Croupe

peureuse. Le ronronnement exprime son bien-ˆ tre. Ton chien te regarde avec de grands yeux en tendant la patte ? Il demande ton attention. S'il s'allonge, les oreilles basses, il se soumet. Il a envie de jouer ? Le voila incline sur ses pattes avant, la croupe en l'air et la queue remuante. S'il a le poil he risse et les babines retrousse es, gare il est furieux Si ton poisson rouge ne quitte plus la surface pour respirer, il manque d'oxyg`ne change l'eau en conservant la mˆ me tempe rature. D'apr`s Belle

dissimulés se révèle donc être le lieu des plus effarantes dégoûtations: la bouche, les seins, le sexe et leurs fluides respectifs en figurent le versant exécrable. Le ventre n’enfante que des sanies tandis que d’autres parties moins souillées (aisselle, croupe) présentent des ambiguïtés olfactives qui peuvent par oubli se révéler suaves, mais qui à terme ne manquent de revenir à leur morbidité première, justifiant le crachat final. (1) HUYSMANS (J.K) : Croquis Parisiens, 10/18, UGE, Paris, 1976, p.145

ceinture un pistolet et un foulard rouge et bleu, rayé de blanc, rappel du drapeau tricolore. A ses pieds, un adolescent, qui agrippe un pavé, porte le bonnet du voltigeur (nom donné à un soldat ou fantassin  de première ligne, fin tireur, porté en croupe par un cavalier) de la garde nationale,  hostile à Charles X.  A l'arrière-plan : Sur la gauche, on aperçoit un étudiant de polytechnique reconnaissable à son bicorne bonapartiste et à l'extrême droite, au bas des immeubles, on devine un détachement

cambrés emplit Et bombe le linge parfumé Du seul vrai parfum, son corps pâmé. Vêtement suprême, De mode toujours, C’est toi seul que j’aime De tous ses atours. Quand elle entre dans le lit, c’est mieux Encor : sous ma main le précieux Trésor de sa croupe frémit dans Les plis de batiste redondants. Vêtement suprême, De mode toujours, C’est toi seul que j’aime De tous ses atours. Mais lorsqu’elle a pris place à côté De moi, l’humble serf de sa beauté, Il est divin et mieux mon bonheur À bousculer

entière : les modelés d’alvéoles. L’unité géomorphologique de l’alvéole* structure tout le territoire, donnant au paysage un aspect ondulé, une diversité de formes s’organisant autour de cuvettes à fond pratiquement plat, séparées par de hautes croupes convexes qui en forment les bordures, avec des replats doucement inclinés entre les deux. A une échelle plus fine, cette érosion différentielle a laissé une arène* granitique (sable issu de l’érosion du granite, vulgairement appelé tuf) et localement

cath au même emplacement que les édifices antérieurs a posé beaucoup de problèmes aux architectes des XIIe et XIIIe siècle qui ont du l’agrandir pour en faire une vraie cathédrale. Cet agrandissement a exigé l’utilisation de toute la largeur de la croupe descendante de la Cité, ce qui a eu pour conséquence directe sur l’édifice une disposition unique du massif occidental : le rez de chaussée est traversé par un axe routier jusqu’au début du XVIe siècle. Description architecturale La cath relève

elle renversait la tête, les coudes écartés. Il voyait en raccourci ses yeux demi-clos, sa bouche entrouverte, son visage noyé d‘un rire amoureux […] Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale […] », - indique un la posture de Nana et les détails concernant son corps. La description de Nana est centrée sur son corps, ce qui prouve que Zola a utilisé le mouvement naturaliste. Grâce à des romans naturalistes, le lecteur

César Nerva Trajan fils du divin Nerva(...) pour indiquer à quelle hauteur s'élevait la collune qui fut détruite pour les travaux" et également par un passage de l'historien Dion Cassius "on détruisit alors les constructions qui s'élevaient sur cette croupe , comme l'Atruim Libertatis et le tronçon de la muraille de Serviuls Tullius entre le Capitole et le Quirinal." On apprend donc par ces deux éxtraits que les travaux rien que pour le déblement du terrain avait du couté une fortune. Le résultat de

et les deux autres acceptèrent l’invitation à dîner du capitaine. Jeanne se glissa chez son vieil ami le bonhomme Hippolyte. Elle avait plusieurs questions précises à poser au guérisseur et voulait lui raconter le succès de sa cure contre le faux croup. Elle se présenta comme Jean Chatel, frère de madame de Rouville, mais devant le scepticisme qu’elle lut dans les yeux clairvoyants, elle avoua sa supercherie. Elle coucha au sec, au coin du feu, sur une paillasse offerte par son hôte et repartit le

each new child," she wrote, "one sacrifices a little more of one's life." It was during the composition of Anna Karenina that their differences began to tear them apart. Between 1873 and 1875 the couple lost three children -- a son who died of a croup at 14 months, a daughter born dead the following year, another infant killed by meningitis the year after that -- and these tragedies helped precipitate a moral and emotional crisis. As he struggled with the novel, Tolstoy began to work out the tenets