Couronne de Castille

Leur intrusion dans la « Francie » va bouleverser à jamais le pays. * Les Robertiens (de Robert le Fort, ancêtre des Capétiens) vont très vite s'imposer face aux Carolingiens régnants. Pendant un siècle, les deux familles vont se disputer la couronne avant qu'elle ne soit définitivement attribuée aux Robertiens. ------------------------------------------------- La division de l'Empire ------------------------------------------------- La mort de l'Empereur C'est en tant que dernier fils survivant

ce négrillon somnolent, malgré leur manière si énergique à tous deux de tambouriner son crâne tondu, car c’est dans les marais de la faim que s’est enlisée sa voix d’inanition (un-mot-un-seul-mot et je-vous-en-tiens-quitte-de-la-reine-Blanche-de-Castille, un-mot-un-seul-mot, voyez-vous-ce-petit-sauvage-qui-ne-sait—pas-un-seul-des-dix-commandements-de-Dieu) car sa voix s’oublie dans les marais de la faim, et il n’y a rien, rien à tirer vraiment de ce petit

surtout après 1542, en France dans les émissions de l’Hôtel de Ville de Paris (qui les réalise certes pour le bénéfice du Roi, mais présente ses propres garanties) à partir de 1522 et surtout de 1553, et plus encore dès 1489 lorsque les couronnes d’Aragon et de Castille unies pour le Reconquête procèdent ensemble à l’émission de juros dont le marché à été créé par les municipalités des deux royaumes dès le 14e siècle. Le succès est général, et les taux d’émission s’abaissent souvent au denier 18 (1 pour

On l’appelle de plus en plus Carolus magnus, Charles le Grand, Charlemagne. En 771, Carloman meurt : Charles est seul roi, et lance une conquête jusqu’ne Saxe. En 799, le hasard et les circonstances font que Charlemagne devient empereur. Il sera couronné en l’an 800, et fait de la royauté carolingienne, une royauté qui acquiert des responsabilités nouvelles. La royauté a en France un caractère spécifique qui durera jusqu’en 1789. b) Le couronnement impérial En 799, Léon 3, le pape, est agressé

Il succède a Isabelle de castille et ferdinand d'aragon , des dirigeants ultra catho. Ils ont par le jeu des alliances (mariages) et d'annexion militaire aquis d'immense territoire et repousée les maures de la péninsule ibériques (occupé depuis les croisades de l'an mil) , c'est la reconquista (non pas le gundam:) achevé en 1492 , avec la prise de grenade , dernière fort musulman. Grace a cela il unifie le pays et centralise le pouvoir (spécialité non francaise) à castille (anc. Madrid). Avec Charles

d'al-Andalus.En 1030,le califat de Cordoue disparaît, se morcelle en plusieurs principautés indépendantes appelées "royaumes de Taïfas". Ce morcellement affaiblit al-Andalus, affaiblissement dont profitent les rois chrétiens. Le roi de Castille, Alfonso VI, prend Tolède en 1085. Al-Andalus et les royaumes chrétiens au XII° siècle. * Le califat : c’est une fonction, une dignité ecclésiastique. Le mot « calife » signifie lieutenant et désigne le chef de la communauté musulmane après la disparition

à réellement[31] développer les voyages d’exploration est le Portugal, à la fin du XIVe siècle. Cette aventure correspond en fait à un véritable choix dynastique des Aviz, qui prennent le pouvoir en 1385 après la bataille d’Aljubarrota face à la Castille[32] : seigneurs d’un territoire réduit, faiblement peuplé (moins d’un million d’habitants vers 1470), qui plus est situé en finistère de l’Europe, ils décident de se tourner vers l’océan. Dès les premières années du XVe siècle, Jean Ier lance des

l’anneau qui symbolise l’union du roi avec son peuple, l’épée, symbole de la force qui servira à lutter contre les ennemis de la foi, un sceptre royal, symbole de la puissance royale, la main de justice qui symbolise le pouvoir judiciaire du roi, la couronne qui symbolise la majesté. Tous ces rites sont incorporés au cours de la messe et à la fin de la messe, les vassaux présents prêtent serment de fidélité au nouveau roi. Le roi est donc sacré. Il devient donc un prince différent des autres princes

tirait sa légitimité de cette acclamation du peuple). Il rentrait ensuite dans la basilique. Le pape se mettait à genoux devant l'empereur (l'adoratio) et enfin il posait la couronne sur la tête de l'empereur. Le 25 décembre 800, le pape a quelque peu bouleversé l'ordre de la cérémonie car il a commencé par poser la couronne sur la tête de Charlemagne. Il a ensuite fait acclamer l'empereur par le peuple de Rome et en dernier, il s'est mis à genoux. Charlemagne aurait été furieux d'avoir cette cérémonie

francs et pour protéger la papauté, le Pape met le diadème, sans qu’il ne soit au courant, sur la tête de Charlemagne (de plus, les chroniqueurs racontent que Charlemagne tournait le dos au pape). Le pape le couronne, donc, vient en suite les acclamations du peuple : « à Charles Auguste couronné de la main de Dieu vie et victoire… » De là, vient le rituel de l'adoration, prosternation du Pape aux pieds de l'Empereur. Pour terminer cette cérémonie, Charlemagne va recevoir les titres d'Auguste imperatum