Courage

13. Ne crains pas l'avenir, ne pleure pas le passé. 14. A la guerre, la vérité est la première victime. 15. La quête de la vérité est facile. Accepter la vérité est ardu. 16. Le chef avisé sait quand il doit s'effacer. 17. Le courage fait les héros, mais la confiance cimente l'amitié. 18. Choisis ce qui est juste, pas ce qui est facile. 19. La plus dangereuse des bêtes est la bête intérieure. 20. Qui était mon père importe moins que le souvenir que j'ai de lui.

trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement... Mais Skeeter est aussi une jeune journaliste, désireuse de changer les choses qui l'entoure. Elle se lie avec Aibileen (qui travaille comme bonne dans la maison d'une amie de Skeeter) et Minny et leur propose d'écrire un livre sur leurs conditions de bonnes. A une époque où l'amitié entre Noirs et Blancs n'est pas du tout tolérée, c'est avec courage que les trois

18/11/12 L’enseignement de la vertu La vertu est un principe de l’homme qui introduit plusieurs qualités comme la justice, qui est probablement la plus importante, ainsi que le courage, la sagesse, la tempérance, etc. De cette façon, l’individu possédant tous ces principes vertueux agit bien. En effet, agir bien implique la capacité d’un individu de connaitre le principe de la justice à l’aide de laquelle il saura distinguer ce

rencontrer Pauline et à partir de cela, tout changera. Angelo a 25 ans, il n’est donc plus tout à fait un adolescent pourtant il a encore des réactions irréfléchies par rapport à sa force, son ego, … Il veut toujours prouver sa bravoure, son courage. 2. Désirer. Ce qu’Angelo désire avant tout, c’est la Révolution. Il veut absolument sauver son pays. Pour cela il doit d’abord retrouver Giuseppe avant de retourner en Italie, ce qui est la trame de la 1ère partie du roman. Enfin, à mesure

que je sois capable de me repentir. » (V,5)                                                                                                                            _ De même son courage devant la mort est digne d’un héros de tragédie. Lorsque la Statue l’invite à souper et lui demande « En aurez-vous le courage ? », la question suggère bien le danger. Don Juan répond pourtant noblement « Oui, j’irai, accompagné du seul Sganarelle » (IV, 8). → La Statue n’a pas à l’emporter de force aux Enfers

« A ces trois frères, chacun des rois demande de combattre pour leur patrie : l’empire sera du coté de la victoire, Nul refus. ». Au contraire du récit de TL, les élus ont le droit de refuser le combat. Cette scène permet de mettre en valeur le courage et la vertu des combattants qui va dans le sens de TL ( Chapitre 25) 2) Sabine est la sœur des Curiaces et la femme d’Horace. Elle a été entièrement crée par Corneille, c’est ainsi que les Horaces et les Curiaces ont un lien familiale et ils se trouvent

pardonner. » La foule ne parlait plus, il fallait que je continu. « Vous tous qui avez pris le temps de venir m’écouter, vous êtes des gens bons car vous venez, en espérant donner une chance à un prisonnier. Et ce n’est pas tout le monde qui a le courage de prendre cette décision. Si vous décidez de me donner une nouvelle chance, je vous jure que je serais digne de votre confiance. » La foule se mit à parler, il fallait que je finisse. « Merci à vous tous d’être venu m’écouter, en espérant vous

Problématique : Lorenzaccio peut-il être considéré comme un héros ou un antihéros romantique ? Le héros est le personnage principal d'une œuvre. C'est un personnage qui se distingue des autres par ses qualités hors du commun (beauté, force, courage, honnêteté, loyauté … ). Il connait un destin hors du commun et y fait face dignement. Le héros romantique est caractérisé par plusieurs traits de caractère dont la solitude, la sensibilité, la rêverie ainsi que la haute opinion de lui-même. Cependant

exclamative montrent qu'Hélicon est fidèle jusqu'au bout, jusqu'à payer de sa vie sa loyauté, car il est poignardé « par une main invisible ». La lâcheté du geste qui le tue, soulignée par la synecdoque méprisante, fait ressortir son dévouement, son courage. Les réactions de Caligula sont assez surprenantes, il ne manifeste aucune surprise, aucun geste de défense. On assiste à une véritable mise en scène de soi, comme du théâtre dans le théâtre, puisqu'« il s'observe, simule », semble jouer : il est

rejoint par là le sens des vertus théologales chrétiennes ? J’ai du mal à me faire à cette idée tant l’Espérance, dans le 18ème degré, s’inscrit dans les vertus héroïques. On croit qu’il est facile d’espérer mais « n’espèrent que ceux qui ont le courage de désespérer des illusions et des mensonges où ils trouvaient une sécurité qu’ils prenaient faussement pour de l’Espérance » (Bernanos). C’est en faisant le chemin à l’envers que l’on se rend compte que c’est elle qui nous a poussées à frapper