Couvent des Oiseaux

parce que tu l’aimes Je t’ai menée souviens-t’en bien Ténébreuse épouse que j’aime Tu es à moi en n’étant rien Ô mon ombre en deuil de moi-même L’hiver est mort tout enneigé On a brûlé les ruches blanches Dans les jardins et les vergers Les oiseaux chantent sur les branches, Le printemps clair l’avril léger Mort d’immortels argyraspides La neige aux boucliers d’argent 17 Fuit les dendrophores livides Du printemps cher aux pauvres gens Qui resourient les yeux humides Et moi j’ai le

serpentAu soleil parce que tu l’aimesJe t’ai menée souviens-t’en bien Ténébreuse épouse que j’aimeTu es à moi en n’étant rienÔ mon ombre en deuil de moi-mêmeL’hiver est mort tout enneigéOn a brûlé les ruches blanchesDans les jardins et les vergersLes oiseaux chantent sur les branches,Le printemps clair l’avril légerMort d’immortels argyraspidesLa neige aux boucliers d’argentFuit les dendrophores lividesDu printemps cher aux pauvres gensQui resourient les yeux humidesEt moi j’ai le cœur aussi grosQu’un

Qu'une flamme Toujours suit. La voix plus haute Semble un grelot. D'un nain qui saute C'est le galop. Il fuit, s'élance, Puis en cadence Sur un pied danse Au bout d'un flot. La rumeur approche, L'écho la redit. C'est comme la cloche D'un couvent maudit, Comme un bruit de foule Qui tonne et qui roule Et tantôt s'écroule Et tantôt grandit. Dieu! La voix sépulcrale Des Djinns!... - Quel bruit ils font! Fuyons sous la spirale De l'escalier profond! Déjà s'éteint ma lampe, Et l'ombre

j'entends marcher Une armée de pâquerettes. Une trois mille chevaux Pour aller à Bolchevo, Un bateau chargé de billes Pour aller jusqu'à Manille, Un aéroplane aussi Pour aller au paradis. Un, deux, trois, j'entends chanter Tous les oiseaux de la plaine ; Un, deux, trois, j'entends pleurer L'eau de toutes les fontaines. Jean Rousselot La rivière Seul, désœuvré, j'errais un peu dans la maison, et puis j'allais m'asseoir sous le figuier du puits. C'est là qu'un beau matin

Police] s'en va en charpie, au grand dam de la patrie et de la société. L. DAUDET, Au temps de Judas, 1920, p. 158. [pic]Le cœur en charpie. Le cœur blessé, très malade : [pic]5. [pic]Ah! se disait-il, j'ai vécu vingt années en dix jours dans ce couvent et je sors de là, la cervelle défaite et le cœur en charpie; ... Le déluge est un mythe répandu dans de nombreuses cultures. C’est aussi un des plus anciens. Il relate généralement des pluies catastrophiques et les inondations consécutives qui exterminèrent

marche arriare Connaissance de E Resume avec sa vie antérieure. produite par le mariage). joie. 4 3 Sa vie au 4 4 Ses lectures La mort 4.2 4.2 • bourgeoises: Couvent de sa Rentrée au Lecture: * (La jeune ~~* critique des mere. Couvent Paul et Virginie romans de fille(. (passé) (passé) l'époque. (passé) (passé) (passé) La sortie ~ ^ d u couvent (passé) _>iPaysagedu cháteau. Mme Bovary: songes sur le mariage. L'arrivée de -*M. et Mme Bovary. Mme Bovary: occupations Jalousie de la mere de Charles. LA

climat décrit par le style vestimentaire. Ainsi que par « dans nos sales brouillard ». ------------------------------------------------- Brise marine La chair est triste, hélas! Et j'ai lu tous les livres.  Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres  D'être parmi l'écume inconnue et les cieux!  Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux  Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe  O nuits! Ni la clarté déserte de ma lampe  Sur le vide papier que la blancheur défend 

grecques ou latines. Nourrie de ces références érudites, l’évocation mélancolique de la mort de Myrto, disparue dans un naufrage, préfigure bien des élans lyriques du siècle suivant. La jeune Tarentine Pleurez, doux alcyons, ô vous, oiseaux sacrés, Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez. Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine. Un vaisseau la portait aux bords de Camarine. Là l’hymen, les chansons, les flûtes, lentement, Devaient la reconduire au seuil de son amant. Une clef vigilante

cette région du globe: Le krill : Le krill antarctique est une petite crevette : son rôle est essentiel, car il nourrit la plupart des espèces animales. Ainsi placé à la base de la chaîne alimentaire, le krill assure la survie des poissons, oiseaux et mammifères marins. Mesurant environ 6 cm de long, il se nourrit de plancton végétal, dont la couleur verte est perceptible à travers son corps transparent. PHOTO KRILL Le notothéninoïde: L’évolution a souvent permis aux animaux de s’adapter

trouve à faire son miel, Où les coins les plus noirs ont des lueurs du ciel ; Au milieu de cette humble et haute poésie, Dans cette paix sacrée où croît la fleur choisie, Où l’on entend couler les sources et les pleurs, Où les strophes, oiseaux peints de mille couleurs, Volent chantant l’amour, l’espérance et la joie ; Il faut que, par instants, on frissonne, et qu’on voie Tout à coup, sombre, grave et terrible au passant, Un vers fauve sortir de l’ombre en rugissant ! Il faut que le