Criminalité

L'abolition de la peine de mort n'a pas débouché sur un regain de criminalité L'abolition de la peine capitale dans l'Hexagone, en 1981, semble être allée de pair avec un allongement des peines prononcées Menacer de mort pour dissuader du passage à l'acte, tel était l'argument brandi il y a trente ans par les partisans du maintien de la peine capitale. À entendre le sociologue spécialiste des questions de délinquance Laurent Mucchielli, une telle corrélation n'a jamais pu être établie : « Les

rivalités entre les grandes puissances, se retrouve à gérer des divisions régionale dans la perspective d’une stratégie pour sécuriser cette région. Le règlement des différents conflits qui enveniment la région, conjugués à la lutte contre la criminalité transfrontalière sont les défis à relever pour sécuriser l’espace sahélo saharien sur lequel les Etats doivent recouvrir leurs souverainetés. En effet, la sécurisation de la région sahélo-saharienne passe par une solution globale aux différents

La peine de mort La peine de mort ne sert à rien. En effet, si l’on prend l’exemple des Etats-Unis, on constate que dans les états qui l’utilisent, le taux de criminalité ne diminue pas par rapport aux autres Etats. Au contraire, la moyenne du nombre de meurtre est de près de 3,75% plus élevée dans les Etats qui l’appliquent. En conclusion, nous pouvons dire que la peine de mort n’a pas d’effet dissuasif. Extrait du cours de Science politique

Depuis la création des nouvelles technologies et leur développement au fil des années, la cybercriminalité a pu surpasser toutes les limités. Parmi ses caractéristiques justement, nous explique Commissaire Hejjouji, c’est qu’il s’agit d’une criminalité transnationale qui ne reconnaît pas les frontières entre les pays et les continents. « On peut très bien trouver un suspect au Maroc et le, ou les, victimes réparties de par le monde, dit- il. “Aujourd’hui, la cybercriminalité présente une menace

sur ce phénomène. Il a donc choisi de cibler la thématique du taxage chez les jeunes dans le cadre du programme de financement issu du partage des produits de la criminalité. Ce programme visé à accorder une aide financière aux organismes communautaires travaillant auprès de la jeunesse pour réaliser un projet en prévention de la criminalité. Ensuite, cette initiative a permis de recueillir des données auprès de 16 600 jeunes (garçons et filles) de niveau primaire et secondaire à travers le Québec.

Je pense que les cctv cameras permettent de prévenir la criminalité comme les agressions ou vols. Elles sont installées dans de nombreux lieux et ainsi peuvent faciliter le travail de la police. D’autant plus que lorsque les personnes savent qu’il y a des caméras, elles sont moins dans la tentation de commettre une infraction. La population peut ressentir un sentiment de sécurité. Malgré leur présence certaines infractions sont encore commises mais permettent par la suite d’acquérir des preuves

décider sur le mort ou la vie d’autres personnes. Je pense que la peine de mort est une peine sauvage qui doit supprimer dans tout le monde. La peine de mort n’est pas effectif pour supprimer la criminalité.  Par exemple aux états unies il y a la peine de mort, mais il y a encore beaucoup de criminalité. Plus que par exemple en France, où la peine de mort n’existe pas. Contre la peine de mort 1. la vie est sacrée, nul ne peut y attenter, même l’Etat 2. on peut traiter des malades mentaux, et

Un cybercrime est une « infraction pénale susceptible de se commettre sur ou au moyen d’un système informatique généralement connecté à un réseau ».Il s’agit donc d’une nouvelle forme de criminalité et de délinquance qui se distingue des formes traditionnelles en ce qu’elle se situe dans un espace virtuel, le « cyberespace ». Depuis quelques années la démocratisation de l’accès à l’informatique et la globalisation des réseaux ont été des facteurs de développement du cybercrime. Types d'infraction

se commettre sur les réseaux de télécommunications en général et plus particulièrement sur le réseau Internet » La Commission européenne, définit "cybercriminalité" par trois catégories d'activités criminelles : – les formes traditionnelles de criminalité, (fraude et la informatiques = escroqueries, fausses cartes de paiement…) falsification – la diffusion de contenus illicites par voie électronique (violence sexuelle exercée contre des enfants, incitation à la haine raciale…). – les infractions

donc comme étroitement liés à l'évolution de la société soviétique. Selon certains chercheurs, ils sont apparus, dans les années 60, lorsque l'économie souterraine s'est structurée en Union soviétique. Les tsekhoviki , c'est-à-dire l'élite de la criminalité économique, complétaient l'économie légale en offrant des biens de consommation frappés par la pénurie. Les teneviki  recouraient à des pratiques illicites telles que la corruption, les abus, la falsification de documents, les atteintes à la propriété