Courbe des taux

En quoi consiste le théorie classique du taux d’intérêt ? Une réduction des salaires nominaux a-t-elle pour effet direct, toutes choses égales d’ailleurs, d’augmenter l’emploi ? Une réduction des salaires nominaux a-t-elle pour effet certain ou probable de modifier l’emploi dans uns sens particulier du fait des répercussions certaines ou probables sur ces trois facteurs : propension marginale à consommer, courbe de l’efficacité marginale du capital et le taux d’intérêt ? Une fois le plein emploi atteint

et de chômeurs. L = N + U Taux de chômage : rapport entre le nombre de chômeurs et la population active. u = U/L Chômeur : personne qui n’a pas d’emploi et qui en a cherché un au cours des 4 dernières semaines Loi d’Okun : relation empirique entre le taux de croissance du PIB et le taux de chômage. Elle montre qu’un fort taux de croissance est associé à une diminution du taux de chômage et, réciproquement, un faible taux de croissance est associé à un accroissement du taux de chômage. Inflation : hausse

économiques et les approches qui ont tendance à s’appuyer sur des théories économiques. Les approches corrélatives descriptives : mise en corrélation de variables économiques. Ex : la courbe de Phillips. Cette courbe ne fonctionne pas. Ex : la courbe de Lorenz. Ex : relation taux de chômage et PIB. Ex : la courbe de Laffer. Les approches logiques : partie théorique. Grands principes théoriques qui sont les moteurs des prévisions économiques. Ex : dilemme, compréhension de l’économie

différentes courbes d’indifférence. b) Etablir la hiérarchie entre ces courbes. EFGPQ>HIJRS>CDMNO>ABKL c) Représenter graphiquement les courbes d’indifférence. X 2 3 7 3 12 10 7 4 4 7 Y 12 4 3 14 4 5 8 15 10 4 X 6 12 5 12 4 6 8 14 5 Y 2 1 4 2 6 12 6 3 6 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S EXERCICE 2 : Un consommateur a pour fonction d’utilité la fonction U = x1 . x2 a) Donner l’expression générale des courbes d’indifférence. x2 = U / x1 b) Sur un graphique représenter les courbes d’indifférence

sur le marché……………………………….P.6 II- Conséquences de l’inflation……………………….P.6 A- Effets positifs………………………………………………..P.6 B- Effets négatifs……………………………………………….P.7 Section III : Relation inflation-chômage…………P.7 I- La courbe de Phillips et l’approche keynésienne…P.7 A- La courbe de Phillips………………………………………..P.8 B- L’approche keynésienne…………………………………….P.8 II- Les analyses monétariste et de la NEC……………P.8 A- L’analyse monétariste……………………………………….P.8 B- L’analyse de la NEC………………………………………...P.9

politique monétaire 4. La politique monétaire et taux de change 5. Les difficultés de contrôle de la masse monétaire 6. La politique monétaire en économie ouverte 6.1. Comment la politique monétaire influe t-elle sur les taux de change 6.2. Economie ouverte et efficacité de la politique monétaire 7. Les limites à l'utilisation de la politique des taux d'intérêts 7.1. L'insuffisance possible du processus de diffusion 7.2. La volatilité des taux d'intérêt 7.3. L'incompatibilité des politiques

préference pour la liquidité * Il n’y a pas d’inflation LA relation d’équilibre pour le marché BS La courbe LM représente l’ensemble des combinaisons de taux d’interet et du revenu qui assurent l’équilibre sur le marché monétaire. La relation adopte l’approche keynésienne( ou le taux d’interet quilibre l’offre et la demande de monnaie ) et non la théorie néoclassique (ou le taux d’interet équilibre la demande et l’offre de capital). L’offre de monnaie ou la masse monétaire est considérée

Effets négatifs : * baisse du pouvoir d’achat * Défavorable pour les prêteurs (favorable pour les emprunteurs) * Symptôme de dysfonctionnements économiques L’inflation crée une incertitude pour les agents économiques. Mesure : Taux de croissance de l’indice des prix Indice calculée par l’INSEE : relevé de prix tous les mois Chapitre 2 : La Demande Globale Demande globale : Somme des emplois possibles de la production (C + I + Expt° + ∆ stock) Demande globale

forme de U : CTM = CVM (croît avec la Q produite) + CFM ( toujours) Le bas de la courbe en U indique la Q qui minimise le CTM = échelle optimale de production Relation entre CM & CTM : Si cm < CTM alors CTM  Si cm > CTm alors CTM  La décroissance de production marginale n’intervient pas dès le début de la production ! Voir graphe La courbe de LT est en U beaucoup plus plat que les courbes de CT car il y a une plus grande souplesse à LT. Si CTM de LT  on parle d’économie

du nombre moyen de cas secondaires g´en´er´es par une personne durant la p´eriode o`u elle est infectieuse, symptomatique ou non. Lors de l’introduction d’une infection dans une population enti`erement susceptible, on parle de taux de reproduction de base (R0 ). Si ce taux est inf´erieur a` 1, chaque cas donne naissance en moyenne a` moins d’un cas secondaire, le nombre de cas diminue a` chaque g´en´eration et la chaˆıne de transmission finit par s’interrompre. Inversement, si R0 est sup´erieur a`