Crassus

l'avenir en échangeant avec le monde grec les objets de ses précédents butins, contre les matériaux destinés à la fabrication des armes. → Pour conduire la fin de la guerre, le Sénat fit appel au préteur Marcus Licinius Crassus, un choix surprenant puisqu'il succédait à deux consuls. Crassus accepta parce qu'il était ambitieux et que cette guerre le concernait personnellement : il était immensément riche, surnommé le dives (riche en latin), et sa richesse reposait sur le très grand nombre des esclaves

Jules César, très coûteuses, sont financées par le richissime Crassus, ancien fidèle de Sylla, celui qui réprima en 72-71 la révolte d'esclaves dirigée par Spartacus. Soutenir César est, pour Crassus, un moyen d'équilibrer l'influence de Pompée avec qui il partage le consulat.Finalement, les trois hommes s'entendent et s'entraident. César apporte le soutien du parti populaire et son prestige religieux, Pompée la gloire militaire et Crassus l'argent. Pour consolider l'alliance, Pompée épouse Julia, la

romain confia une armée de quatre légions au commandement de Crassus. Il ne cherchait pas à engager le combat contre Spartacus. Mais un de ses légats désobéit aux ordres et attaqua une partie des troupes de Spartacus avec plus de 8000 hommes, mais il subit un désastre : Crassus remit en usage un ancien châtiment et un dixième des soldats du premier rang, responsables de la déroute furent fouettés et mis à mort à titre d’exemple. Crassus voulut ensuite bloquer Spartacus par une ligne de retranchements

réductions fiscales des publicains des provinces d’Asie demandé par Crassus. Ces oppositions entre sénat et les impératores vont permettre l’essor d’une toute nouvelle alliance, inattendue, entre trois hommes; Pompée avec ses moult victoires et notamment celle de l’Hispanie, Crassus avec de la révolte de Spatacus écrasé 73 et César jeune avocat ambitieux. Du début des années 60 avec le triumvirat entre César-Pompée- Crassus jusqu’à l’assassinat de césar en 44 s’installe une relation de domination

Rabirius est condamné, mais fait appel au peuple romain, son jugement devant les comices est reporté puis l’affaire est finalement abandonnée32. César se fait élire en 63 av. J.-C. au titre de pontifex maximus grâce à une campagne financée par Crassus. Il dépense d’importantes sommes d’argent et contracte de nombreuses dettes, afin de remporter les suffrages des comices tributes, contre deux anciens consuls (Servilius Isauricus et Q. Catulus), plus âgés et expérimentés que lui33,34. Selon l’usage

écrasé une armée romaine.Le sénateur Crassus, l'homme le plus riche de la péninsule profita de l'absence des deux grands généraux Pompei et César, pour demandai et l'obtenir l'imperium autrement dit  les pouvoirs extraordinaires.Il conduira lui même 10 légions (1 légion est égale à 6000 hommes). Un de ses légats désobéissant à ses ordres, attaqua l'armée de Spartacus avec deux légions et bien sur elles se firent massacrer. Pour que cela ne se reproduise plus, Crassus remit en usage la décimation. De

hommes; mais l'union y faisait défaut. Les Gaulois et les Germains se firent battre. Spartacus, découragé, tenta de les conduire hors de l'Italie. Crassus le rejeta dans le Midi, et voulut l'enfermer dans la presqu'île de Rhegium par un retranchement de quinze lieues de long. Spartacus franchit l'obstacle, et extermina les troupes de deux lieutenants de Crassus. Ce dernier demanda au Sénat de lui adjoindre Pompée et Lucullus; mais il regretta bientôt sa démarche et voulut avoir seul l'honneur de réduire

enfant »). Il développe ensuite un exemple inspiré de l’antiquité (« Crassus » et « Parthes ») afin d’illustrer son premier argument. Le lexique de la morale est présent dès la première partie du texte. La Fontaine établit un parallèle entre Crassus et la fable du bouc et du renard. Pour soutenir cet argument fondamental, La Fontaine confronte deux exemples articulés par le groupe « au même enfant ». D’un côté un exemple historique, Crassus contre les Parthes, et de l’autre une fable d’Esope qui sera reprise

des décisions politique, trois hommes : Pompée, César et Crassus. Ils forment ce que l’on appelle le premier Triumvirat. Rapidement de nouvelles révoltes entrainèrent de nouvelles campagnes militaires favorisant l’émergence de nouveaux généraux vainqueurs qui se disputèrent le pouvoir. Les partisans de Marius se soulevèrent en Hispanie, et à Rome. Pour faire face à ces difficultés, le Sénat nomma alors Pompée à la tête de l’armée. Crassus de son côté se battait aussi contre les révoltés populaires

succès final, étouffant du même coup le renom des généraux qui y ont contribué. En 70 av J.C, le voici donc sur la voie triomphale qui mène au Capitole et revêtu de la dignité consulaire. Pourtant, il trouve en face de lui le riche et ambitieux Crassus. Il rompt alors avec le parti aristocratique et devient un héros populaire que ses victoires ont rendu presque légendaire. Menant une habile politique de bascule, il rend aux tribuns tous les pouvoirs que Sylla leur avait enlevés et confie aux chevaliers