Cruauté Maupassant

La pratique courante et légale de la torture (§1) La banalisation de la cruauté : LUI -> Sadisme (Cf. Oxymore « Plaisir torture ») et ELLE -> Indifférence criminelle La perversion de la fonction médicale (Lignes 5, 6) La disproportion délit/peine + l’acharnement (§4) B/ Dénonciation de la religion : Ses abus de pouvoirs (§4) Le danger de la banalisation de la cruauté Le décalage culture/civilisation (§5) (Parallèle possible avec le nazisme)

croyances, connaissances rites et comportement d’une société donnée. Certains réservent le terme de culture aux production non matérielles d’une société. La barbarie quand a elle est se qui va a l’encontre des valeurs morales, elle est synonyme de cruauté et de férocité. La culture empêche t ‘elle la barbarie ? Nous étudierons l’apport de la culture puis son étude anthropologique. Dire que la culture empêche la barbarie c’est dire que l’homme est naturellement barbare. Pour Hobbes l’homme

En opposition, à l’éloge des indiens, Montaigne constitue dans la suite du texte un blâme des portugais. 1) Description réaliste du crime - Montaigne décrit la torture fait aux indiens par les portugais de façon à montrer la cruauté. 2) Cruauté sans preuves - Les portugais font subir des tortures aux indiens parce qu’ils les pensent « beaucoup plus grands maîtres qu’eux en sorte de malice » III – Réquisitoire de Montaigne Après avoir fait la description des indiens, puis des

négociation des perles et des poivres »  démontre que la violence utilisée s’est mise en place pour des motifs non corrects Gradation des vices démontre une condamnation de l’auteur « luxure » , « avarice » De plus l’utilisation de « inhumain » , « cruauté » montre davantage qu’elle s’est effectuée dans la brutalité la plus totale Montaigne met par conséquent bien en valeur les qualités humaines des Indiens pour mieux dénoncer le comportement et les jugements des conquérants européens. Conclusion

une ironie féroce qui établit une complicité avec son lecteur. Ainsi, le fait de présenter la torture comme un plaisir pris par les magistrats incite naturellement le lecteur à ne pas se ranger à leurs côtés. Voltaire force le trait, accentue la cruauté de ceux qui minimisent la torture. De même, avec l'exemple du chevalier de La Barre, il montre que la finalité de la torture est en elle-même absurde et dérisoire : la violence infligée apparaît comme totalement disproportionnée par rapport au résultat

qualité d’ »un peuple humain » qui abolit la torture et leur pseudo « inhumanité » qui concerne un différend économique, politique et non plus humain ! b) La dénonciation de la cruauté En outre, Voltaire ne se contente pas uniquement de calomnier la torture. Il dénonce avec véhémence la pratique le la cruauté légalisée, cautionnée par tout un système judiciaire et médical. Si nous l’avons vu précédemment, notre auteur ne se délecte pas d’un spectacle horrible, il ne manque pas de fustiger

ailleurs, le troisième texte, de Robert Antelme, s’attaque à la torture, Robert Antelme lui même arrêté et déporté dans les camps de concentration de Buckenwald puis de Dachau. Il en tire de ces années un récit dans lequel il dénonce des actes de cruauté commis par des êtres humains. Robert Antelme utilise un ton ironique puisqu'il adopte l'idéologie des SS de cette manière il démontre et dénonce l'absurdité de leurs propos. Il adopte une écriture réaliste grâce au langage familier, vulgaire. Certaines

pathétique, au contraire il est rationnel et lucide. Il expose les dispositions du code noir. La base du code noir est de considéré un nègre comme un objet (meuble): -On peut l'acheter, le vendre, le loué, le casser. Là le lecteur est convaincu de la cruauté des lois ( il n'est pas persuader). Le nègre cherche à changer le raisonnement des blancs. II-La dénonciation. a) Un système économique: Grâce à la maxime l'esclave résume le lien inhumain entre le code noir et les causes économiques. Il y a

L’affaire du Chevalier de la Barre Le chevalier de la barre, de son vrai nom François-Jean LEFEBVRE, habitant une localité proche d’Abbeville, dans la Somme, va être supplicié et mis à mort dans des conditions effroyables, d’une cruauté insoupçonnable, indigne de l’être humain. En voici un résumé des évènements. En août 1765, un crucifix, érigé sur le Pont-Neuf à Abbeville, ayant été dégradé, l’Église décide de découvrir et de châtier le ou les coupables. Les soupçons se portent assez vite sur

centre des préoccupations. Ici, il dénonce la cruauté des hommes. Il va donc être question de se demander: quels sont les bénéfices secondaires que l'homme peut tirer de cette cruauté? Dans un premier temps, nous analyserons la façon dont l'auteur essaie de persuader le lecteur, puis dans un second temps nous étudierons comment l'auteur cherche à étonner, choquer le lecteur sur cette inhumanité.L'auteur veut imposer une définition subjective de la cruauté. Dès le début du premier paragraphe, nous pouvons