Crocs

faim qui leur noue les entrailles comme le froid noue le mal dans les poitrines. Et les bûcherons n’osent guère s’aventurer à des abattages lointains, dans la crainte de rencontrer le loup qui jette la terreur en déchirant ses hurlements sur ses crocs avides d’entrailles et de chair. La locature des bâtards ne vit, dans son aspect extérieur, que par la fumée de son tas de fumier recroquevillé contre la porcherie. Une neige brillante uniformise la cour et les toits. En étanchant sa soif, le froid

après elles, avec des cordes, des charrettes pleines d’anciennes armes rouillées et rompues ; des ouvriers de tous les métiers, ivres pour la plupart, les suivaient avec des bâtons, des fourches, des lances, des pelles, des torches, des pieux, des crocs, des leviers, des sabres et des broches aiguës ; ils chantaient et hurlaient tour à tour, contrefaisant avec des rires atroces les miaulements du chat, et portant, comme un drapeau, un de ces animaux pendu au bout d’une perche et enveloppé dans un

me servir de serre-papier, car je ne puis souffrir tous ces bronzes de pacotille que vendent les papetiers, et qu’on trouve invariablement sur tous les bureaux. J’hésitais entre un dragon de porcelaine tout constelle de verrues, la gueule ornée de crocs et de barbelures, et un petit fétiche mexicain fort abominable, représentant au naturel le dieu Witziliptzili, quand j’aperçu une poupée. Elle mesurait environ 15 cm, son regard plisse me faisait frissonner, ses cheveux couleurs fonce tombaient sur

qui leur noue les entrailles comme le froid noue le mal dans les poitrines. Et les bûcherons n'osent guère s'aventurer à des abattages lointains, dans la crainte de rencontrer le loup qui jette la terreur en déchirant ses hurlements sur ses crocs avides d’entrailles et de chair. La locature des Bâtards ne vit, dans son aspect extérieur, que par la fumée de son tas de fumier recroquevillé contre la porcherie. Une neige brillante uniformise la cour et les toits. En étanchant sa soif, le

beaucoup d'appétit, il n'est pas facilement rassasié, il lui faut environ 7 kilos de viande par jour contre 5 pour la femelle ce qui reste tout de même beaucoup. Mais la nature lui a donné agilité, force, rapidité et courage. Elle lui a donné aussi des crocs et des griffes pour attraper ses proies et les tuer. Enfin, elle lui a procuré un pelage qui lui permet de survivre aux rigueurs du climat. Il peut donc largement subvenir à ses tous besoins. Il ne chasse que lorsque toutes les réserves sont épuisées

à l’épreuve d’un grand danger. Le lexique de la force est très présent « déchirer, monstre écumant de fureur », terriblement forte ». Elle domine Chien Bleu, qui apparaît dans une image de souffrance, gueule ouverte, la patte emprisonnée dans les crocs de la panthère, « ses forces faiblissaient ». La forêt est donc le lieu d’une mise à l’épreuve dangereuse pour Charlotte. L’autre thème du récit d’aventure initiatique, c’est le développement de tout un imaginaire des peurs enfantines. La peur de

Cette obscure clarté : Ce n’est pas sérieux : Je te l’ai répété mille fois : Les demandeurs d’emploi : C’est du joli ! Verser des torrents de larmes : Les pays en voie de développement : Vous n’ avez pas tort : Le charmant animal planta ses crocs dans mon mollet : Monter sur les planches : Faire de la voile : Boire un verre sur le zinc : Enfiler un ciré : Etre à la une d’un journal : Posséder une collection d’étain :

cherchent à lutter contre les groupes tenus responsables de la défaite : les juifs et les socialistes. ( le tract et le journal). Pour l’auteur, ce serait la bourgeoisie qui conduirait et encadrerait cette lutte et l’attitude du chien (qui montre ses crocs) conforte l’idée que cet homme n’appartient pas à la bourgeoisie. Les techniques utilisées rapprochent Otto Dix du courant « dadaïste », mais ce tableau s’inscrit dans le courant expressionniste, ce dernier est un moyen d’exprimer des angoisses et

crient d’enfants qui pleurent | le mot nègre un grésillement de chairs qui brûlent acre et de corne le mot nègre comme le soleil qui saigne de la griffe sur le trottoir des nuages le mot nègre comme le dernier rire vêlé de l’innocence entre les crocs du tigre et comme le soleil est un claquement de balles et comme le mot nuit un taffetas qu’on déchire le mot nègre dru savez-vous du tonnerre d’un été que s’arrogent des libertés incrédules                                                 Aimé Césaire

m’avais promis hier un bon gros tigre et je vois que tu sais tenir parole. Quel tigre splendide tu m’amène ! Et juste à l’heure du déjeuner ! A ces mots, le tigre fit un bon et s’enfuit à toutes jambes, non sans avoir au préalable refermé ses crocs sur le pauvre renard ! Emo-Siao, Conte de Chine I/Compréhension (6pts) 1- Quel danger menace le cerf ? (1pt) ………………………………………………