Courant de conscience

activité qui puisse échapper à la conscience mais c'est au xviie siècle Descartes qui, à travers le cogito, conceptualise l'opposition entre la conscience comme fondement de la raison et ce qui y échappe2 — relégué par lui dans le domaine de la folie3. Leibniz, avec un texte concernant les « petites perceptions confuses » (ou théorie des petites perceptions) s'approche également d’un concept d'inconscient qui s'oppose à la conception cartésienne de la conscience. Il constate que nos pensées humaines

de maudire son sort et les dieux, Sisyphe décide de prendre conscience de l’aspect tragique de son existence en réalisant sa punition. Sisyphe échappe à un destin tragique et retrouve un sens à l’absurde par l’exercice de la conscience. On définit la conscience difficilement étant donné qu’elle se caractérise comme une notion à plusieurs dimensions. Du latin conscientia soit « avec connaissance », la conscience se définit comme la connaissance plus ou moins claire que chacun

parce son support est destiné à une appropriation solitaire. L'éloquence verbale a un tout autre pouvoir de fascination lorsqu'elle clame sa représentation du monde du haut d'une tribune publique. Au dialogue silencieux -et toujours rétif- des consciences, fascismes et totalitarismes préfèrent donc les " grandes messes " redondantes. "Plus le message est simple, mieux il passe, plus il rassemble". La pauvreté et la prévisibilité du discours n'y est plus source de désintérêt mais, au contraire, facteur

Analyse : • La sensibilité est ce qui fait le lien entre la perception et l’aperception. Par les cinq sens externes, nous percevons le monde à travers ses sons, ses couleurs, ses odeurs etc… L’aperception nous renseigne sur l’état de notre conscience. Elle répond à ces questions : qu’est-ce que je ressens en ce moment ? Suis-je apaisé, triste ou en colère ? Quelles sont mes pensées, mes centres d’intérêts ? Or la perception extérieure et l’aperception intérieure sont interdépendantes. Les objets

PHILOSOPHIEPeut-on ne pas être soi-même ? Nous ne pouvons être autre chose que soi-même, « être soi-même » comme existence est donné seulement aux êtres possédant une conscience. « Etre soi-même », cette expression commune peut paraître de prime abord évidente et sans ambiguïté. Pourtant en s’y attardant nous pouvons relever quelques interrogations autour de ce thème. Nous sommes le commanditaire de nos pensées. Nous décidons de tous les actes que nous faisons ; en ce sens nous sommes toujours

que d’y désobéir ? Dans le langage courant la responsabilité est définie comme le devoir de répondre de ses actes, toutes circonstances et conséquences comprises. Pourtant on peut se poser la question de la culpabilité de la personne qui émet un acte pensé comme responsable et qui ce transforme en abus ou crime. Cette question de la culpabilité d’un être responsable se pose depuis quelques décennies avec l’ascension de la technologie où l’homme perd la conscience de l’action accomplie. La formule

L’existentialisme est un humanisme, que l’homme doit se comprendre comme l’être qui n’a pas de nature. C’est que si on se demande ce qui peut nous permettre de nous définir, il faut partir du cogito, c’est-à-dire du fait que nous pensons. Or, cette pensée ou conscience n’est pas une intériorité : elle est toute entière tournée vers l’action. Aussi faut-il concevoir l’homme comme projet, c’est-à-dire comme un être qui n’est d’abord rien et qui se définit par le projet qu’il est. Et ce projet, ce n’est pas ce qu’il

La conscience des poètes baroques : Le baroque est un mouvement littéraire (mais aussi musique, architecture, peinture) qui apparaît vers la fin du XVIe siècle et qui change au milieu du XVIIe. Les poèmes étudiés relatent tous la vanité de la vie, de la mort, de la confusion entre Rêve et Réalité, des changements d’un monde instable. Mais qu’est ce qui a pu tourmenter la conscience des poètes ? En 1519, au début de la Renaissance, l’allemand Luther s'insurge contre L’Eglise et fonde une nouvelle

êtres sensibles. Elle est l'idée que la valeur morale d'une action est déterminée uniquement par sa contribution à l'utilité générale. Mais le sens moral existe-t-il en l'homme ? En d'autres termes, la morale est-elle présente naturellement en la conscience ou est-elle conditionné par l'éducation et les lois universelles ? Afin de répondre à cette question, nous étudierons, dans une première partie, l'instinct morale naturel. Puis, dans une seconde partie, nous étudierons la notion de morale universelle

Microsoft Word - Argumentation-Bêtes 2.docxArgumentation-Bêtes 1ère étape : liste des choses à analyser - Courant : humanisme, classicisme, Lumières - Genre du texte : utopie, dialogue, pamphlet, article de l’encyclopédie, discours, lettre, conte philosophique, fable, apologue, portrait - Critique directe ou indirect - Écriture plaisante qui vise à divertir ou à instruire (placere ou docere) - Convaincre, persuader ou les deux - Marques de la subjectivité (texte engagé, présence de l’auteur