Crédit coopératif

147 Léon Walras: l’épargne, le crédit et les crises (1860-1871) Roberto Baranzini* Dans sa reconstruction de l’analyse monétaire de l’Ecole de Lausanne, Bridel (1997) consacre une attention particulière à la contribution de Léon Walras depuis son arrivé à Lausanne en 1870. Si pendant la période qui précède sa nomination Léon Walras est certainement très actif dans les débats concernant les systèmes d’impôts et dans le mouvement coopératif, il intervient néanmoins à nombreuses reprises sur

En effet, le support physique joue un rôle symbolique, un signal de qualité, un générateur d'image, donc la production bancaire est effectuée en réponse à la segmentation et au positionnement adoptés. Par exemple, on ne peut vendre un produit de crédit pour logement de vacance dans une agence dont l'architecture et l'emplacement désignent son orientation vers un public de masse. b) Le personnel en contact : Le personnel en contact constitue également un atout pour appuyer la politique de produit

Massira. Ce rapport se compose de cinq parties essentielles : La première partie sera destinée à la présentation du Croupe Des Banques Populaires au Maroc ainsi que son fonctionnement. La deuxième partie sera consacrée à Organisation du crédit populaire du Maroc. La troisième partie sera réservée Les banques populaires régionales (BPR), organisation de proximité La quatrième Partie Les Tâches effectuées et les apports du stage La cinquième partie projet De Stage 4 4 Sommaire

entreprises ont un besoin de financement et vont emprunter. Le taux d’intérêt est un coût de production, les entreprises devront rembourser le capital et les intérêts. C’est une charge pour l’entreprise. Si le taux d’intérêt est élevé, le coût du crédit sera élevé, il y aura une baisse de la demande de capitaux et l’investissement baissera. 2- Taux d’intérêt pour les ménages Les ménages ont une capacité de financement car ils épargnent. Le taux d’intérêt est un revenu : c’est le prix de l’épargne

département «risques » 16 ▪ Section 1 : service crédit 16 ▪ Section 2 : service garanti 17 ▪ Section 3 : service Comex 17 ▪ Section 4 : service CGE 18 • Chapitre II : les différents crédits gérés par le département «risques » 19 ▪ Section 1 : les crédits de fonctionnement 19 ▪ Section 2 : les crédits aux particuliers (personnels) 32 ▪ Section 3 : les crédits d’investissements et jeunes promoteurs 39 □ CONCLUSION :

Organisation du département «risques » 16 Section 1 : service crédit 16 Section 2 : service garanti 17 Section 3 : service Comex 17 Section 4 : service CGE 18 Chapitre II : les différents crédits gérés par le département «risques » 19 Section 1 : les crédits de fonctionnement 19 Section 2 : les crédits aux particuliers (personnels) 32 Section 3 : les crédits d’investissements et jeunes promoteurs 39 CONCLUSION :

…………………………………………………………………………………………………………………. Chapitre I : vue d’ensemble sur le secteur bancaire marocain Section 1 : le secteur bancaire marocain Section 2 : la loi bancaire marocaine de 14 février 2006 Chapitre II : présentation du crédit populaire du Maroc Section 1 : historique Section 2: missions du groupe Section 3 : valeurs du groupe Chapitre III : Organisation et structure du CPM Section 1 : organigramme de groupe de

en question. Exemple : dès les années 90-2000, les banques tendent à externaliser leurs risques → elles vont chercher à sortir le risque de leur bilan, en essayant de vendre sur le marché certains types de produits : en particulier les risques de crédit. Par le biais de la titrisation, les banques participent à un processus de transfert des risques. La titrisation n'a pas seulement dilué les risques mais aussi le contrôle des risques. La crise des subprimes qui a éclaté en 2007 et qui a débouché

consultées. Outre les ouvrages, ce mémoire est aussi le résultat d’un travail de terrain. Car des informations ont été collectées au niveau de l’institution de microfinance U-IMCEC (Union des Institutions mutualistes Communautaires d’Epargne et de Crédit). Nous avons pu rencontrer le Coordonnateur d’une agence de l’IMF qui a mis à notre disposition des informations nécessaires à notre étude. Mais néanmoins, force est de reconnaitre que la plus grande partie d’informations a été collectée sur internet

toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce travail. LISTE DES ABREVIATIONS - AICA : Association Internationale des services de Contrôle de Assurances AMLO : Anti-Money Laundering Officers BCCI : Banque de Crédit Et de Commerce International BDL : Banque de Développement Locale BM : Banque Mondiale BRI : Banque des Règlements Internationaux CDD : Custmer Due Diligence CHIPS : Chambers Of Compensation Of Interbank Payement Sytems CNES : Conseil National Economique