Croyance Et Crédulité

toutes les sociétés. Longtemps on s’intéressait à la religion sous deux angles : - Les théologiens : « la religion ne peut être réduite, expliquée par la science » - Les philosophes expliquaient la religion par l’ignorance. VOLTAIRE « Notre crédulité fait toute la science des prêtres » MARX « La religion est l’opium du peuple » Pour la sociologie, la religion est un fait social. C’est l’homme qui la construit. WEBER a montré deux choses : - L’importance des orientations religieuses dans

premier narrateur nous informe du fait qu’il « tien[t] [l’histoire suivante] du père d’un de [ses] confrères, un homme de profession libérale, à l’esprit très large et éclairé, sur qui la crédulité populaire n’avait aucune prise et dont la bonne foi était […] au-dessus de tout soupçon. » (l. 5 à 8) Comme les croyances populaires se répandaient facilement à l’époque, le premier narrateur insiste sur le fait que le père de son confrère [le second narrateur] a un esprit critique et qu’il ne se laisse

un peu (encore faut-il croire quelque chose): qu'est ce que vous croyez? DOM JUAN: Ce que je crois? SGANARELLE: Oui. DOM JUAN: Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. SGANARELLE: La belle croyance que voilà! Votre religion, à ce que je vois, est donc l'arithmétique? Il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que, pour avoir bien étudié, on en est bien moins sage le plus souvent. Pour moi, Monsieur, je n'ai point

de l’autre Micromégas « je »: mépris contre tolérance puis don généreux « offrir ». « Etonné » : étymologiquement frappé par la foudre, la voix de Micromégas aussi forte que le tonnerre : panique de l’équipage. L’aumônier « prières et exorcismes » croyance et superstition viennent de la peur et les philosophes « systèmes » voués à l’erreur « mais » d’opposition, faiblesse fasse à ce qui nous dépasse. Saturnien comme intermédiaire, verbes de paroles, pour lui petitesse = infériorité, il multiplie les

parfaites et à une certitude absolue » (Lettre à un ami). > « Rien ne peut donc être plus contraire qu’une telle philosophie à la nonchalance indolence de l’esprit, à sa téméraire arrogance, à ses orgueilleuses prétentions et à sa superstitieuse crédulité ». En dehors de l’expérience immédiate ou acquise, il n’y a aucune possibilité de prévision (d’un effet). C’est la répétition de l’expérience qui engage le processus de la prévision en dehors de toute connaissance profonde des causes. Principe :

est un grand magacien : il exerce son empire sur l'esprit meme de ses sujets; il les fait penser commei veut". Le principal défaut est outre leur naivete et leur credulité c'est leur vanité : le roi les flattents pour les manipulés. On voit de l'ironie, les sujets semblent admirer le roi alors qu'il les condamnent. Le champs de la croyance est completement déplacé. Montesquieu évoque ses idées contre le despotisme. III - Les lumières sont contre l'intolérence Les philosophes des Lumières ont

pour nous faire croire un mensonge, la vision de la boite dans laquelle elle est normalement allongé de tout son corps est divisé en deux parties et ses cries de douleur créent une illusion. La manipulation de plusieurs sens, influence davantage la croyance en un événement, une idée ou une personne. Tous les sens peuvent être manipulés. La vue, - lorsque l’on voit un chinois mais qui est en réalité un japonais-, l’ouïe, lorsque l’on écoute un morceau de musique, et que ce qui nous semble être une guitare

(esprit invisible). Pour cela sa première démarche et de questionner l’objectivité des jugements magiques en s’intéressant aux acteurs du milieu : magicien, intéressé et adepte. Pour lui, le désir de voir se réalisé ses espoir est le moteur de la croyance en l’existence de la magie et distingue deux états subjectif qui rendent possibles le rite magique (règle fixant le déroulement d’une célébration liturgique destiné à entrer en contact avec une force occulte):

Fontenelle est un noble (Le Bouvier de Fontenelle). Vers 20 ans il commence à écrire des poèmes sur commande. Dans l' »Histoire des oracles", Fontenelle fait semblant de critiquer les croyances païenne pour en réalité critiquer la religion chrétienne et en particulier les prêtres qui entretiennent la crédulité des gens. En 1691 il est élu à l'Académie française et en 1697 il est élu secrétaire perpétuel de l'académie des sciences. Il va essayer de transmettre l'idée de l'héliocentrisme.  Ecrivain

une faute majeure pour un Grec . Il n’existe pas alors la séparation actuelle, dans nos sociétés occidentales, entre la sphère socio-politique et la sphère privée, dans laquelle prend place les croyances et les cultes religieux. Toute la vie sociale est structurée autour de croyances et de cultes religieux. Une bataille, une compétition sportive, un concours de tragédies, la moisson… toute activité, même la plus quotidienne, est placée sous la protection d’un dieu. Et une