Critique Friedman Courbe De Philipe

pour leur dévouement, leur disponibilité, leur attention, les conseils et les critiques tout au long de la période de rédaction de ce document. Nos remerciements vont aussi à l’ endroit de Pr Henri-F. Henner (Professeur émérite, Université d’Auvergne) pour ses critiques, remarques et suggestions. Nous ne manquons pas de remercier l’Amical des Étudiants Burkinabè de L’ENSEA (AMEB-ENSEA) pour les conseils, les critiques et les orientations, sans oublier nos amis promotionnaires de la 2ème promotion

sociales, démographiques et culturelles induites par la croissance de la production. Le développement traduit l’aspect structurel et qualitatif de la croissance. La croissance apparaît également comme une condition du développement. CPGE 2 – Jaunet Philippe – septembre 2008 1 II – Croissance, cycles et crises a. La typologie des cycles La croissance économique n’est jamais régulière, elle est caractérisée par une succession de phases d’expansion, puis de ralentissement de l’activité économique

Gilbert Saporta 1980 : arbre de décision CHAID de KASS 1983 : régression PLS de Herman et Svante Wold 1984 : arbre CART de Breiman, Friedman, Olshen, Stone 1986 : perceptron multicouches de Rumelhart et McClelland 1989 : réseaux de T. Kohonen (cartes auto-adaptatives) vers 1990 : apparition du concept de data mining 1991 : méthode MARS de Jerome H. Friedman 1993 : arbre C4.5 de J. Ross Quinlan 1996 : bagging (Breiman) et boosting (Freund-Shapire) 1998 : support vector machines de Vladimir

Monétaristes et « Nouveaux classiques », Le monétarisme est apparu à la fin des années soixante. Son principal promoteur, Milton Friedman, a voulu réhabiliter la théorie quantitative de la monnaie en réaction contre le keynésianisme. Partant de la « courbe de Philips », qui montre une relation empirique inverse entre taux de chômage et inflation, il relève que cette courbe fonctionne seulement à court terme. Selon lui, les agents économiques ne sont que provisoirement victimes de l'« illusion monétaire »6(*) en

..................................................................  11   I-5.1 Le New Deal  .........................................................................................................................  11   I-5.2 Les critiques du new deal  .....................................................................................................  12   I-5.3 L’économie de guerre pour sortir de la crise  ............................................................

partiellement le présent ouvrage, sur quelque support que ce soit, sans autorisation de l’Éditeur ou du Centre Français d’Exploitation du Droit de copie, 20, rue des Grands-Augustins, 75006 Paris. © Groupe Eyrolles, 2010 ISBN : 978-2-212-54657-6 Philippe HERLIN Finance : le nouveau paradigme C OMPRENDRE LA FINANCE ET L ’ ÉCONOMIE AVEC M ANDELBROT , TALEB ... « Il serait superficiel de prétendre que les chiffres et les tableaux fussent la froide compression d’énergies humaines désordonnées

(2007), RCC(2007), Partiel janvier (2008, éléments de correction), CC TD2 (2008), CC Boulloche (2008), RCC (2008) Corrigé du TD 1 Exercice 1 : Production d’équilibre et multiplicateur ( L’équilibre sur le marché des biens et des services : la courbe IS) Considérons une économie caractérisée par les équations suivantes : Y = C + I + G C = c 0 + 0 ,7 Y D YD = Y − T G = 200 T = 100 C 0 = 180 L’investissement I est supposé ne dépendre ni du niveau de la production courante, ni du taux d’intérêt

la chue de la consommation de biens durables car les ouvriers qui les fabriquent sont moins payés et ils consomment moins à leur tour. Il y a un « multiplicateur de crise » qui se met en place et que seules les autorités peuvent enrayer. Milton Friedman remet en cause l’interprétation keynésienne de la crise pour privilégier le rôle des facteurs financiers dans son livre Histoire monétaire des Etats-Unis. Il met en évidence un autre facteur de la crise : les faillites bancaires. Il dit que les autorités

capacité à arbitrer entre Mo et titre en fonction de (i). C’est ce point là qui exprime la forte interaction entre la D. de Mo et l’activité éco et rend (i) comme une variable centrale dans les anticipa° et organisa° éco. Principes monétariste (Friedman) Pour eux, la D. de Mo formulée par les agents revient à rechercher la part optimale de la Mo dans le patrimoine des agents. Or selon les monétaristes, le patrimoine dépend de 5 éléments : La Mo : càd un actif dont la valeur nominale est supposé

................................................................... 41 TP Séances 2 : Chapitre VI et VIII. ................................................................................................................. 54 Chapitre IX : La courbe de Philips ................................................................................................................. 58 Chapitre X: Inflation, activité et croissance de la masse monétaire ................................................... 66 Chapitre