Cours Innovation Bancaire

Présenté par : Soufiane El fadili Rabie Rabii Nizar Samir Majid bellarabi Abdoulaye Fadel Kane Diaminatou Bagayoko  Secteur bancaire au Maroc  Présentation global de la SGMB  Domaines d’activité Plan  Positionnement  Filiales  Stratégie d’entreprise  Objectifs de l’entreprise  Objectifs communication  Communication institutionnelle Secteur bancaire au Maroc • Voici donc un aperçu des tarifs pratiqués par les 7 banques comparées : la Banque Populaire (BP), Attijariwafa Bank

travail = VAB / nombre d’heures travaillées ≠ Productivité du capital : - financier (=rentabilité) = résultats / capital financier (capital social + dettes à longs termes) - physique = VAB / quantité de facteurs utilisés gains de productivité = innovation et organisation du travail combinaison productive : substitution du K au L + économies d’échelle => ( coûts de prod Conclusion La production est une offre en économie de marché. La production est une création de richesses : la VA. Séance

principaux compartiments de la bourse des valeurs de Casablanca en précisant les conditions de cotation de chaque compartiment ? 13) Expliquer en quoi consiste la technique de titrisation ? 14) Donner la définition précise de chacun des produits bancaires suivants : les dépôts à terme, les bons de caisse et les certificats de dépôts ? 15) Quels sont les principales caractéristiques et les principaux acteurs d’un marché des changes ? 16) Expliquer ce qu’est un billet de trésorerie ? Enumérer les conditions

grand nombre. En effet, on distingue en Europe 23 millions de PME qui représente 99 % des entreprises européennes. Les PME sont considérées comme un moteur essentiel de croissance économique, d’emploi, d’innovation et d’intégration sociale. De plus au cours des dernières années, les PME ont créé 80 % des nouveaux emplois en Europe. Mais à quoi correspond une PME ? Une PME au sens de la définition européenne est définie comme une entreprise employant moins de 250 salariés et dont soit le chiffre d’affaires

+ Association des banquiers canadiens Mémoire présenté au Groupe de travail sur l’examen du système de paiement Le 15 septembre 2010 EXPERTISE CANADA BANKS ON LA RÉFÉRENCE BANCAIRE AU CANADA Table des matières Sommaire exécutif........................................................................................................................... 2 Sommaire des principes et des enjeux que le Groupe de travail est invité à considérer................ 4 Introduction ..................

banque américaine « Lehman-Brother s » a précipité l’effondrement des marchés financiers, l’insolvabilité de certains ménages américains dû à des conditions de crédit beaucoup trop souples de la part des banques a conduit à une crise de liquidité bancaire, les banques ne se prêtant plus entre elles. Cette prise de risques des banques entraîne donc une contrainte financière notamment le gel des marchés interbancaires, la saisie de logements ainsi qu’un manque de liquidité pour les banques américaines

XIXème siècle ces crises deviennent agricoles et industrielles. Fin XIXème, on note l’apparition de réels cycles industriels marqués par une origine soit bancaire et boursière, soit industrielle. De plus, ces crises tendent à se développer sur le plan international. Les phénomènes spéculatifs sur les marchés boursiers et dans le secteur bancaire provoquent un krach boursier provoquant restriction du crédit (hausse des taux d’intérêts) et donc effets majeurs sur la sphère réelle (consommation, investissements)

banque doit gérer cette liquidité des actifs. Les déposants peuvent chercher à transférer leur dépôt vers une autre banque. Pour la banque, la gestion de cette monnaie liquide confronte d’un risque de fuite vers d’autre l’établissement bancaire voire une panique bancaire correspond d’une situation ou une grande partie de déposants vont demander une conversion de leur dépôt en monnaie centrale ou le transfert de leur dépôt vers une autre banque. 3.2. L’apport du modèle de Diamond et Dybvig. Ce modèle

. . . . . . . . . . . . . . . . DEVOIR intitulé. . .ECO-DROIT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N°. . . . .1,0 . . . . TEMPS PASSÉ à l’étude du cours :. . 4h30 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . à la rédaction du devoir : . .2H00 . . . . . . . . . . . . NOM. . JEAN-BAPTISTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

technique, résultant directement des innovations, sont-ils un moteur de croissance économique et la cause de modifications profondes de la société ? Nous verrons tout d’abord que innovation et entrepreneuriat sont des conditions nécessaires à la croissance, pour ensuite s’intéresser à l’impact de cette dernière sur l’économie et la société, en élargissant la réflexion à l’aide d’autres auteurs comme Nelson, Winter ou encore Harrod et Domar. I. Innovation technologique et entreprenariat, clés