Criminalité

l-autre.ch Doit-on croire tout ce qu’on entend sur les étrangers ? Dans les sociétés complexes et multiculturelles, il est difficile d’avoir une expérience directe de la façon dont vivent les différentes communautés ou des phénomènes tels que la criminalité, le chômage ou les abus de la sécurité sociale. Ainsi, bon nombre de représentations qu’on a de l’autre, de l’étranger et de sa place en Suisse sont liées à ce que l’on peut lire ou entendre dans le cadre de la communication de masse. Ces dernières

tué par son ravisseur, des voix violentes s'élèvent et réclament la peine de mort pour les malfaiteurs. Mais à chaque fois il y a aussi des gens qui proclament que la peine capitale n'est pas la solution idéale, voire équitable, au problème de la criminalité. Qui a raison? Voyons de plus près les arguments qu'avancent les deux camps en présence. Doit on être pour ou contre la peine de mort ? Du côté des partisans de la peine de mort, on rencontre tout d'abord ceux qui voudraient adopter la célèbre

français? » il y a en France « un accroissement des inégalités entre les plus riches et les plus pauvres ». En effet letaux de chômage des jeunes avoisine les 44 % ce qui est une situation alarmante. Un autre problème propre à la banlieue est la criminalité des jeunes des banlieues. En banlieue le taux decriminalité est très élevé et ne cesse d’augmenter ce qui finit par faire comme le dit Robert Douillet « une mauvaise réputation de leurs quartiers ». Finalement un dernier problème concernant les

renoncer à la vie. Ensuite, la peine de mort n’aide en rien à réduire le taux de criminalité. Certains pensent que c’est plus efficace que la prison à vie, mais ce n’est pas le cas. Selon une étude réalisée aux États-Unis, le Sud du pays, où 80% des exécutions ont lieu, est la région ayant le plus haut taux de criminalité (au pays), tandis qu’au Nord-est du pays, où il n’y a que 1% des exécutions, le taux de criminalité est le plus faible. Tout ça pour dire que la peine de mort n’empêche pas les criminels

événements et en dernier lieu je vous pose la question suivante. Est-elle la peine de mort une solution viable pour diminuer la délinquance? C’est une question présentée au moment de discuter sur cet évènement si polémique. Pendant cette période, la criminalité n’a cessé d’augmenter : assassinats, vols et kidnappings ont tous été commis. Voici un clair exemple, l’assassinat des frères Peñasco au début de l’année 2012 a choqué toute la population. Apres 45 o 50 jours de cet événement la police et

il revêt son caractère punissable, et même si l’infraction en elle-même reste impunie, le complice pourra être poursuivi. D’où l’épithète punissable, introduit par l’article 121-6, et non puni ; c’est la théorie de l’emprunt de criminalité. De façon imagée, la criminalité de l’infraction rejaillit sur l’acte de complicité (qui n’est pas en lui-même illégal ; il peut s’agir d’une remise de clef ou du prêt de documents), c’est pourquoi le complice est puni de la sanction qui frappe l’infraction principale

se poser la question : la peine de mort réduit-elle la criminalité ? La meilleure façon de répondre à cette question est de comparer la criminalité dans un pays où la peine de mort est exécutive et un pays où elle est abolie. On peut en exemple comparer les États-Unis avec la Belgique. En Belgique, la peine capitale fut « officiellement » abolie en 1996, soit trois mois avant qu’éclate l’affaire Dutroux. Il faut constater que la criminalité en Belgique est restée relativement stable durant ces dix

créer par le droit international, sur ce plan ,c'est le législateur international qui détermine les infractions et les peines qui leurs concernent, en vue de protéger des valeurs internationales relevant de deux ordres théoriques (criminalité artificielle et criminalité naturelle ) incrimination naturelle de nécessité, incrimination artificielle de contingence Cette division de valeur exprime t elle une hiérarchie ? bien sur que la qualification des valeurs se diffère d’un Etat à l’autre.1)

acteurs impliqués dans l’exécution des peines 16. La perception de la gravité des infractions au sein de la population tout-venant : réalisation d’échelles de gravité – pour deux étudiants 3) Crime & médias 17. Déformation médiatique et criminalité : étude comparée de l’exposition médiatique des faits criminels et comparaison avec les chiffres officiels en ce qui concerne Liège – pour deux étudiants 18. Approche de la connaissance que la presse belge a du système judiciaire (sensu lato) :

tellement radical. Or une fois la peine exécutée, l'erreur judiciaire est irréparable... Pour conclure il faut se rendre à l’évidence que l'histoire de la peine mort a prouvé que cette forme de châtiment n'a jamais réussi à faire diminuer le taux de criminalité dans les pays qui l'appliquent. Elle n'est qu'une sorte de vengeance qui satisfait à court terme les esprits scandalisés par un crime affreux, mais elle n'est pas la bonne réponse aux questions soulevées par les motifs des criminels. Une solution