Croix de fer

cette nouvelle révolution, chacun s’inquiète et s’interroge sur ses conséquences à l’échelle humaine. La communication, étymologiquement, c’est la mise en commun, la mise en relation des hommes ou des collectivités. La route, la poste, le chemin de fer, le télégraphe ont développé des solidarités nouvelles. La radio, le cinéma, la télévision ont élargi le champ culturel de cette communication démultipliée, jusqu’à tisser un réseau de relations sociales aussi serré que le système nerveux dans le corps

Levant ou à Byzance. En échange, ils y vendaient du bois, du fer, du blé, du vin, de l'huile, etc. Des innovations techniques Parmi les causes de l'essor du commerce médiéval, il faut compter certains progrès techniques accomplis dans le domaine des moyens de transport. Pour le transport terrestre, il y a les avancés du ferrage, du harnachement et de l'attelage à la file des chevaux. Ces innovations furent complétées par le cerclage de fer des roues des charrettes et des chars ainsi que par l'augmentation

Dix, un peintre allemand dont je vais vous présenter la biographie. Otto Dix est né à Untermhaus près de Gera le 2 décembre 1891 et est mort près de Constance, à Singen, en 1969. Issu d'un milieu ouvrier (son père Franz travaillait dans une mine de fer), il reçut tout de même une éducation artistique par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Il prend des cours de 1905 à 1909. Admis dans l'Ecole des arts décoratifs en 1910. Il sera totalement bouleversé par la première guerre mondiale

L’homme à droite : Il se tient de profil sur sa chaise et il lui manque certains de ses membres, Comme ses jambes par exemple. Son nez est dissimulé sous un cache. Sa mâchoire est en fer, son bras est une prothèse en bois laissant supposer qu’il les a perdues pendant la guerre. Sur sa veste est accrochée la croix de Fer. Il s’agit d’une décoration militaire allemande qui était considérée comme un honneur, ce qui indique qu’il s’agit d’un ancien combattant de la première guerre mondiale. L’homme à gauche

souffrances. Rien qu'un petit livre. Mais, un an après, de ces pages sortait un mouvement charitable qui devait conquérir le monde : la «Croix-Rouge» et, encore un an plus tard, une Convention internationale, la première «Convention de Genève». Deux phrases de ce livre allaient, jusqu'à aujourd'hui, guerre après guerre, sauver des vies humaines. On sait ce qu'est la Croix-Rouge, ce que sont les Conventions de Genève et leurs protocoles additionnels. Du moins on croit le savoir. La volonté charitable

disponible par exemple à cette adresse : http://site.ifrance.com/poemier/jacob/avenue.html] Texte B — Robert Desnos, Langage cuit Un jour qu’il faisait nuit Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébène les fils de fer en or et la croix sans branche. Tout rien. 5 Je la hais d’amour comme tout un chacun. La mort respirait de grandes bouffées de vide. Le compas traçait des carrés et des triangles à cinq côtés. Après cela il descendit au grenier. 10 Les étoiles

achève en 1932. Pour protéger ses toiles, il devra les cacher à cause de l’extravagance de ses œuvres. Il est fait prisonnier en Alsace par l’armée française pour avoir exposé ses toiles scandaleuses. Son courage lui vaut d’être décoré de la Croix de Fer et promu au rang de vice‐adjudant. Certaines de ses œuvres seront finalement brûlées par les nazis. *En 1967, il sera victime d’une première attaque cérébrale, et restera paralysé de la main gauche. *Le 25 Juillet 1969, Dix succombera à une deuxième

premier personnage n'à pas de bras, mais une prothese qui sort de sa manche gauche, il tient ses cartes avec les orteils de sa jambe droite. Il à qu'une parti de ses cheveux. Le personnage de droite n'à que le buste. Il porte sur sa veste une croix de fer, qui est une decoration d'honneur de millitaire.Le troisieme personnage au centre du tableau est amputé des bras et des jambes. Il à un oeil de verre, des bequilles, une machoire metallique avec laquelle il saisit ses cartes et une coque cousue

applaudit ; et Clopin Trouillefou, qui avait concouru, et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre, s'avoua vaincu. Nous ferons de même. Nous n'essaierons pas de donner au lecteur une idée de ce nez tétraèdre, de cette bouche en fer à cheval, de ce petit oeil gauche obstrué d'un sourcil roux en broussailles tandis que l'oeil droit disparaissait entièrement sous une énorme verrue, de ces dents désordonnées, ébréchées çà et là, comme les créneaux d'une forteresse, de cette lèvre

gouvernements à résoudre la crise. → augmentation des scandales politico-financiers qui déstabilisent le régime : ex : l’Affaire Stavisky → montée de l’antiparlementarisme (volonté d’un pouvoir exécutif fort) et des ligues d’extrême-droite (ex : les Croix de feu) : elles manifestent le 6 février 1934 (émeute qui fait une quinzaine de morts) ↔ les partis de gauche décident de s’unir contre cette menace fasciste = le Front Populaire. II. LE FRONT POPULAIRE A. Définition C’est le rassemblement