Croix-des-Bouquets

s'en vont, par défilé, les arbres Avec leur ombre immense et bleue Et régulière, à côté d'eux. Aucun souffle de vent, aucune haleine. Les grands voiles du froid Se déplient seuls, de plaine en plaine, Sur des marais d'argent ou des routes en croix. Les étoiles paraissent vivre. Comme l'acier, brille le givre, A travers l'air translucide et glacé. De clairs métaux pulvérisés A l'infini semblent neiger De la pâleur d'une lune de cuivre. Tout est scintillement dans l'immobilité. Et

coin perdu de montagne Un tout petit savoyard Chantait son amour dans le calme du soir Près de sa bergère au doux regard Etoile des neiges, Mon cœur amoureux S'est pris au piège, De tes grands yeux Je te donne en gage, Cette croix d'argent Et de t'aimer toute la vie, J'en fais serment Hélas, soupirait la bergère Que répondront nos parents Comment ferons-nous, nous n'avons pas d'argent Pour nous marier dès le printemps Etoile des neiges, sèche tes

enfants de Ravensbrück [pic] Ravensbrück est situé en Allemagne orientale, à 80 kilomètres au nord de Berlin. Le site est désolé. Autour du lac de Schwedt s’étend une zone marécageuse gorgée d’eau, sur un sol de dunes de sable parsemé de maigres bouquets de bouleaux et de conifères. Le climat et les hivers sont si rudes que la région était appelée « la petite Sibérie mecklembourgeoise ». Une des principales caractéristiques du camp de Ravensbrück est que des centaines d'enfants y sont prisonniers

de chiffres et de statistiques; qui se rencontrent tous les vendredis en fin d'après-midi; qui dépensent sans compter à leur passion ; qui, le samedi soir, souffrent en silence devant leur poste de télévision; dont la vie se résume à sept petites croix et un banco, et qui espèrent un jour voir leur nom dans les journaux : les joueurs de loto. (JFP) PASTICHE IV : Il y a des gens qui se sentent supérieurs aux autres, qui n’entendent que le son de leur voix, qui sont insensibles aux arguments

Dante ou Dante et Virgile aux Enfers, (1822), 189 × 241,5 cm, (musée du Louvre à Paris), Études de chevaux, (vers 1822-1824), 27 × 32,5 cm, (Collection particulière), Les Natchez, (1822-1835), (Metropolitan Museum of Art de New York), Bouquet de fleurs, (vers 1824), (musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Châlons-en-Champagne), Cheval arabe à la couverture bleue, (1823), (New York, Collection particulière), Scènes des massacres de Scio, (1824), (musée du Louvre à Paris),

(un) • Amin Dada et l'effarante valeur • Amis jetables • Amitié dans la tempête • Amitié de plumes (une) • Amitié est une âme en deux corps (l') • Amour à la carte* • Amour au fil des jours (l') • Amour est un bouquet de violence (l') • Amour et amitié • Amour et conséquence • Amour et sparadrap • Amour flou (l') • Amour incroyable (un) • Amour moral (l') • Amour-minute • Amours et parachutes • Amulettes, amulettes,

tempérées à tropicales. a) Système racinaire : Racine fasciculée : de la base du bulbe partent de nombreuses racines, toutes de même importance et disposées en faisceaux. b) Feuille : Les feuilles sont simples, entières, ovales, paire opposées en croix. Sans pétioles et sans stipules, à nervation penné. On distingue deux types de feuilles : Les feuilles simples : composé de nervure principale, de nervure secondaire, de limbe. Les feuilles composés dont : Le penée : à folioles opposé de part et

elle a quelqu’un, son réconfort avec qui elle peut partager ses maux, ses malheurs et ses joies. L’amour pur qui se forme depuis la première rencontre de deux âmes est bien argumenté. Comme la jeune fille, Henriette est malheureuse, le mariage est la croix qu’elle porte sur ses bras. Henriette se sent soulagée et enfin comprise avec la découverte de quelqu’un qui souffre et qui a les mêmes douleurs. Pourtant l’idylle finit avec des avoux de Félix. Il ne veut plus cacher ses propres sentiments pour la

pédagogique pour notre affectivité. Beaucoup de couples ne tiennent pas à cause de ce manque d'amour d'amitié dont parlait Aristote.» (2) «Gratuite, l'amitié est légère, aérienne...» «Petit copain», «ami», «compagnon» : difficile de s'y retrouver dans ce bouquet d'expressions souvent piégées, parfois hypocrites, qui ont transformé l'amitié en fourre-tout. Ou en cache-misère affectif. Face à l'érotisation de l'amitié, à la pression du flirt, par crainte aussi des blessures de l'amour, certains se réfugient

- L’absence : • Le mystère de l'évocation du distique va être levé avec les 2 euphémismes des vers 3 et 4 et la double négation «ne plus «, « ne pas « il s'agit clairement de la mort du père. • Les allusions imagées avec les mots «sang» «froid» «croix» traduisent la souffrance éprouvée par le jeune poète, elle est d'ailleurs accentuée par l'adverbe d'intensité «bien». - La présence : • Elle est visible dans l'énonciation : le poète qui parle à la première personne s'adresse à son père : « tu »