Crise Chez Les Neo Classique

Présentation de la macroéconomie Classique & Néo-classique Economie et Management Internationaux Encadré par : Professeur BENTAHER Réalisé par : BENJELLOUN ANDALOUSSI Sofiya MEZZOUR Bouchra CHTIR Elmehdi ELHASNAOUI Elmustapha ANNEE UNIVERSITAIRE : 2014-2015 Sommaire Introduction et problématique …………………………….3 Ecoles classique & Néo-classique : Fondements et principes ………………………………………………………4

anonymes (telles que les sectes, la bureaucratie), • danger de soumission aux biens matériels (société de consommation), • danger lié à l'incapacité de choisir franchement entre le bien et le mal. De nombreux sociologues contemporains auront trouvé chez WEBER une source d’inspiration : • Les fonctionnalistes lui ont emprunté la notion d'action, • R. BOUDON en fait un précurseur de l'individualisme méthodologique et • P. BOURDIEU lui doit la notion de légitimité. Page 1 sur 9 15/10/2005 FICHE AUTEUR

le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois, l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néokeynésianisme et la nouvelle économie keynésienne. L'influence du post-keynésianisme est plus limitée mais non négligeable dans certains pays, notamment en France. Cette école se place en opposition radicale aux principaux courants

de la monnaie que « bien qu'écrite par un styliste de premier ordre, l'ouvrage n'est pas facile à lire, ni à comprendre et à juger ». Aussi son œuvre a fait l'objet d'interprétations diverses. La plus influente demeure celle dite de la synthèse néo-classique dont les plus illustres représentants sont les prix Nobels John Hicks, qui est avec Alvin Hansen le fondateur de ce courant, Paul Samuelson et Franco Modigliani3. De nos jours la nouvelle économie keynésienne est relativement influente notamment

d'emblée au niveau macro-économique et considèrent que la « théorie classique n'est applicable qu'au cas du plein emploi[2] ». Or, écrivant durant la période de crise de l'entre-deux guerres, ce qui l'intéresse, c'est ce qui se passe en période de sous-emploi. De cela découlent deux points clés : l'offre ne crée pas comme chez Jean-Baptiste Say sa propre demande mais dépend de la demande effective ; à la différence des classiques la monnaie n'est pas un « voile » mais influe sur l'économie réelle

des années 30, 70, et plus récemment des subprimes, doivent-elles être analysées comme des moments de mutation d’un système économique spécifique ? Définition Afin de répondre à la question, il convient en premier lieu de définir les termes de « crise économique » et « système économique ». Après une recherche sur Internet, les définitions données par Wikipédia et cités plus bas, restent les plus pertinentes pour se devoir. « Un modèle économique, ou système économique, est un mode d’organisation

des théories libérales auraient conduites à nouveau a un dès encastrement de la société. Avec la globalisation financière les marchés financiers auraient pris l’ascendant sur les Etats nations. Donc thèse de Polanyi non valide. Pour autant la crise de 200, est venue démontrer la fragilité du système international si bien qu’un certain nombre de pays industrialisés le G20 ont commencé à réfléchir à une nouvelle régulation de l’économie international = nouvelle gouvernance de l’économie mondiale

revenus. La littérature économique est fortement émaillée d’analyse abordant les questions de la répartition des revenus. Les classiques se sont intéressés en particulier aux questions de la répartition (Ricardo, Marx). Les néo-classiques se sont intéressés également à la formation de la répartition (Walras). D’autres courants ont également traités cette question de répartition (néo-cambridgien années 50-70). L’analyse de répartition occupe une place importante dans la littérature économique. L’Etat,

font partie de notre quotidien, les médias évoquent continuellement les questions liées à la croissance économique et à ses moteurs comme par ex le commerce extérieur ou la consommation, à l’emploi, au système financier mondial (notamment depuis la crise financière de l’an passé). Le phénomène n’est pas nouveau mais semble parfois s’intensifier. On commente régulièrement les derniers chiffres liés à la croissance et aux prévisions de croissance, l’évolution des indices boursiers est donnée en continu

précise ce qui était déjà présent chez Quesnay, dans notion de produit net et sa répartition. Il précise qu’une seule partie de la valeur agrégée au produit naturel est susceptible d’être partagé. Limite de théorie de la valeur comme formation des prix conduit Ricardo à préparer dans « Essai sur les profits » une redéfinition de la notion de difficulté de production, non plus en terme travail incorporé, mais en termes de surplus de production. Problème retrouvé chez Marx, souligne difficulté de théorie