Crinière

pavillon de ténèbres tendues Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps! toujours! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir? Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire Poème de 7 quintil

sans tête épanche, comme un fleuve, Sur l'oreiller désaltéré Un sang rouge et vivant, dont la toile s'abreuve Avec l'avidité d'un pré. Semblable aux visions pâles qu'enfante l'ombre Et qui nous enchaînent les yeux, La tête, avec l'amas de sa crinière sombre Et de ses bijoux précieux, Sur la table de nuit, comme une renoncule, Repose ; et, vide de pensers, Un regard vague et blanc comme le crépuscule S'échappe des yeux révulsés. Sur le lit, le tronc nu sans scrupules étale Dans le plus

comme gardien, son salaire était maigre a peine pouvait il se nourrir, ils vivait dans un petit carton au bout d une ruelle ,il avaient adopté un chienpour le protéger , c était un berger allemand abondonné par ses maitres il était boiteux et sa criniére blanche devenu grise par la salleté le protégé du froid les jours de pluie. Les jours se faisait long et fatiha devenait de plus en plus malade il lui fallait un docteur pour la guerrir son frere decidait alors d allait a l hopital mais il ne l

habitait loin de toute ville, et il avait pour seule compagnie, un cheval. Un cheval qui devait être aussi vieux que l’homme. La bête faisait peur à voir, en effet, sa robe était parsemée de déchirures anciennes, de croûtes, d’œufs de mouches... Sa crinière avait presque disparu et les seuls crins qui restaient étaient tout emmêlés. La seule partie du corps de la bête qui était soigné, était ses sabots. Le vieux avait construit une petite écurie pour le cheval. Celui-ci, la plupart du temps n’en sortait

Cette animal a un corps massif et long de plusieurs mètres environ avec trois bosses dont celle du milieu est la plus grande, mais d'une très petite tête suspendue à un très long cou . Il s'agit d'un animal poilu que ce soit sous forme de crinière, de moustache ou bien encore de fourrure . Il a des cornes comme celles de l'escargot . Nous pouvons constater qu'il se déplace très rapidement par ondulation dans un plan horizontal. D'après Bernard Heuvelmans, il s'agirait plus certainement d'une espèce

pas aussi nettement délimitées. Il a également des poils plus clairs au niveau de l'arcade sourcilière, et le ventre est teinté de gris clair. Sa robe d'hiver est brun foncé et les taches ne sont pas ou peu visibles. Les mâles adultes portent une crinière très développée. Le brame a lieu de fin septembre à début novembre. Les mâles émettent un long sifflement très aigu qu'ils répètent trois fois. Ils se battent souvent pour garder leur statut de dominant et ainsi pouvoir se reproduire avec les biches

grande taille accentue encore davantage sa minceur. Elle a de belles mains, avec au bout des doigts de long ongles que l'on pourrait confondre avec des griffes de chat. Ses cheveux sont toujours très bien coiffés et leur couleur fauve rappellent la crinière d'un lion. Pour soutenir sa tête, elle a un long cou, c'est pourquoi certains hommes du village l'appellent La Girafe. Les traits de son visage ainsi que son nez et ses sourcils sont fins. Ses yeux sont perçant. Ils sont si gris qu'on pourrait les

on désigne ici l'ensemble des plumes qui ont une forme ou une implantation particulière : Capucin hollandais, Frisé milanais, Frisé hongrois, Nègre à crinière, Queue de paon. -Les pigeons Tambour : les pigeons de ce groupe ont tous en commun d'émettre un son qui rappelle un peu un roulement de tambour : Tambour allemand à coquille et

qu'elles aiment le maïs et d'autres grains qui sont semés dans les champs. Dans quelques régions on a vu les ciguapas chevaucher par des chevaux a l’aube dans les plaines des montagnes, et les ont découvertes en faisant des tresses dans les crinières et les queues des chevaux. On dit qu'une ciguapas a été attrapé un jour de lune croissante, avec un chien campagnard. Cependant, on ajoute qu'il est préférable de les laisser en paix, puisqu'elle est si grande douleur qu’elles sentent dans une captivité

refuse le titre de chevalier en 1902. S'ensuit une retraite à la campagne[Quand ?], où Holmes passe ses dernières années à étudier les abeilles et à écrire un traité d'apiculture. Il sortira de cette activité pour narrer lui-même une aventure (La crinière du lion), ayant peu de contact avec le docteur Watson[8], et pour rendre service à son pays à la veille du premier conflit mondial en déjouant les ruses d'un espion prussien (Son dernier coup d’archet).