Culture indienne

autres gpes culturels. L'un des trait les plus distinctif concerne le langage (6000 # ds le monde). La religion passe après la culture: par ex, les marocains et les indonésiens sont sunnites ms les 1ers favorisent les garçons alors que les 2nd favorisent les filles; pr l'excision, les explications religieuses peuvent varier bien que la pratique reste la mm. En Afrique, la culture se rapporte à l'ethnie (E de gens avc mm langue et relig° trad). − Politique: Communauté qui exerce un pouvoir sur un territoire

les hommes rejettent facilement ce qui ne correspond pas à leurs mœurs. Cette pourquoi, ici, Montaigne (conseiller du roi) après avoir rencontré trois brésiliens, les Tupinambas, présenté au roi CharlesIX en 1562 à Rouen, veut faire l’éloge de ces indiens aussi appelés « sauvages » ou « cannibales » par la grande majorité des européens. Le but de ses écrits seront de remettre en cause les préjugé des européens sur leur supériorité sur le Nouveaux Monde.
 Nous allons donc alors nous demander comment

domination mis en place par certains sujets d'enquête. La relation de l'ethnologue à son terrain : c'est là qu'est naît la question de la relation entre l'observateur et l'observé, mais aussi la signification de l'intrusion d'un étranger dans une culture sur un plan éthique et scientifique (1970-1980). On commence à prendre en compte la subjectivité de l'observateur. Cela pose la question de la légitimité de l'ethnographie à parler au nom du groupe qu'il étudie. On met en cause ce savoir omniscient

anglais qu’ils se proclament, ces commerçants. L’anglais, leur langue, ou celle du plus fort, au Canada, pour laquelle ils ont opté, faisant fi de la réalité démographique française du Québec et de Montréal même ». 9 De plus, l’influence de la culture américaine augmente. Après la guerre, « les élites canadiennes-françaises […] acceptent de moins en moins pour elles-mêmes et pour leur langue, un statut de seconde zone sur leur propre territoire »10 Banni de quasiment tous les domaines, le français

sous-continent indien à leur apogée. Ils dominaient plusieurs royaumes voisins qui partageaient une culture similaire. La période gupta est souvent reconnue comme un « âge classique », ou un « âge d'or » de la culture indienne ancienne, qui a vu des réalisations remarquables dans les mathématiques, l'astronomie, la littérature, le théâtre, la sculpture, etc. Si on sait désormais que cet essor est largement tributaire de la période la précédant, son importance dans l'histoire de la civilisation indienne et son

vertu. Définition du texte : extrait d’un essai à valeur argumentative Registres : épidictique (blâme + éloge) et ironique Genre : essai (P4) = réflex° personnelle de l’auteur sur des sujets divers (personnels, contemporains) I - Éloge des Indiens a. Un monde neuf La métaphore de l'enfant 
 Monde ignorant (pas au sens de faiblesse mais d'état d'évolution), neuf accumulation 
« ni » 
 Sens de l'esthétique, art en conformité avec la nature → communion avec 
l'environnement b. Pas d'infériorité

de moi, chacun s’adonnait à ses occupations, réalisant en paix et d’un commun accord les tâches qu’imposait une vie soumise aux rythmes primordiaux. Ces Indiens que j’avais toujours vus à travers des récits plus ou moins fantaisistes, tels des êtres placés en marge de la vie, me paraissaient, dans leur milieu, parfaitement maîtres de leur culture. Rien ne leur était plus étranger que la conception absurde du « sauvage ». Leur méconnaissance évidente des choses qui étaient pour moi essentielles et

forêt. Les rituels pratiqués par les chamanes sont la partie la plus impressionnante de cette culture et de ces croyances. Conquête Espagnol : Les Espagnols sont attirés dès 1550 vers les terres orientales par la rumeur d'abondants gisements d’or.Ces succès, obtenus au prix de nombreuses vies indiennes, et sans doute pour une bonne part grâce au milieu hostile de la forêt amazonienne que les indiens connaissent parfaitement, ainsi que la découverte par les Espagnols de la pratique chamanique

Paring, Parajd, la rivière Mures. A travers ce carnet de collection, nous avons observé un double effet de rayonnement : d’une part, la Roumanie est une source d’inspiration pour un auteur français et d’autres parts, la France, par le biais de sa culture, rayonne en Roumanie (cf. la puissance culturelle de France traitée en géographie). En conclusion, on peut parler d’une fascination mutuelle entre la France et la Roumanie dans le domaine de la pensée de lettres et des arts. Cela créé la frontière

et des populations humaines. Il s’agissait donc d’un empire colossal regroupant en son sein une grande diversité de territoires et de cultures humaines. Mais qu’avaient donc en commun un Indien, un Canadien, un Néo-Zélandais, un Australien et un Africain ? Qu’est-ce qui unissait ces gens habitant à des milliers de kilomètres les uns des autres et ayant des cultures très dissemblables ? Comme nous allons le voir, il existait plusieurs référentiels communs qui permettaient de créer de l’unité entre