Cybercrime

usagers d'Internet souffrent d'une façon ou d'une autre de dépendance à Internet. C'est ce que révèle une étude scientifique : des mariages sont brisés, des adolescents ont des problèmes d'échec scolaire, des gens commettent des gestes illégaux (cybercrimes) ou dépensent beaucoup trop d'argent dans les sites pornographiques, etc.» selon le Dr David Greenfield, psychologue américain et chercheur, auteur de l'étude (www.virtual-addiction.com). L'enquête du Dr Greenfield a été faite en collaboration avec

souvent de « délit informatique », de « cybercrime » et de « crime technologique » pour désigner la criminalité technologique. Les systèmes informatiques offrent aux criminels certaines possibilités nouvelles et très complexes; ils leur offrent aussi la possibilité de commettre des types de crimes classiques de manière tout à fait nouvelle. Il existe un débat permanent entre spécialistes au sujet de ce qui constitue au juste un crime informatique ou cybercrime; toutefois, les experts s’entendent généralement

(Etats-Unis, Canada, Japon, Afrique du Sud) ont adopté à Budapest une Convention sur la cybercriminalité. Cette dernière, entrée en vigueur le 1er juillet 2004, constitue la première convention pénale à vocation universelle destinée à lutter contre le cybercrime. Ce texte constitue une réponse globale aux crimes commis sur et à travers les réseaux informatiques. Elle poursuit trois objectifs : - harmoniser les législations des Etats signataires en matière de cybercriminalité : à cette fin, la Convention

étrangères * prévention et lutte contre le terrorisme et de tout acte visant à porter atteinte à l'autorité de l'État, au secret de la défense nationale ou au patrimoine économique du pays  * surveillance des communications et lutte contre le cybercrime, * surveillance des mouvements, groupes ou organisations subversifs violents et des phénomènes de société précurseurs de menaces[ * lutte contre la prolifération des armes nucléaires, bactériologiques, chimiques, et balistiques. * politique

Cybercriminalité : La cybercriminalité est un terme largement répandu pour décrire une activité dans laquelle les systèmes et les réseaux informatiques sont un outil, une cible ou un lieu pour réaliser des activités criminelles . Bien que le terme cybercrime décrive habituellement uniquement l'activité criminelle dans laquelle le système ou le réseau informatique est une partie essentielle du crime, ce terme est également employé pour décrire des activités criminelles traditionnelles dans lesquelles

à la cybersécurité, compte tenu des résultats du Sommet Mondial sur la Société de l’Information ( SMSI ), aspirant au rétablissement de la confiance et de la sécurité dans l’utilisation des TIC face aux abus de toutes sortes dans ce domaine : ( cybercrimes et délits, cybermenaces et attaques sur les réseaux, pédophilie et pornographie juvénile en ligne, crimes économiques, fraudes financières et escroqueries, usurpation d’identité et violation de la vie privée, spams, violation de la lex mercatoria

d’informations est susceptible de soulever des problèmes constitutionnels « d’imprécisions » et que la preuve des différents éléments en jeu est bien plus facile à obtenir que dans d’autres lois fédérales en matière pénale ( Aaron Burstein, « A Survey of cybercrime in the United States », Berkley Technology Law Journal, 2003 ; Geraldine Szott Moohr, « The Problematic Role of Criminal Law in regulating Use of Information : The Case of the Economic Espionage Act », North Carolina Law Review, March 2002). Aujourd’hui

vent communiquer avec  2​ peu de crainte d'interférence​  gouvernementale​  ou d'​ entreprise​ .  Pour ces raisons, les darknets sont souvent associés avec la communication de  type​  dissidence​  politique et les activités illégales (ex. :​  cybercrime​ ). Plus  généralement, le « Darknet » peut être utilisé pour décrire tout type de sites  non­commerciaux sur Internet, ou pour référer à toutes les technologies et  communications web​  « ​ underground​  »​ , plus communément associés avec les 

et sociale. Par exemple, en paralysant la circulation aérienne, en provoquant l'arrêt d'une centrale nucléaire, en déréglant l'approvisionnement en pétrole des raffineries... Au point que Robert Mueller, directeur du FBI, prédit que le danger du "cybercrime" télécommandé par la Chine sera bientôt tout aussi menaçant pour la survie des démocraties que celui du terrorisme. L'un des hackers les plus actifs a réussi à pénétrer dans le réseau de la Maison-Blanche et y a même laissé un drapeau chinois!

enfants : le monde cyborgien a remplacé l'Arcadie littéraire avec ses bergers et ses moutons par des créatures composées de chair vivante et de circuits intégrés en silicium, un mélange de robot et d'humain. Cyberculture, cybersexe, cybercortex, cybercrime, cyberpolar, cybernature, cyberorganisme, cyberespace, cybertechnologie, voilà l'alpha et l'oméga de cette littérature du terroir numérique. Mais, de Stephen King à Maurice G. Dantec, cet univers romanesque n'échappe pas à la même règle : toute