Crâne

une mobilisation des esprits. Les journaux sont censurés : les gouvernements des pays en guerre interdisent tout discours défaitiste et mettent en place la propagande. Les populations ne sont pas dupes et surnomment cette propagande le "bourrage de crâne". Ajoutons que même les enfants sont mobilisés dans cette guerre : les publications qui leur sont destinées tournent autour de la guerre. Pour conclure, la victoire aura coûté cher à la France aussi bien au niveau matériel que humain. On voit donc

costume de Captain America, afin de soutenir l’effort de guerre et nourrir la propagande d’état. Rejetant cette manipulation, le super-héros préfère rejoindre ses compatriotes sur le champ de bataille européen en 1943 afin de combattre Red Skull (Crâne Rouge), un scientifique nazi près à envahir le monde avec ses machines de guerre. Après avoir combattu le nazisme pendant la seconde guerre mondiale, le personnage de Captain America devient le symbole de la lutte des Etats-Unis contre le communisme

Bilan : La mobilisation des esprits La première guerre mondial agit autant au niveau physique que moral, en effet, cette guerre fait entrer les sociétés des États belligérants dans une politique de propagande basée sur le mensonge et le « bourrage de crâne ». Ces sociétés stigmatisent l'adversaire en le faisant passer pour un monstre. Les belligérants adoptent alors une culture de guerre qui est l'ensemble des représentations de la guerre, ses violences et souffrances. En quoi les sociétés des pays

guerre et de la vie ne viennent pas saper le moral des citoyens et des soldats, les gouvernements utilisent des moyens de propagande (affiche, journaux …) et censurent les mauvaises nouvelles de la presse ou les lettres du front. Ce « bourrage de crâne » n’empêche pas les populations de s’inquiéter : des manifestations et des grèves éclatent un peu partout en 1917 et 1918. En Russie, elles entraînent la chute de l’empereur, le Tsar Nicolas II et l’arrivée au pouvoir du parti révolutionnaire bolchévik

(main d'oeuvre supplémentaire) L'Etat doit fixer les prix/demander aux épargnes de trouver de l'argent/ augmenter les impôts/aide des USA= crédit à l'emprunt. → Multiplications des restrictions, pénuries et réquisitions. C) « Bourrage de crâne » / Propagande / Censure. L'arrière doit être fort et tenir : ils ne doivent pas connaître les réalités meurtrières du front. → héroïsation des combattants, dénigration des ennemis, contrôle de la presse... → Enfants sont aussi concernés par

vies sont déplorables le froid, la boue, les rats et le ravitaillement dégradent fortement leur morale. Les soldats subissent aussi des violences psychologiques du aux xontraintes de la censure sur la correspondance, à la propagande, au bourrage de crâne, a la peur de la mort et aux divers traumatismes, la fatigue et l'éloignement familial. Une telle violence n'a été possible qu'avec un progrès de l'industrialisation et de nouvelles armes tels que les canons, les mitrailleurs, les mortier et le gaz

front, il l’est parfois dans le mensonge. Pour ne pas perdre la mobilisation des Français, l’Etat utilise la propagande pour influencer l’opinion publique (manuel scolaire, affiche…). En plus de l’Etat, s’ajoute la presse qui participe au bourrage de crâne en donnant de fausses informations (« Les balles ne tuent pas », « Tout va très bien » pour désinformer les lecteurs. En supplément de tout cela, s’ajoute la censure des lettres des soldats aux familles. Dès qu’une lettre révélait la violence, la dureté

française de 1917 fait pression sur les populations, en les faisant culpabiliser si elles ne financent pas. En cela, cette "grande guerre" mobilise les "esprits" et montre un autre aspect de cette guerre totale : propagande, censure, "bourrage de crâne" pouvaient être des expressions à utiliser pour mettre en avant le fait que mêmes les esprits furent "mobilisés".

moi »), pour peu que l’autre soldat soit lui aussi « raisonnable », donc conscient de l’absurdité de la destruction d’une vie humaine. - « tu as été pour moi une idée… ; c’est cette combinaison que j’ai poignardée». Ceci sous-entend un « bourrage de crâne », le fait qu’il ait été influençable. Il en prend connaissance : « nous voyons les choses toujours trop tard ». - Il se rend compte maintenant de toute « l’humanité » des ennemis : « A présent je m’aperçois pour la première fois que tu es homme

l’économie : besoin en armes et réquisition, organisent le rationnement : l’économie dirigée. La propagande à travers les affiches, la presse, le cinéma, la titt pour enfant joue un rôle important à l’arrière. La propagande devient un « bourrage de crâne ». La vie quotidienne est catastrophique aussi bien au front qu’à l’arrière. Les civils et les soldats souffrent de la brutalité de la guerre.