Cours Le Paresseux

et cruel .Elle l’humilie quotidiennement. Un opposant dans l’histoire. * Monsieur Lepic : Le pere de Poil de Carotte . Il est indifferent et passe la plupart de son temps en voyage. * Felix Lepic : Le frere aine. C’est un garcon pale , paresseux et poltron . Un adjuvant dans l’histoire . * Soeur Ernestine : La soeur de Poil de Carotte . Un adjuvant dans l’histoire. Le Resume * Poil de Carotte est un enfant roux mal aimé, victime d'une famille cruelle. François Lepic est son vrai

Les paroles du père vont confirmer sa brutalité : «  maudit livre » (ligne 12). Il méprise la lecture « perdre son temps chez le curé » (ligne14). On peut supposer que le père est jaloux de son fils qui réussit ses études et du coup le traite de « paresseux » (ligne 12) car dans sa conception des choses, lire ne rapporte pas d’argent. Mais Julien va quand même abandonner à cause de ses blessures et va reprendre son « poste officiel ». Stendhal se poque de la brutalité du père ainsi que cette activité

Hsr s qsvd q thés qrq rdv f vqdfGervaise Macquart, l'héroïne, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur

TEXTE A - Victor Hugo, Les Misérables - , 4 ème partie, livre 12 Gavroche, un gamin de Paris, aide les insurgés qui construisent une barricade, au cours del’émeute parisienne de juin 1832. Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait,venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. Avait-il un aiguillon ? oui certes, sa misère ; avait-il des ailes ? ouicertes, sa joie. Gavroche était

Raymond Radiguet joue le moraliste, en effet, son roman abonde en aphorismes qui concernent l'amour, le fonctionnement paradoxal du coeur humain : « L'étiquette des cours est assez simple, comme tout ce qui est noble. Mais rien n'égale en énigmes le protocole des petites gens. », « Rien n'absorbe plus que l'amour. On n'est pas paresseux parce que, étant amoureux, on paresse. L'amour sent confusément que son seul dérivatif réel est le travail. Aussi le considère-t-il comme un rival. Et il n'en supporte

Coupeau-alcooliques Résumé : Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur

l'auteur fortune et célébrité Gervaise Macquart, l'héroïne, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Le jour où Lantier a abandonné Gervaise

changement de registre soutenu en courant ou courant en familier. Les élèves de toute façon savent faire la différence entre ce qu’ils ont le droit d’écrire dans une copie qu’ils vont rendre à l’enseignant et ce qu’ils ont le droit d’écrire dans leur cours comme les mots en abrégé. On peut donc dire que le langage texto ne menace pas directement la langue française , le langage évolue et il faut se servir de ce changement pour intéresser les jeunes qui savent faire la part des choses à l’écrit. En revanche

régulièrement une « pension de douze cents francs » à son fils, qui la détourne pour mener la « vie d'artiste », aux antipodes du modèle de réussite bourgeoise dont rêve le vieux Laurent pour sa descendance. Le calcul du paysan échoue devant le naturel paresseux et jouisseur de son fils, qui reconnaît néanmoins que le projet était valable : « Oh ! le père Laurent n'a que des ambitions utiles ; il veut tirer parti même de ses folies » (ch. V). La première de ces folies a été de fonder des espoirs sur un fils

en forme de calotte, lui fit perdre l'équilibre. Il allait tomber à douze ou quinze pieds plus bas, au milieu des leviers de la machine en action, qui l'eussent brisé, mais son père le retint de la main gauche, comme il tombait. « Eh bien, paresseux ! tu liras donc toujours tes maudits livres, pendant que tu es de garde à la scie ? Lis-les le soir, quand tu vas perdre ton temps chez le curé, à la bonne heure. » Julien, quoique étourdi par la force du coup, et tout sanglant, se rapprocha