Critique De La Théorie Keynésienne

levier, rentabilité. • Pour keynésiens, politique monétaire expansive = effet positif sur l’investissement et croissance, mais, négatif car baisse tx d’interet = Hausse inflation. [donc, moins de croissance.] • Pour les Libéraux, création monétaire trop importante = Inflation. Milton Friedman « L'inflation est partout et toujours un phénomène monétaire. » Toute variation de la masse monétaire a une incidence sur le niveau général des prix. Selon la théorie quantitative de la monnaie : (M*v

monétaire de la Banque Centrale Européenne selon le même schéma : son objectif de stabilité des prix, sa stratégie de croissance de la masse monétaire, ses divers instruments d’émission de monnaie de banque centrale. • La section 25.4 en appelle à la théorie quantitative de la monnaie et à diverses formes du monétarisme pour étayer les idées quant à l’efficacité des politiques monétaires. • La section 25.5 avertit de ce qu’il faut tenir compte d’autres facteurs, plus circonstanciels que ceux mentionnés

DOCUMENT 2 : Déficit public (en % du PIB) Notifications à la commission européenne (zone euro) ; OCDE (Etats-Unis et Japon) ; Revue de la stabilité financière, n°5 ; Banque de France novembre 2004 DOCUMENT 3 Selon la nouvelle théorie anti-keynésienne des finances publiques, la politique budgétaire de stabilisation n’a aucun effet favorable sur l’activité. D’une part, les gouvernements utiliseraient l apolitique budgétaire à mauvais escient, à des fils électoralistes et non à des fins

l’économie. Ainsi, durant les années 1930, KEYNES s’est rendu compte que les néoclassiques avaient tort lorsqu’ils affirmaient que le chômage était volontaire. KEYNES sort alors sa Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie en 1936 qui présente la base de la macroéconomie traditionnelle. « La macroéconomie keynésienne traditionnelle a été la conception économique dominante durant les Trente glorieuses ; elle a inspiré la plupart des politiques conjoncturelles de cette époque. ». Dans les

intérêt, de nombreuses réglementations et une intense sociabilité encadrent la production au sein du système corporatif, l’Etat intervient fortement dans le commerce intérieur (“ police des grains ”) comme dans le commerce international (influence des théories mercantilistes). Si donc des relations de marché existent, on ne peut parler, ni au Moyen Age, ni à l’époque moderne, d’économie de marché au sens où les relations marchandes seraient la forme principale de régulation des activités économiques.

pollution. La population augmente + vite que les ressources. A l’époque en Angleterre cela entraine un manque de ressources. On ne prend pas en compte que les ressources s’épuisent. 1) Les néoclassique. Ils vont s’éloigner des classiques par la théorie de la valeur. Pour eux un bien n’a de la valeur que s’il est utile. Les néoclassique vont se centrer sur le concept d’utilité marginale (supplément d’utilité résultant de la consommation d’une unité supplémentaire). C’est le concept centrale des

expansionniste. Les politiques de relance peuvent faire intervenir la politique budgétaire et la politique monétaire. Les politiques de relance sont l'application de la théorie keynésienne selon laquelle le gouvernement pourrait efficacement relancer l'économie par des dépenses publiques supplémentaires. Théories Keynésienne, comme Classiques, ont pour objectif d’approcher le Carré Magique (croissance, chômage, inflation, balance commerciale), avec chacune leurs hypothèses. C’est une politique

alors aucun chômage involontaire. Il peut à la limite y avoir un chômage transitoire. Si il y a trop de chômage involontaire le salaire diminue et les entreprises embauchent donc plus. On retourne alors à l'équilibre du marché. KEYNES Keynes critique l'idée que lorsque le salaire est faible l'offre de travail l'est aussi : au contraire, on constate que les salariés travaillent plus pour garder leur niveau de vie. Keynes observe dans la crise de 1929 que les baisses de salaire ne permettent pas

indispensable A les facteurs économiques de la croissance et du développement (croissance extensive et intensive ; rôle du capital, du travail, du partage des gains de productivité; de la DIT...) et ex. de stratégies de développement réussies (NPI) B les théories économiques du développement : Rostow et le décollage des économies, une approche libérale du développement comme succession d’étapes, ou des approches qui insistent sur les blocages de la croissance (cercle vicieux de la pauvreté, dépendance et

pourtant raison, car cette parité, maintenue par une politique déflationniste désastreuse, doit être abandonnée en 1931. En octobre 1930, il publie le traité sur la monnaie, dans lequel il rompt avec l’analyse monétaire de l’inflation. La théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie est publiée en 1936. En 1940, Keynes devient membre d’un conseil consultatif chargé d’organiser le financement de la guerre. En 1942, il est fait « baron Keynes de Tilton » et siège à la