Courbe des taux

clientèle, zone où le taux d’emprise est le plus fort. Cette zone correspond à 55 – 70% de la future clientèle. • Zone secondaire : C’est une zone de concurrence avec une clientèle instable. Cette zone correspond à 20 – 25% de la clientèle. • Zone tertiaire : La clientèle recrutée y est marginale et le taux d’emprise minimum. • Taux d’emprise : Part du chiffre d’affaire de la zone capté par le point de vente. Ces zones sont délimités par soit des courbes isochrones (courbes déterminées en fonction

/ IPC année courante ) x Prix nominal année courante Chapitre II La courbe d’offre représente la relation entre la quantité de bien que les producteurs sont disposés à vendre et le prix du bien. (Courbe décroissante) La courbe de demande représente la relation entre la quantité d’un bien demandée par les consommateurs et le prix de ce bien. (Courbe croissante) Changement de prix = mouvement le long de la courbe d’offres. Changements des variables = changements de l’offre. Substituts :

∼G∼H ∼I C∼E∼J ∼K∼M A∼B∼D∼L Rappel 1 (La courbe d’indiff´rence). La courbe d’indiff´rence permet de d´e e e crire graphiquement les pr´f´rences d’un consommateur de fa¸on commode. ee c La courbe d’indiff´rence d´crit l’ensemble des paniers pour lesquels le consome e 1 mateur est indiff´rent. Pr´nons la panier A par exemple, l’ensemble de pae e niers qui laisse le consommateur indiff´rent est le panier B, D et L. e On peut avoir plusieurs courbes d’indiff´rence, qui r´pr´sentent les diff´rentes

Economie pour Managers Octavio Escobar oescobar@esg.fr Séance 2: Le consommateur Plan du cours 1. 2. 1. 2. 3. 4. 5. 6. Introduction générale Le consommateur Notion d’utilité Les courbes d’indifférence La droite de budget L’équilibre du consommateur Effet de substitution / Effet revenu Arbitrage travail / loisir Le producteur 4. L’équilibre de marché 5. Les agrégats économiques 6. La consommation et l’épargne 7. L’investissement 8. Emploi et chômage 9. Les cycles économiques 10

les évolutions de la conjoncture économique. Si la croissance d'une année sur l'autre est la même, il faut le même niveau d'investissement pour renouveler et augmenter le capital en quantité suffisante pour assurer la production. En revanche, si le taux de croissance augmente, il faut une augmentation plus que proportionnelle de l'investissement pour mettre à niveau la base productive. L'effet joue aussi à la baisse. L'investissement amplifie donc à la hausse comme à la baisse les fluctuations de

monétaires est bien traité par les mercantilistes (ex: J. BODIN : “ le moyen d’empêcher que les monnaies soient | | | |altérées de prix ou falsifiées ” dans le  6ème livre de la République. Les autres thèmes sont : la hausse des prix et le taux de | | | |l’intérêt. | | | |Ils observent la hausse des prix mais l’attribuent le plus souvent aux mutations monétaires

thème des mutations monétaires est bien traité par les mercantilistes (ex: J. BODIN : “ le moyen d’empêcher que les monnaies soient altérées de prix ou falsifiées ” dans le  6ème livre de la République. Les autres thèmes sont : la hausse des prix et le taux de l’intérêt. Ils observent la hausse des prix mais l’attribuent le plus souvent aux mutations monétaires. L’explication correcte est entrevue par J. BODIN en 1568 dans un opuscule intitulé :  “ réponses aux paradoxes de M. de Malestroit touchant à

nationalité. Ce concept ancien reste très largement utilisé aujourd’hui. Définition de la croissance : la croissance est l’expansion durable des quantités produites mesurés par la hausse du produit national brut. PIB (n) – PIB (n- 1 ) x 100 = Taux de croissance PIB (n-1) Il existe plusieurs types de croissances à savoir la croissance nominale, la croissance réelle et la croissance vraie. La croissance réelle : est une croissance à prix constant (l’inflation est égale à 0) La croissance

réalisés entre la France et l'étranger c'est à dire les investissements directs, les investissements de portefeuille et les prêts. La balance des transactions courantes est un bon indicateur de la compétitivité d’un pays. Taux d’ouverture Taux de pénétration Taux d’exportation ??? + ??? ??? ??? ? ??? ??? ??? La balance des paiements retrace pour une période donnée, une année civile, l’ensemble des flux internationaux d’un pays avec le reste du monde. La balance des transactions

D’HUMIDITE (6 points) En météorologie, le degré hygroscopique permet de chiffrer le taux d’humidité x de l’air, en %. On se propose de mesurer cette grandeur d’une manière électronique en associant un capteur d’humidité avec une résistance variable R et une bobine d’inductance L = 100 mH, de résistance interne r. 1. Principe du capteur d’humidité. Un capteur d’humidité est un condensateur dont la capacité C varie en fonction du taux d’humidité x de l’environnement. La notice ci-dessous présente quelques caractéristiques