Critique De La Torture

car il trouve ses principales racines dans les différents évènements qui ont eu lieu dans le passe, de l´Antiquité jusqu´au Moyen Age. Les humanistes sont capables de profiter des bonnes idées nées dans le passe mais aussi de formuler une forte critique mais de façon intelligente. L´humanisme cherche un retour à l´Antiquité, cherche à maintenir et a revaloriser les écrits, les idées et les personnages antiques. Nous pouvons regarder la fresque de Raphaël nommée L´école d´Athènes qui est un exemple

historisation des mémoires (depuis la fin des années 1990) a) Vers la fin des mémoires officielles ? b) Les historiens et la nécessaire quête d’objectivité pour apaiser les mémoires. Introduction  Histoire Ecriture critique du passé Sciences humaines Analyse du contexte + critique des sources + confrontations Vise l’objectivité Mémoire Rapport subjectif d’un individu/groupe au passé Sélection d’événements  Rapports complexes + débats sensibles - Réveil les mémoires ce qui stimule la recherche

L.A 12 : « La torture », livre II, chapitre 5 de Montaigne Texte extrait chap. des Essais de la cruauté, M manifesste son scepticisme à l’égard pratique totalemt admise à son époque : la TORTURE Allusion de l’ordonnance de VILLERS-COTTERETS (1539) Torture en France  loi française Philotas : lieutenant d’Alexandre Le Grand typique de l’humanisme, accusé de complot contre Alex sous la torture il a avoué être coupable Pas d’autres preuves que ces aveux  condamné à la lapidation, condamnation à mort

L’Encyclopédie a pour mission de rassembler les connaissances théoriques et pratiques du temps et de les mettre à la portée de tous ; mais le but de ses auteurs est avant tout d’examiner toute idée à la lumière de la raison, de proposer une réflexion critique. Le travail de rédaction de l’ouvrage s’étend de 1751 à 1772. Devant l’ampleur de la tâche (17 volumes de texte, 11 de planches, 5 volumes supplémentaires), Diderot fait appel à des collaborateurs (178 en tout) : Daubenton (collaborateur de

des pièces fortement engagées pour nous faire voir la dure réalité du monde actuel. L’une d’entre elle nommée Dissidents a fait beaucoup parler puisqu’elle dénonce plusieurs injustices de la vie actuelle. Entre autre, Aurélie Olivier a écrit une critique sur cette pièce disant que : «Philippe Ducros est un homme engagé, qui utilise l’art pour nous sensibiliser aux enjeux sociopolitiques de notre monde, et aux abus et injustices de toute nature qui abondent en ce 21e siècle naissant1.» Je pense que

d’Anouilh donne le contexte d’écriture. Texte B : Voltaire, Article « Torture », Dictionnaire philosophique. I. Le constat ironique d’une pratique inhumaine légale 1) Le lecteur s’attend à lire une définition de la torture : Très nombreuses occurrences du terme, de façon explicite. De façon implicite, on peut relever des euphémismes (expériences, donner la question.). Enumération ainsi que gradation dans l’horreur des actes de torture pratiqués. 2) Une ironie omniprésente : Voltaire n’essaie pas d’expliquer

les auteurs ont pour but de défendre les Français insoumis ayant désertés ou même combattu au côté des Algériens et vont essayer d’éclairer la communauté Française et Internationale sur la réalité de la situation en Algérie. Ils vont développer une critique forte du rôle de l’armée et présenter les insoumis comme des résistants luttant pour la justice. Nous pouvons donc nous demander comment les auteurs du manifeste parviennent-ils à présenter la situation en Algérie d’une toute autre manière que ce

extraits dont nous disposons, tirés de Histoire des voyages de Scarmentado écrite par lui-même, Torture et Lettre à monsieur le comte d'Argental, respectivement écrits en 1756, 1764 et 1762. Le premier passage nous relate les mémoires d'un jeune homme faisant l'expérience de l'intolérance, l'injustice et la tyrannie au sein de l'Espagne. Dans le suivant, Voltaire fait une critique violente de la torture, traitement encore infligé aux accusés, malgré son abolition en 1780. Quant au dernier, Voltaire

Introduction : -la torture était une pratique judiciaire courante -pour le bien de l’âme, car sauver l’âme était plus important que sauver le cors -le bourreau devait officier sans haine: impossible. Aucune religion ne peut justifier la torture -la torture entre alors dans un contexte général I La question dans les différents contextes 1.1 Vocabulaire -différentes dénominations : Gde torture (fractures), petite torture (sans fractures), l’expérience, la question -chirurgien : personne

(1694-1778)ARTICLE "TORTURE", DICTIONNAIRE PHILOSOPHIQUE (1764)(Extrait)Les Romains n'infligèrent la torture qu'aux esclaves, mais les esclaves n'étaient pas comptés pour des hommes. Il n'y a pas d'apparence non plus qu'un conseiller de la Tournelle regarde comme un de ses semblables un homme qu'on lui amène hâve, pâle, défait, les yeux mornes, la barbe longue et sale, couvert de la vermine dont il a été rongé dans un cachot. Il se donne le plaisir de l'appliquer à la grande et à la petite torture, en présence