Crise congolaise

principale est d’assurer une plus grande justice sociale en favorisant une redistribution des revenus au profit des agents économiques les plus pauvres. Ce phénomène de redistribution sociale s’est accru depuis le ralentissement économique engendré par la crise de 1973 et repose sur un certain nombre de principes. 1/ les objectifs de la redistribution : En dehors du constat de l’existence d’inégalités engendrées par la répartition primaire des revenus, le principe de la redistribution se justifie par

autre point très important concerne les crises économiques, maintenant que toute la planète fonctionne sur un principe d’exportation et d’importation, il suffit qu’un pays ralentisse économiquement pour voir ensuite tout les autres pays tomber en crise économique eux aussi. Comme nous avons pu le voir ces deux dernières années avec les États-Unis. Pour conclure, on peut constater par les 4 facteurs que nous avons expliqué dans ce texte que la mondialisation à peut-être des avantages mais elle

les fluctuations de l’activité économique en les décomposant en une succession de phases clairement identifiables qui se répètent dans le temps de manière ordonnée. Un cycle économique est caractérisé de quatre phases à savoir : l’expansion ( la crise ( la dépression ( la récession et la reprise. Les tentatives d’appréciation de la période des cycles (c-à-d de leur durée) ont abouti essentiellement à distinguer trois types de cycles (nommés selon le nom du découvreur) : Cycles de 40 mois ou

pour récupérer leurs profits augmentent les prix. Elle peut également résulter d'une augmentation de la fiscalité peut prendre la forme d'une inflation importée 3. La déflation freine l’activité économique. Elle entraîne presque fatalement une crise économique et financière. elle a des répercussions sociales en aggravant le chômage et en diminuant le pouvoir d'achat des salariés, Les salaires diminuent à leur tour, l’augmentation des coûts de production. Parallèlement, le taux d’épargne s’accroît

Dans son ouvrage intitulé Jusqu’à quand? Pour en finir avec les crises financières, Ed. Seuil, 2008, Frédéric Lordon s’interroge sur « l’effrayante nocivité de la finance déréglementée » et les dérives du libéralisme. Compte tenu du contexte de crise qui prévaut à l’heure actuelle, une question s’impose : qu’a t – on fait pour en arriver là ? Une entreprise, pour assurer son avenir, doit investir dans des actifs durables lui permettant d’optimiser son cycle d’exploitation. En ce sens, la mondialisation

liquidité). Néanmoins, elle ne permet pas d'anticiper une éventuelle crevaison[1] (défaillance d'une contrepartie importante) et ne s'intéresse que partiellement à la possibilité de vents contraires de plus de 150 km/h (crise prolongée de liquidité) ou à l'occurrence de gros bouchons (crise économique). Sa pratique et son degré de sophistication varient significativement d'un établissement à un autre, dans la mesure où les contraintes réglementaires n'obligent qu'à un suivi basique des différents risques

AIG et Manchester United, un couple en crise. Lors de la crise de 2008 des subprimes, le groupe d'investissement américain AIG est frappé de plein fouet par celle-ci et de ce fait touche son sponsoring-partner le plus connu qui n'est autre que le grand club de Manchester United (MU). Cette situation met en danger le club mancunien qui se voit contraint et forcé de changer de sponsor et ainsi assuré un apport financier nouveau et propre. En quelques années la prospérité économique du club à chuter

entreprise mondiale selon le classement Fortune 500 (2009), 2ème groupe bancaire au monde et 1ère entreprise belge. En 2008-2009, la plupart des pays industrialisés sont entrés en récession suite à une crise financière qui a son origine dans des prêts imprudents à l'habitat aux États-Unis. La crise des subprimes en 2007 a provoqué des pertes importantes qui ont conduit à de très fortes tensions sur le marché interbancaire. Le 29 septembre 2008, Dexia est sous pression, en raison de ses relations d'affaires

La crise financière est-elle terminée ? Introduction : La plus grande crise économique de l'ère moderne a démarré le 15 septembre 2008 avec la faillite de la banque d'affaires Lehmann-Brothers, suite de la crise des subprimes qui a débuté au second semestre de l’année 2006. Une crise économique est caractérisée par un profond retournement de la situation économique d’un pays, d’une nation ou d’une zone géographique plus importante. Elle débute souvent par un krach, mais ses répercussions

aggravant de la crise. Le débat autour d’elle se pose dès lors que le marché n’est plus efficient ou liquide (Michel Prada, AMF).La juste valeur a alors un effet multiplicateur de volatilité du marché (Jean-François Lepetit, CNC), aggravant l’illiquidité des marchés et créant un effet de « procyclicité » en contradiction avec la mission originelle de la comptabilité (Etienne Boris, PwC). Au contraire (Philippe Danjou, IASB), la juste valeur a joué son rôle de révélateur de la crise. Elle n’entraîne