Critique Friedman Courbe De Philipe

2008). → Etudié par FRIEDMAN et VINES. Ils disent que la crise est liée à une mauvaise action de la FED, a laissé les banques faire faillite  Contraction massive de la masse monétaire, donc le crédit bancaire, donc l’activité économique. La théorie quantitative de la monnaie : marche aussi dans le sens inverse. Pourquoi la BC n’a pas joué le rôle de prêteur en dernier ressort ? → manque d’expérience du gouverneur de l’époque, et jeunesse de la FED. Cette analyse de FRIEDMAN : il y a corrélation

neutre pour les auteurs « classiques » ................................................................. 53 3.2.2 La monnaie est « active » pour Keynes ......................................................................................... 54 3.2.3 Friedman et la vision monétariste .................................................................................................. 55 3.3 LE PROCESSUS DE CREATION MONETAIRE................................................................................

monétariste de la crise de 1929  Analyse proposée par M. Friedman et A. Schwarz (Histoire monétaire des ÉtatsUnis – 1959) ◦ Crise de 1929 correspond à une phase "normale" du cycle économique court ▪ la fin normale de la croissance des années 20 qui s'épuise ▪ les maximums industriels avant le krach ▪ signes d'essoufflement avant la chute des cours ▪ mais son ampleur s'explique par des erreurs de politique monétaire ◦ Double critique de Friedman à la politique monétaire : ▪ hausse trop tardive des taux

les inaptes, qui obtiennent le droit d’être soutenus mais cela relève de l’assistance. On exclut ensuite les aptes qui cherchent mais ne trouvent pas, ils sont aidés alors à trouver du travail. Les oisifs fainéants et mendiants sont intolérés et critiqués. Ainsi toutes les catégories sauf les inaptes ont été définies comme chômeurs. Bourse du travail : ancien ANPE. C’est dans les années 30, avec la crise industrielle, que cette nécessité de compter, contrôler et définir les chômeurs s’est accélérée

l'emploi augmente ( pression sur les salaires : - soit on est proche du plein emploi et on doit débaucher. - ou bien le chômage baisse alors les salariés ont plus de pouvoir pour faire aboutir leurs revendications. (cf. courbe de Philips) B. L'inflation est source de croissance Quand il y a de l'inflation c'est intéressant d'emprunter et donc de réaliser des investissements C. Comment expliquer alors la stagflation? 1. Le mécanisme de formation

L’offre de la monnaie 1.5 Marchés de capitaux et intermédiation financière 2). Le rôle de la monnaie et ses effets : 2.1 La monnaie dans un modèle à générations imbriquées 2.2 Inflation, neutralité de la monnaie et seigneuriage 2.3 La courbe de Phillips : la critique de Lucas 3). Le rôle du système bancaire : 3.1 Demande de monnaie et détention d’actifs 3.2. Intermédiation financière et offre de monnaie 3.3 Les effets des fluctuations du stock de monnaie 3.4 le risque bancaire 4). La théorie monétaire

subventions) l'externalité positive, et de faire payer l'externalité négative (réglementation, taxation...). Pigou ouvre ainsi un vaste domaine d'action à l'État, renouvelé aujourd'hui par la problématique de l'environnement. L'État vu par les auteurs critiques du capitalisme a) L'État, élément de la « superstructure » selon K.Marx L'histoire est le produit des affrontements entre classes dominantes et classes dominées pour Marx. L'État est le garant des intérêts des dominants. Ainsi depuis 1848, il

arbitraire, il va construire sa courbe d'offre de travail. Chaque travailleur fait ce type de calcul indépendamment. De même, pour l'entreprise, elle maximise son profit sous contrainte de sa fonction de production (capital et travail), l'entreprise va construire 1 fonction de demande de travail individuelle qui va lui permettre de maximiser son profit compte tenu des contraintes. WALRAS avait admis que les courbes individuelles pouvaient être discontinues mais les courbes agrégées doivent être continues

stabilité et de croissance 16 2.3. La naissance de l’euro 16 2.4. Le système européen de banques centrales (SEBC) 16 2.5. Le mécanisme du taux de change MTC 2 17 2.6. Quels sont les bénéfices à rejoindre une zone de changes fixes : la courbe GG 17 Introduction La théorie des zones monétaires optimales est, depuis quarante ans, un cadre d'analyse incontournable en matière de choix du régime de change. D'inspiration keynésienne. Cette théorie fut développée dans les années 1960, principalement

(Etat) • Variables endogènes/objectifs La valeur atteinte par ces variables résulte du niveau et des interactions existant entre les variables exogènes et instrumentales. Ex : Soit on freine l’inflation soit on réduit le chômage (cf : Courbe de Philips) ; Carré magique (Croissance éco + équilibre extérieur + plein emploi + stabilité des prix) Il faut également distinguer les liens entre les variables : • Variables intermédiaires Entre des variables instrumentales et des variables