Croupe

œuvre de cet auteur, ou dans cet extrait de Nana : « Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours ; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale, dans les renflements charnus creusés de plis profonds, qui donnaient au sexe le voile troublant de leur ombre, il y avait de la bête. » 4- L’écriture réaliste et naturaliste Le réalisme et le naturalisme se sont surtout

Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours. Il remplissait l’air, étant partout à la fois. C’était une espèce d’ubiquité1 presque irritante ; pas d’arrêt possible avec lui. L’énorme barricade le sentait sur sa croupe. Il gênait les flâneurs, il excitait les paresseux, il ranimait les fatigués, il impatientait les pensifs, mettait les uns en gaieté, les autres en haleine, les autres en colère, tous en mouvement piquait un étudiant, mordait un ouvrier ; se posait

dans un gémissement roque hurle encore et encore subissant dans un fracas, le phallus salvateur de mes insultes viriles : salope t aime ca, sale pute. Ta petite chatte dégoulinante de foutre, ta belle poitrine bondissant ses petits seins….Hmmm. Ta croupe de grosse salope a la limite de l’orgasme… Putain le jus me monte rien que d’y penser … Je suis entrain de branler mon énorme bite à cette pensée … Oh oui continu chienne, ouais t’aime ça, les putes c’est fait pour être baisée, tu va kiffer ca, t’auras

L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût Horrible étrangement ; on remarque surtout Des singularités qu'il faut voir à la loupe... Les reins portent deux mots gravés : Clara Venus ; – Et tout ce corps remue et tend sa large croupe Belle hideusement d'un ulcère à l'anus. Arthur Rimbaud Arthur Rimbaud est un poète parnassien né en 1854 qui dès ses quinze ans compose ses propres poèmes. Il est très rapidement appelé par Verlaine pour se rendre à Paris, ce qu'il

descriptions des bêtes sont présentes dans ce récit qui sont tout aussi belles les unes que les autres. Les vaches sont assez présentes dans ce récit : « Des cornes luisaient sur des frontaux plaqués de clarté ; des croupes noires avaient l’air de se prolonger dans d’autres croupes qui étaient fauves ; et de grosses carcasses ballonnées, couchées à pleins fanons, bosselaient dans les pailles, ou, posées debout, montraient la tache rose des mamelles entre l’arc cagneux des jarrets. »9 La ferme des

verrons pour cela que le sonnet opère une découverte de Venus selon un mouvement descendant : le premier quatrain est ainsi consacré à la description de la tête, le deuxième au torse, le premier tercet sur le dos tandis que le dernier s’arrête sur la croupe, le derrière avec un effet gros plan ; Mouvements Les mouvements du texte suivent le regard du poète qui se pose sur une prostituée malade et repoussante qui sort progressivement de son bain : LA TETEV. 1-2 : Le texte s’ouvre sur une comparaison («

matin. B°) Mais qui présente des particularités Citation de Feydeau à propos des scènes d’exposition. Ouverture in media res On montre au spectateur le personnage dans un moment de sa vie quotidienne. « jambe repliée sur son fauteuil, la croupe sur le bras du fauteuil » On est dans le vif de l’action. On tente d’accrocher le lecteur C°) Mise en place de l’action Follavoine est dans son bureau et cherche un mot « son dictionnaire ouvert sur la table. Iles Hébrides » l.2. Cela

spécifique à la gestation n'est réaliser. Pour évaluer la date présumer de mise bas des poulinières, ma maitre de stage répertorie les dates ou les juments sont saillies dans un classeur (à la main). Elle note aussi quand les juments commencent à avoir la croupe qui s’affaisse, quand les juments cire, et enfin, elle note la date ou la jument pouline et marque le sexe. Elle renseigne enfin les complication survenu si il y en a, les injection et traitements à la jument et au poulain. Les juments shetland

vaches. Elles arrivent, posent à terre un seau, et s'approchent des deux premières bêtes, qu'elles font lever d'un coup de sabot dans les côtes. L'animal se dresse, lentement, d'abord sur ses jambes de devant, puis soulève avec plus de peine sa large croupe, qui semble alourdie par l'énorme mamelle de chair blonde et pendante. Et les deux Malivoire, mère et fille, à genoux sous le ventre de la vache, tirent par un vif mouvement des mains sur le pis gonflé, qui jette, à chaque pression, un mince fil

Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l'entendait toujours. Il remplissait l'air, étant partout à la fois. C'était une espèce d'ubiquité presque irritante ; pas d'arrêt possible avec lui. L'énorme barricade le sentait sur sa croupe. Il gênait les flâneurs, il excitait les paresseux, il ranimait les fatigués, il impatientait les pensifs, mettait les uns en gaieté, les autres en haleine, les autres en colère, tous en mouvement piquait un étudiant, mordait un ouvrier ; se posait