme: les personnages

l’homme la recherche constamment selon les points de vue religieux, médical, scientifique et judiciaire. Tout d’abord, bien que la religion ne soit pas que vérité, certains faits sont acceptés comme des vérités absolues. En effet, les différents miracles produits par Jésus Christ ne peuvent être ni prouvés ni réfutés. Ils doivent donc être admis par les croyants comme étant des réalités et donc des vérités absolues. En conclusion, nous pouvons dire que du point de vue religieux la vérité absolue