Crédit d'investissement

RAPPORT DE STAGE Effectué à : La Direction Régionale Casa Centre de la : [pic] Sous le thème : Le Rôle du Diagnostic Financier Pour L’octroi d’un Crédit D’Investissement Travail Réalisé par : Nom & prénom : MAROUANE MIKDAM Option : TSGE Superviseur en entreprise : Nom & prénom : MR. EL HAIL HASSAN Filière : Chef Du Département Secrétariat Banque Clientèle Commerciale Encadrant : Nom  : MME.RACHAMI Juillet-Aout 2004 REMERCIEMENTS

LES OPERATIONS COURANTES DU GUICHET.................................10 CHAPITRE IV : LES PRODUITS DE LA SGMA……………………………………………………….……15 CRÉDITS................................................................................................................20 * Facilité de Caisse : * Crédits à la consommation : * Crédits Immobiliers : * Crédits de fonctionnement / investissement : * Placements en titres : CHAPITRE V : INNOVATION ET QUALITÉ....................................

d’Actif Tous ces produits bancaires qui supposent assumer un risque par la Banque : Produits d’Actif Fixe: •Crédits Bilatéraux: ligne de crédit avec différentes alternatives par : • Renouvellement: tacite, bullet •Dispositions: Crédit Simple ou Mixte •Crédits de Financement de Projets. •Crédits Syndiqués •Crédits-Relais •Crédits par Leasing /Renting •Crédits avec garanties réelles (hypothèques) •Crédits avec autres garanties: « cash collateral » (dêpot engagé en garantie au financement ) •Avals ( Bid y

les opération de banque -le secteur bancaire, soit à l'un des types d'établissement actif dans ce secteur. Au sens du droit positif français, une banque est l'une des catégories légales d'établissement de crédit (article L. 511-1 du Code monétaire et financier). Ces établissements de crédit obtiennent le monopole de l'octroi des opération de banque (article L.311-1 de ce même Code monétaire et financier). Ils n'ont pas le monopole de la distribution bancaire, qui représente la fonction de commercialisation1

banques se transforment sous l’effet de la crise du début des années (...) Le système bancaire représente aujourd’hui entre 2,6 % du PIB, et environ 400 000 salariés [1], près de 651 établissements de crédits (banques, banques mutualistes ou coopératives, Caisses d’épargne et de prévoyance, caisses de crédit municipal, sociétés financières et institutions financières spécialisées), dont environ 400 banques. [2] Il est très diversifié, comportant des établissements qui se différencient, en particulier

de Bâle, de l’organisation internationales des valeurs mobilières (IOSCO) et de l’association internationale des contrôleurs d’assurance (IAIS) •Coordonne les travaux dans les trois secteurs sur des sujets communs (banque, assurance, services d’investissements) •Composé à égalité des superviseurs des trois secteurs •Directives •Règlements •Décisions •Recommandations •Avis Les sources européennes La Comitologie •Niveau 1: Directives-cadres •Niveau 2: Dispositions d’exécutions – actes délégués

LE RATIONNEMENT DES PETITES ENTREPRISES SUR LE MARCHE DU CREDIT : MYTHE OU REALITE ? QUELQUES ÉLÉMENTS DE RÉPONSES ARTICLE POUR BANQUE ET MARCHÉS RÉSUMÉ L’objet de cet article est de s’interroger sur l’existence d’un rationnement du crédit supérieur sur les populations de PME 1. Dans ce but, nous avons eu recours à un modèle prenant en considération les déterminants de la demande et de l’offre de dettes financières. Après avoir estimé sur l’ensemble de l’échantillon les fonctions d’offre

l’investissement à un niveau correspondant au plein emploi. ( La baisse du niveau des taux d’intérêt favorise le crédit car il y aura moins de dépense dans le remboursement des intérêts. La hausse des demandes de crédits est un facteur de hausse de la demande effective, qui engendre un investissement plus que proportionnel. ( Des taux d’intérêt faibles favorisent la demande de crédits de la part des ménages et des entreprises. C’est donc un facteur de hausse de la demande de biens de consommation

afin de jouer convenablement son rôle d’intermédiation financière. D’après l’article 1 du premier chapitre de la loi bancaire du 6 juillet 1993, la banque est un établissement de crédit qui exerce d’une façon habituelle les opérations suivantes : * La réception des fonds du publique ; * La distribution des crédits ; * La mise à la disposition de la clientèle de tous les moyens de paiement et leur gestion ; * Et enfin, l’accomplissement des opérations annexes, notamment : le change, la

faillite de nombreuses institutions bancaires à travers le monde (HERSTATT (1974), BARINGS (1995), YAMAICHI SECURITIES (1996)) et l’effondrement du système financier mondial a davantage montré les lacunes dans la procédure de Gestion des risques de crédit. C’est pour cette raison que les gouverneurs des banques centrales des pays du G 10 ont décidé de mettre sur pied les normes pouvant régir la gestion des risques d’où la naissance du comité de Bâle en 1974. Dans notre contexte, le Cameroun