Culture Individuelle Et Culture Collective

entre le progrès des savoir-faire et la valeur économique de travail. A.Gorz souligne que : « Ce que nous appelons “travail” est une invention de la modernité. La forme sous laquelle nous le connaissons, pratiquons et plaçons au centre de la vie individuelle et sociale a été inventée, puis généralisée avec l’industrialisation. » C’est également ce qu’évoque Y.Schwartz, dans l’article introductif du numéro de la revue Projet consacrée au travail : “Quand se brouillent les repères, les diverses représentations

L'ORGANISATION : 1.LA NECESSITE DE L'ORGANISATION : L'action collective suppose la constitution d'un groupe de personnes ayant un objectif commun et qui s'organisent pour l'atteindre. 1.1 Le passage du groupe à l'organisation : Le choix d'un objectif commun par un groupe de personnes constitue la base de l'organisation. ex: quatre étudiants décident de créer un service de livraison à domicile du petit-déjeuner et du journal le dimanche matin. L'objectif de ce service est de répondre

renouvellement • Besoins fondamentaux, besoins psychologiques, besoins primaires, secondaires, innovations, publicité, marketing  Satisfaction des besoins et consommation • Sphère non marchande : échanges, dons, bénévolat, consommations collectives, services publics • Consommation marchande : revenu, prix pouvoir d’achat, niveau de vie, épargne, crédit, surendettement, promotions, soldes • La non satisfaction des besoins : pauvreté, précarité malnutrition • Consommation et inégalités

Dans son ouvrage „La peur des Barbares“ Tzvetan Todorov nous propose de redéfinir quelques notions de base telles que Culture, Civilisation, travail indispensable si nous voulons encore croire au « vivre ensemble » et en nos démocraties.Il part de la célèbre thèse de Samuel Huntington « Le choc des civilisations » et explique que le terme de « civilisation » ne peut être mis au pluriel. Il n’existe qu’une civilisation, celle de l’humanité. Est civilisé tout être humain, tout Etat, qui inclut tous

généraliser. Ewan OIRY (OIRY,2000), ainsi que d’autres atteste d’une individualisation des politiques de GRH depuis le milieu des années 80. « Il s'agit de baser la gestion (…) sur la notion de poste de travail mais sur les caractéristiques individuelles des salariés » Notre questionnement est savoir ce qu’est concrètement cette notion d’individualisation. D’où vient-elle ? Comment se traduit-elle dans le cadre de la gestion des ressources humaines ? Pour se faire, nous avons organisé le travail

lui-même (socialisation, innovation organisationnelle)1. Pour ce qui concerne notre réflexion, elle sera cadrée sur le sujet d’apprentissage. Ce dernier peut constituer deux approches, à savoir : l’apprentissage individuel ou l’apprentissage collectif. En termes individuel, le contexte d’apprentissage est envisagé de manière très diverse, donc on peut distinguer entre trois conceptions du savoir : * une première conception de l’apprentissage, est celle d’un simple processus d’enregistrement

sociale aujourd'hui qu'hier, or ce n'est pas le cas. 4 - Les faits La mobilité en France a beaucoup augmenté mais c'est avant tout une mobilité structurelle c'est à dire une mobilité due au changement de culture économique et sociale, plus qu'aux volontés individuelles. Une partie de la mobilité est donc due aux transformations de la structure des emplois, c'est par exemple la forte baisse des emplois du primaire qui a fait que les fils d'agriculteurs ont du effectuer une autre profession

{draw:rect} GRH : L’organisation facteur de performance des groupes 10 La performance, c’est atteindre les objectifs que l’on vous a fixés. On peut distinguer la performance individuelle et la performance collective. La performance collective ne se réduit pas à la somme des performances individuelles. Il y a synergie. La synergie c’est l’effet 1 + 1 > 2. C’est ce qui fait qu’on peut être champion du monde du 4 X 100 m relais sans avoir le meilleur sprinter. C’est le tout supérieur

Anthropologie I/ approche des sociétés et des cultures : Les contacts entre culture pendant l’histoire ont commencé à alimenter une réflexion anthropologique. (Ex : découverte de l’orient au XIV e siècle). C’est en découvrant les différences que l’on découvre des singularités, mais on découvre à quel point les autres peuvent nous ressembler. (Ex : partage des tâches entre individus de sexes différents). Les différences sont comparables dans la mesure où il n’existe pas de peuple dans

revendications. Le sacré. Encore et toujours le sacré. Est-ce une fatalité que le sacré soit parfois lié à des formes de violence ? N’est ce pas que, bien plus qu’au sacré lui-même, c’est notre rapport à la culture qui serait ici en cause. Autrement dit, à la vision que se font les gens sur la culture. De leur façon de concevoir les choses. De ce qu’ils considèrent comme faisant partie de leur être, d’un fondement de leur existence. La question est cruciale. Elle s’exprime parfois de façon brutale, d’où