Croix-Rouge suisse

Pourquoi la Croix­Rouge s'inquiète­t­elle ?  Quelles sont ses actions ?  Quelles sont les conséquences de la crise alimentaire pour ses actions ?    Au fil du temps, la croix rouge avais prévus une hausse des prix mais pas aussi importante les dégâts sont important le nombres de personnes souffrants de la faim s'accumule de plus en plus et même la croix rouge n'as pas pu servir 5 a 6 millions de repas par rapport a 2007 c'est l’émergence de nouvelles population frappée par le précarité. En plus des multiples crises

chaque fois que tu le trouves dans la colonne : pyjama rouge api papa bouge ami pyjama range avis pyramide ronge api pirate rouge avril 3) Relie le dessin au mot qui correspond : une pomme    un pyjama gris    4) Entoure la lettre i quand tu la vois : Une petite souris grise et très jolie, se dit à midi :« Sors vite de ton lit ! » 5) Mets une croix quand tu entends [ i ] : Une poule sur un mur Le son [

ou les thèmes proposés. Le peintre semble tout faire pour “déranger” : la “Déposition” de 1521 est devenue un spectacle d’acrobatie exécutée par des pantins symétriques et caricaturaux ; la géométrie abstraite et – éventuellement – tragique de la croix et des échelles est contredite par la gesticulation outrée jusqu’à l’absurde et du dérisoire. Ici, la contradiction s’introduit dans le sentiment religieux : la robe de sainte Madeleine est abstraitement découpée et c’est arbitrairement irréaliste

Sommaire Les contes nous permettent de rever et de voir la vie sous un autre angle. Les contes nous permette de mieux apprehender certaines lecons. Dans ce sens le petit chaperon rouge de Carles Perrault est une veritable tresor pour tout ceux qui le lisent. Quelle est l’histoire et qui est le petit chaperon rouge ? HISTOIRE Origine Les origines de ce conte ne sont pas aussi facile a retrouver. D’apres certains, il s’agirait d’un vieux conte, mais ce n’est la qu’une partie de l’histoire

de tremblement dans ses mollets et r’marqua une grande lumière qui éclairait les trois fenêtres du choeur de l’église. « Il pensa d’abord que c’était la lampe qui envoyait c’te lueur aux vitres ; mais la lampe ne pouvait pas donner une clarté si rouge « qu’elle ressemblait au feu de ma forge », me dit-il quand j’en devisâmes tous les deux. Ces vitraux qui flamboyaient lui firent croire qu’il n’avait pas rêvé quand il avait entendu la cloche : « Je ne suis pas pus aveugle que jodu, – pensa-t-il

S I O U - Campus Croix-Rouge - Rue Rilly-la-Montagne - 51100 REIMS - : 03.26.91.87.55 - Fax 03.26.91.87.60 - siou.campuscroixrouge@univ-reims.fr Licence Information - Communication - Culture Février 2009 Villes AIX-MARSEILLE I UFR Lettres, Arts, Com. & Sces du Langage 29, avenue Robert Schuman 13100 AIX-EN-PROVENCE 04.42.95.35.27 - www.up.univ-mrs.fr AMIENS Faculté des Lettres Chemin du Thil - 80025 AMIENS Cedex 1 03.22.82.72.72 - www.u-picardie.fr ANGERS (Université Catho. De l’Ouest)

La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que dans notre culture le rouge symbolise en effet le violence et parfois la mort. * La lumière : la principale

Epreuve de français du baccalauréat professionnel Session de juin 2005 (durée : 2 h 30 - coefficient : 3) TEXTE Écrivain et journaliste français, Roland Dorgeles est engagé volontaire dès 1914. À la fin du conflit, il publie Les Croix de bois, roman dans lequel il raconte ses souvenirs de guerre. L’extrait ci-dessous décrit une attaque surprise des Allemands dans un cimetière, la nuit. 1 - Ils attaquent ! Gilbert et moi avons bondi ensemble, assourdis. Nos mains aveugles cherchent le fusil et arrachent

anciens cimetières surpeuplés. La communauté villageoise, rassemblée autour d´un trou au devant du tableau, forme grossièrement trois groupes. À gauche, le clergé entoure le cercueil. Le prêtre récite les dernières prières que ni les hommes vêtus de rouge ni les enfants de chœur n´écoutent. Au centre, plusieurs notables, avec sans doute le maire. A droite, les femmes dont deux sanglotent dans leur mouchoir. Un peu à part, agenouillé au premier plan, le fossoyeur suit des yeux le prêtre qui rend les

l’arrière, les deux saints patrons de Mantoue où le peintre a passé une majeur partie de sa vie, André, reconnaissable à son attribut, la croix, et Longin, coiffé d’un heaume à panache rouge et munit d'une lance. Malgrè le grand nombre de personnages à connotation militaire on y trouve aussi de nombreuses allusions religieuses car autour d'une vierge trônant, habillé de rouge et vêtue d'une cape verte bordée d'or avec l'enfant debout sur ces genoux tenant dans sa main gauche des oeillets rouges symbolisant