Critique littéraire

dans la rue Fortunée qui porte désormais son nom. Il était épuisé par son intense travail d’écriture et les multiples voyages qui ont ponctués les sept dernières années de sa vie. Balzac est un écrivain français. Romancier, dramaturge, critique littéraire, critique d'art, essayiste, journaliste, imprimeur, il a laissé une œuvre romanesque qui compte parmi les plus imposantes de la littérature française, avec 91 romans et nouvelles parus (137 étaient prévus) de 1829 à 1852. Le réalisme

(La Réunion) et, en rentrant à Paris en 1842, écrit ses premiers textes. Il s'éprend de l'actrice Jeanne Duval, qui devient sa maitresse. En 1844, sa famille s'indigne de sa vie de débauche. Baudelaire devient alors journaliste, critique d'art et critique littéraire. Il écrit un livre : «Curiosités esthétiques, le peintre de la vie moderne». Pour Baudelaire l’homme est prit entre deux sentiments le regret du passé et l’attrait de la modernité. 1857 est l'année de publication des Fleurs du Mal.

des auteurs » et l’invention du cinéma d’auteur Introduction  ( 2 min ) Godard, Truffaut, Chabrol, Rohmer, Rivette… Des noms qui sont connus par la plupart, auréolés d’un certain prestige dans le milieu cinématographique. A l’origine simples critiques cinéphiles, rats de cinémathèques et amateurs de joutes oratoires à propos de films et de cinéastes, ils vont à leur tour passer à la réalisation : Truffaut avec Les 400 coups en 1959 Godard avec A bout de souffle, en 1960 Chabrol avec Le Beau

adoration quasi mystique pour Apollonie Sabatier. Ses parents alors terrifiés par ses dépenses décident de lui allouer, par la loi, une rente misérable : il vivra pauvre désormais. Le critique et le poète Baudelaire devient alors journaliste et se consacre désormais à la critique d’art et à la critique littéraire. Il traduit de l’anglais un écrivain américain qu’il admire plus que tout : Edgar Poe. Enfin, il mûrit lentement un grand recueil de vers, Les Fleurs du Mal. Dès sa parution, Baudelaire

chacun de ces voyages l’inspire pour ces publications et nourrisse ses œuvres littéraires. En 1836, Gautier travaillant pour le journal quotidien <<La Presse>> où il commence par la critique d’art. Il rédige plus de deux mille feuilletons et articles pour ce journal. Tous ces articles sont allégrement écrit dans une langue nette, souple, impeccable et brillante ; il invente à sa manière une écriture de critique d’art qui ne vise pas seulement au jugement, a l’analyse, mais aussi a recréer

d’apaisant, de relaxant, en se disant que pendant deux heures vous allez vous évader de votre vie «  métro, boulot, dodo » , en bref il faut oublier tous les problèmes de la journée et le prendre sans jugement tranchant comme le font si bien ces critiques cinéma qui ne cherchent que les points négatifs dans l’œuvre. Vous êtes spectateur et non pas juge. Ensuite, à la fin du film, s’il vous reste quelque chose du film : une image, un décor, une émotion, etc ou même (et espérons-le) plusieurs, alors

l’emprise familiale. Il s’installe à Paris dans l’île Saint-Louis et se lie d’amitié avec SAINTE-BEUVE (critique littéraire et écrivain), Théophile GAUTHIER et Victor HUGO. BAUDELAIRE commence à dépasser sa fortune, menant une vie de jeune dandy (élégant et raffiné). Sa famille le dote d’un conseil judiciaire. Rejeté dans un état d’éternelle irresponsabilité et pour échapper à la misère, il devient critique d’art et traduit les œuvres d’Edgar Allan Poe. En 1857, il publie son premier recueil, Les Fleurs

analytique qui rend compte de l’étude d’un thème donné ou de l’examen critique d’une opinion sur un sujet quelconque. On peut a priori disserter dans toutes les sciences, quelles qu’elles soient, et sur tout sujet qui prête à analyse et à réflexion critique. Dans cet exercice de l’esprit, indispensable à la formation d’un futur universitaire, l’élève fait valoir ses qualités intellectuelles (sens de l’analyse et esprit critique) et ses connaissances. À cet effet, il s’exprimera dans une langue exempte

rappelle son voyage dans les îles. Mais en 1844, sa famille, agacée de la vie qu’il mène, lui impose une tutelle qui le prive de l'héritage provenant de son père. Pour vivre, Baudelaire commence à travailler et devient journaliste, critique d'art et critique littéraire. Dans cette épreuve, il se forge peu à peu une conscience esthétique, par la fréquentation des personnalités du siècle, qu'il aide à faire découvrir et reconnaître (Hugo, Delacroix, Courbet, Manet et Wagner). En 1857, il fait paraître

Il fait la connaissance de la "vénus noire" Jeanne Duval qui lui inspirera de nombreux poèmes, dont La Chevelure et Le Serpent qui danse. En 1844, sa famille s'indigne de sa vie de débauche. Baudelaire devient alors journaliste, critique d'art et critique littéraire. En 1847, Il rencontre Marie Daubrun, une actrice dont les yeux lui inspirent en particulier Le Poison et Ciel brouillé. En 1848, Charles Baudelaire participe aux journées révolutionnaires de février et va même jusqu'à monter sur