Croque-mort

III- Héroïne condamnée à l'échec, la malédiction et la mort. Là où les héroïnes sont condamnée à l'échec, la malédiction ou la mort, Gervaise, quant à elle, connaît ses trois états. En effet, elle subit une succession d'échecs dans sa vie. Tout d'abord en amour : Lantier, son 1er compagnon, l’abandonne pour une autre, puis son mariage avec Coupeau est vécu comme une déception : une journée des plus banales (petite église, visite du Louvre pour occuper l'après-midi) ; seul le dîner a eu un peu

x2 (3) Mot de l’ombre : Mort x2 (5) Nova sacrée x2 (10) Contrôle mental x2 (1) Soldat de Comté-de-l’or x2 (2) Limon des marais acide x2 (2) Raptor Rougefange x2 (3) Chasseuse de Tranchebauge x2 (3) Clerc du Soleil brisé x2 (4) Maître-bouclier de Sen’jin x2 (4) Yéti noroît x2 (6) Seigneur de l’arène x2 Deck amélioré avec ~500 poussières (1) Clerc de Comté-du-Nord x2 (1) Mot de pouvoir : Bouclier x2 (2) Mot de l’ombre : Douleur x2 (3) Mot de l’ombre : Mort x2 (5) Nova sacrée x2 (6)

Latin : la mort et les rites funéraires Problématique : quelles étaient les croyances des Romains sur la mort ? Quels étaient leurs rites ? Introduction Sous la Rome antique, le luxe des rites funéraires dépend de la classe sociale. Les romains, religieux et très superstitieux, pensaient qu’un déroulement précis des funérailles était nécessaire à l’obtention d’une vie après la mort. Pour les romains, il était en effet logique qu’il y ait plus de morts que de vivants, car ils croyaient

châtiments) ; Verlaine dénonce lui cette violence par un série - - d’antiphrases comprenant le champ lexical de la cérémonie mortuaire : « …gai comme un enterrement » (v.1) « le fossoyeur qui chante… » (v.2) « le cercueil » (v.7) «  défunt » (v.8) « Les croque-mort au nez rougi par les pourboires » (v.11) (citations : Paul VERLAINE, « L’enterrement », Poèmes saturniens). Le poète du 19ème siècle dévoile enfin ses expériences, ses sentiments et ses émotions les plus secrètes. Le peuple de l’époque n’est pourtant

il est secrètement amoureux de Gervaise - Les Lorilleux : sœur et beau-frère de Coupeau ; ouvriers bijoutiers en chambre, ils fabriquent des chaînettes d'or - Maman Coupeau : mère de Coupeau, elle reste chez Gervaise et Coupeau jusqu'à sa mort. - Virginie Poisson : sœur d'Adèle pour qui Lantier abandonne Gervaise et ses enfants  - Mme Lerat : sœur de Coupeau et de Mme Lorilleux ; elle travaille chez une fleuriste qui accepte de prendre Nana comme employée. - Augustine : apprentie

Le père Goriot est mort. Ses filles, qu'il a mariées richement, qu'il aime passionnément, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, prévenues de ce décès, refusent qu'on les dérange. L'étudiant Eugène de Rastignac, qui a veillé son voisin de pension Goriot dans son agonie, doit régler seul les frais de l'enterrement. Quand le corbillard vint, Eugène fit remonter la bière, la décloua, et plaça religieusement sur la poitrine du bonhomme une image qui se rapportait à un temps où Delphine

viendras où je suis Aujourd’hui, je me suis promené avec mon camarade Même s’il est mort, Je me suis promené avec mon camarade. Qu’ils étaient beaux les arbres en fleurs, Les marronniers qui neigeaient le jour de sa mort. Avec mon camarade, je me suis promené. Jadis mes parents Allaient seuls aux enterrements Et je me sentais petit enfant. Maintenant, je connais pas mal de morts, J’ai vu beaucoup de croque-morts. Mais je n’approche pas de leur bord. C’est pourquoi tout aujourd’hui, Je

comportement du père. En fait, on nous informe que le père avait pour habitude de dévorer les enfants que sa femme Rhéià mettait au monde. L’homme justifiait ce douteux choix en incarnant des notions de protection. Effectivement, il avait peur de trouver la mort s’il laissait ses enfants grandir puisque son instinct lui disait que ce serait l’un de ses propres fils qui en viendrait à bout. Ainsi, aussitôt que sa femme donnait naissance, Cronos s’empressait de les déguster. Évidemment, ce drôle de comportement

dit à voix basse à Cécile : Où est l’os ? - C : l’os est là-bas - W : s’est-il amolli ? Cécile regarde au dessous de la table : il s’amollit - Y : qu’y a-t-il de nouveau dans le pays ? - W : rien , dara , touss - Y : tu sais que Ousmane est mort ? Woula s’en fout - Y : waye rappelle toi Ousmane !! Ousmane Seck , le domou harame la qui fesait rougir au feu ses lingués avant de nous frapper - W : Ho Hooo - Y : celui qui crachait toujours dans les calebasses qui contenaient les plats les

Balzac - Le père Goriot    Le père Goriot est mort. Ses filles, qu'il a mariées richement, qu'il aime passionnément, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, prévenues de ce décès, refusent qu'on les dérange. L'étudiant Eugène de Rastignac, qui a veillé son voisin de pension Goriot dans son agonie, doit régler seul les frais de l'enterrement.     Quand le corbillard vint, Eugène fit remonter la bière, la décloua, et plaça religieusement sur la poitrine du bonhomme une image qui se rapportait