Croque-mort

l’histoire Les thèmes principaux –la vie absurde –le thème de la foi –la révolte illustrée par certains personnages clefs –la révolte devant l'injustice et la souffrance –l'amour de la vie –la quête du bonheur -> Rambert –l'amitié -> Tarrou –l'amour –la mort Première partie L'histoire de la peste est une chronique sur certains événements qui se sont passés à Oran dans les années 1940. La ville se trouve en Algérie et est sous occuptaion française et elle donne une image négative car il n'y a pas d'oiseaux

Lecture Analytique : Excipit « L’Écume des jours ». Boris Vian né le 10 mars 1920 à Ville d’Avray et mort le 23juin 1959 dans le 7è arrondissement de Paris. Au cours de ça vie il sera quelqu’un de très polyvalent puisqu’il sera : écrivain, poète, chanteur, critique, musicien de jazz, ingénieur de l’école centrale, scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur, peintre. L’une de ses oeuvres sur laquelle va porter notre analyse et « L’Écume des jours ». Boris Vian s’est consacré

Coupeau, l'achat de la boutique, la fête de Gervaise, le retour de Lantier… - Evénement équilibrant : Il annonce la résolution de l'intrigue L'alcoolisme de Gervaise, la mort de Coupeau nous laissent présager la fin de l'histoire. - Situation finale : Etat heureux ou malheureux des personnages à la fin du récit Mort de Gervaise, éclatement de la famille. [revenir en haut] Etude des chapitres : - Chapitre I : Gervaise est abandonnée par Lantier - Chapitre II : Coupeau

vie de Gervaise, parisienne qui subira une triste descente aux enfers. L’assommoir est le septième des Rougon-Macquart, ensemble d'une vingtaine de romans de Zola, et en est notamment un des plus tendres et touchants. Cette micro-lecture cible la mort de Gervaise, dans les toutes dernières pages du roman. Elles est alors très diminuée par l'alcool et la pauvreté. C'est un roman consacré au monde ouvrier et, selon Zola, « le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple

né à Besançon, son père est medecin, il étudie le droit et a une éducation humaniste qu'il poursuit toute sa vie. Il devient avocat. Mais sa passion reste l'écriture et il publie à l'âge de 22 ou 23 ans le Mépris de la vie et consolation contre la mort en 1594, accompagné de paraphrase de prophètes et des psaumes. A travers ce recueil, il mène un discours militant d'édification en utilisant l'esthétique baroque qui vise à menacer le lecteur et il utilise pour cela toutes les ressources rhétorique

LA PESTE de Albert Camus (1913-1960) Edition Gallimard – Décembre 2007 Roman I) RESUME RAPIDE Oran, 194. Dans la ville, plus de six mille deux cent trente et un rats se trouvaient morts. Le concierge, monsieur Michel est mort peu après ce commencement d’épidémie. Tarrou lit ses carnets sur la chronique de cette période difficile. Ces rats infestent la ville et des Hommes meurent tour à tour. Grand témoigne à propos d’une tentation de suicide d’un certain Cottard. Castel

dans un ciel sans nuages, de leurs grandes ailes si inquiétantes. Le soleil me paraissait immobile, brûlant, et implacable tel un énorme projecteur de cinéma. Des lugubres marabouts, charognards en costume de croque-mort, m'invitèrent chaleureusement à finir de dépecer un pathétique âne mort et allaient m'ouvrir les portes d'une désolation morbide, bientôt portée à son apogée. D'autres habitants, paisibles autochtones, d'une telle dignité et apparemment en harmonie avec leurs environnement et avec

misère Désignateurs Nominaux : Oliver, Madame Machin des personnages Le docteur et la mère n'ont pas de nom Périphrastiques (le petit spécimen humain, ) Pistes d'étude : Une naissance dramatique -Un milieu hostile, des difficultés à vivre, la mort de sa mère contribuent à dramatiser la venue au monde d'Oliver. Des acteurs indifférents -Le docteur, qui en a vu d'autres, reste impassible devant la scène et la pauvresse semble davantage préoccupée par sa bouteille que par la scène qui se déroule

gauche, l'autre monde de la vie triviale, le peuple, la misère, la pauvreté, la richesse, les exploités, les exploiteurs, les gens qui vivent de la mort » : un braconnier, qui représente la chasse est assis au centre et ressemble étrangement à Napoléon III. Son chien regarde un sombrero et un poignard qui symbolisent la poésie romantique. Une tête de mort sur un journal représente la presse, qui est alors sous contrôle. En face, une irlandaise allaitant un enfant, allusion à la misère. Devant, un rabbin

la seconde fois cette année qu’un requin s’en prend à un homme sur les côtes australiennes. Contrairement à la précédente victime qui n’a pas survécu aux blessures infligées par un requin en avril 2008, le baigneur a su se défendre et échapper à une mort certaine. L’incident s’est produit sur une plage située dans la partie sud-ouest de l’Australie. La victime du nom de Jason Cull était en train de se baigner tranquillement lorsqu’il fut happé par un requin blanc long de quatre mètres. Interrogé par