Crise de l'énergie

|LES MARCHÉS DE L'ÉNERGIE | 1970 : Consommation d’énergie dans le monde Pétrole = 45,6% de l’énergie mondiale consommé dans le monde Charbon = 30,6 % Gaz naturel = 17,4% Electricité hydraulique = 5,8% Nucléaire = 0,5% Energies primaires 1950 : 57,5% pour le charbon devant le pétrole avec 25,5% La crise pétrolière traversée depuis 1973 s’est traduite par une augmentation de

de constater que ceux-ci ont fortement augmenté dans la plupart des biens de consommation courante (hors technologie, bien entendu) . Corrélation ou pas, l’inflation sur les produits de base est belle et bien réelle. Elle illustre une partie de la crise économique que nous vivons aujourd’hui. Et c’est le consommateur, comme d’habitude, qui en subit les conséquences. Les postes de la répartition moyenne d’un budget par foyer Nous pouvons selon le classement de l’INSEE répartir un budget familial de

utilisation de l’énergie qui met en cause l’environnement et surtout la peur d’un déclin de l’Amérique sont autant de raisons de douter de la capacité des USA à se sortir de cette crise qui sévit depuis 2008. Si la volonté d’Obama est de rompre avec les pratiques de l’administration de son prédeceseur Bush en réintroduisant une place plus importante de l’Etat pour sauver le système, il convient donc de comprendre les intentions de son gouvernement pour sortir l’Amérique de la crise économique, financière

végétales) ont contraint le monde à changer sa manière de vivre. De plus la raréfaction des énergies fossiles, la répartition inégale des ressources et l’augmentation des prix des matières premières ont forcé les nations à prendre des décisions. L’énergie nucléaire, représentant plus de risques que d’avantages (Fukushima à l’heure actuelle), a été écartée au profit des énergies renouvelables. [pic] Depuis 1997, le protocole de Kyoto a été mis en place et ratifié par 182 pays. Néanmoins la Chine

naturelles, la diminution de la production des déchets et enfin la rationalisation de la production et la consommation d’énergie. En fait, ce concept est né de deux constats : la fracture Nord/Sud et la recherche d’un développement humain, ainsi que la crise écologique accompagnée de l’urgence de sauvegarder l’environnement. II. ENJEUX DU DEVELOPPEMENT DURABLE : Contrairement à l'idée qu'on s'en fait généralement, l'enjeu n'est pas qu'environnemental : il s’agit d’un nouveau modèle de développement

Français sont les premiers à comprendre les avantages sociaux d’une natalité limitée : c’est la « révolution démographique ». - Effets de la « Grande Guerre » de 14-18 catastrophiques : déficit de 1 million de naissances (« classes creuses »). - La crise de 1929 entraîne un taux de mortalité supérieur au taux de natalité. - 2e guerre mondiale : 600 000 morts et entraîne un déficit de naissances de 500 000 En 1945 la France a le même nombre d’habitants qu’en 1900 : 40 millions. -Après la 2e guerre

endogènes du capitalisme taylorofordien : Jusque là, le faible prix de l'énergie permettait de les dissimuler. Lorsque le cours de l'énergie explose sous l'effet des chocs pétroliers, on prend conscience que l'industrie du TF n'est plus en mesure de répondre à la réorientation de la demande des consommateurs et le fordisme n'est plus efficace pour réguler le capitalisme. III. De la crise aux mutations : - Cette décennie marque le passage d'un capitalisme managérial à un

il n'en est pas moins resté positif. • Europe La zone euro accueille un seizième membre Slovaquie : L’euro devrait lui permettre de mieux résister à la crise financière, et d’éviter la situation de ses voisins (Les devises de la Pologne, Rép Tchèque, Hongrie ont perdu entre 10 et 25% de leur valeur depuis juillet 08) CRISE EN ESPAGNE : Record du chômage en Espagne : 3,1 millions de chômeurs recensés fin décembre 2008. Jamais vu depuis 1996. Le nombre de chômeurs a augmenté de 47% par

l’industrie papetière dans les pays avancés bien avant la crise. L’effondrement de la demande et la chute des prix dès fin 2008 ont particulièrement fragilisé les industries ouest-européennes qui avaient davantage tardé que leurs homologues nord-américaines à se restructurer. L’amélioration sera lente en 2011, même si les marges des entreprises on commencé à se rétablir, en ligne avec la remontée des prix. Dans les zones émergentes, l’impact de la crise a été bref. Mais la rentabilité des entreprises y est

gouvernement du G20, réunis depuis la veille à Pittsburgh, ont achevé vendredi leurs discussions et ont publié un communiqué final dont voici le préambule traduit de l'anglais. " 1. Nous nous réunissons en ce moment crucial de transition entre la crise et la reprise pour tourner la page d'une ère d'irresponsabilité et adopter un ensemble de mesures, de règles et de réformes nécessaires pour répondre aux besoins de l'économie mondiale du XXIème siècle. 2. Lors de notre dernière rencontre en avril