Cyanose

l’épanchement. Un frottement pleural peut être entendu en cas d’épanchement inflammatoire de faible abondance. Les épanchements abondants sont souvent mal tolérés et se traduisent par une insuffisance respiratoire aiguë associant une polypnée (> 30/min), une cyanose, une contraction des scalènes une tachycardie > 120/min et turgescence des jugulaires. Ils justifient l’évacuation ou le drainage de l’épanchement sans délai. La radiographie thoracique de face et de profil montre une opacité de densité hydrique

heures. * Surveillance conscience * Risque hémorragique : Pouls, TA, Coloration, liquides drains, diurèse, pansement * Risque dépression respiratoire dû à la PCA et post extubation : fréquence respiratoire, saturation, encombrement, cyanose… * Risque douleur : Evaluation douleur, PCA, horaires antalgiques * Risque de lâchage de sutures * 3°/ Surveillance post-opératoire à distance : * Lever précoce à J1 pour limiter le risque thrombo-embolique et les risques

suivant PM : surtout saturation fréquence respiratoire Pose abord veineux NFS (surveillance hémoglobine) signes de détresse respiratoire : dyspnée, tachypnée, voir bradypnée, mouvements respiratoires anormaux (balancement thoracoabdominale, tirage), cyanose (surveillance état cutanée), respiration paradoxale caractéristique du volet thoracique Examen de l’état général, signes de l’état de choc : pâleur, tachycardie, hypotension, marbrures) donc prise paramètres vitaux (pouls, TA, coloration) Prendre

atteinte de la diffusion alvéolo capillaire, une diminution de la compliance pulmonaire pouvant aller jusqu’à l’insuffisance respiratoire chronique. · Les symptômes sont : · Toux sèche· Dyspnée d’effort pouvant évolué vers une de repos· Apparition de cyanose et de décompensation cardiaque droite si insuffisance graveG) Le cœur · La symptomatologie est fort semblable à une péricardite virale· Douleur thoracique· Fièvre· ECG perturbé· Parois présence épanchement péricardique· On peut observer des péricardites

en flexion puis en extension (10 à 20 secondes) • Clonies en flexion des membres, du visage, des masséters (20 à 30 secondes) • Pendant la phase tonico-clonique, arrêt respiratoire et cyanose • Résolution du tonus, reprise bruyante de la respiration (stertor), disparition de la cyanose, émission d’urine fréquente • Confusion postcritique pendant environ 1 heure. Comportements agités possibles à ce stade • Amnésie de la crise, courbatures et légère céphalée postcritiques

C. Durso 162 176 185 194 SECTION 5 TROUBLES DES FONCTIONS CIRCULATOIRE ET RESPIRATOIRE (Traduction P. Friocourt) 29 Dyspnée et œdème pulmonaire Roland H. Ingram, Jr/Eugene Braunwald 30 Toux et hémoptysie Steven E. Weinberger 31 Hypoxie et cyanose Eugene Braunwald 32 Œdèmes Eugene Braunwald 201 205 209 212 66 Partie II MANIFESTATIONS CLINIQUES ET PRÉSENTATION DES MALADIES SECTION 1 DOULEUR (Traduction P. Friocourt) 11 Physiopathologie et prise en charge de la douleur Howard L. Fields/Joseph

programmation immédiate d'un geste d'hémostase au bloc opératoire ;Ø Etat de Pression Artérielle Systolique (PAS inférieure à 90mmHg à confronter à la PA habituelle).Plan de la Respiration :Ø La fréquence respiratoire inférieure' à 25 amplitude /mn ;Ø Cyanose périphérique.Au plan Neurologique :Ø Trouble de conscience associé à une plaie du cuir chevelu, évoquant un traumatisme crânien associé ;Ø Le mécanisme de la plaie : une plaie pénétrante (par arme à feu) doit faire l'objet d'une orientation sans délais

sanitaire, la présence de nitrates dans l’organisme humain pourrait provoquer des troubles (hypertension, anémie, infertilité, troubles nerveux, ...), auxquels s’ajoutent des présomptions sur leur pouvoir cancérogène et leur implication dans des cas de cyanoses, notamment chez les nourrissons. Une eau chargée en nitrates (50 à 100 mg/l) est déconseillée aux femmes enceintes et aux nourrissons. Le nitrate en lui - même n'est pas très toxique. Sa toxicité vient de la chaîne de réaction : Nitrate – Nitrite-Nitrosamines

|Température adaptée aux variations physiologiques |Œdème | | | |Cyanose, rougeur, pâleur | | | |Atonie | |

Dans le plan sagittal, la cyphose thoracique est accentuée et les pointes des scapulas décollées du plan du dos (14). Cutané et trophique: L’examen clinique ne montre aucun signe objectivable d’hypercapnie (sueurs, agitation…), d’hypoxémie aigue (cyanose…) ou chronique (hippocratisme digital). On ne retrouve pas de cicatrices, ce qui corrobore l’absence d’antécédents chirurgicaux dans le dossier. Ventilation: La fréquence respiratoire est de 19 cycles par minute (norme pour son âge) (13), en mode