Cyberterrorisme

FOX: Hackers and the US Secret Secrvice, disponible sur (consulté le 12/02/2004). Mais sa perception peut changer en fonction de l’appréciation des dangers croissants dans le monde : « There are growing concerns worldwide regarding the danger of cyberterrorism, cyberattacks and cyberwars » (S. BIEGEL, op. cit. p. 62. Voir aussi N. SHER: The Weapons of Infowar (The Jerusalem Report), [8 juin 1998]. Cette évolution est sensible dans le discours du Président Clinton. Des initiatives de piratage peuvent

afin de se faire entendre et comprendre. Certains groupes sont attachés à plusieurs méthodes alors que d'autres préfèrent se spécialiser dans une méthode spécifique. Ceci peut se voir avec le Groupe Anonymous qui effectue ce que l'on appelle le Cyberterrorisme. Il consiste d'abord à détruire ou à corrompre les systèmes informatiques dans le but de déstabiliser un Etat ou d'exercer un chantage. Il peut s'agir d'une attaque physique sur des serveurs ou alors d'un piratage des systèmes par des bombes logiques

économique, intelligence collective, travail collaboratif Sciences citoyennes Web Données, bibliothèques numériques Bases de données Bibliothèque numérique Data mining Métadonnées Moteur de recherche Sécurité informatiqueModifier Cyberterrorisme Cryptographie Fuite d'information Hacking Sécurité informatique Aspects économiquesModifier Bulle Internet Commerce électronique Cybermarché Économie numérique Économie post-industrielle Nouvelle économie Aspects écologiquesModifier

entreprises, organisations) avec la coexistence de la diversité (modèles publics et privés) ;  La restauration de la confiance dans l’édifice numérique par le renforcement de la lutte contre la cybercriminalité intérieure et extérieure et le cyberterrorisme interne et externe ; 6. La régulation de l’écosystème numérique ;  La neutralité de l’écosystème tout entier, et pas seulement la neutralité du net ;  La gestion plus volontariste du spectre des fréquences électromagnétiques ;  La gouvernance

Coopération pour détecter les gens qui se radicalisent. Wurtz : lacunes dans lutte contre les sources du terrorisme. Laisser pourrir des conflits au Moyen-Orient, par exemple (Syrie, Palestine, Lybie), qui sont des fabriques de terroristes. Cyberterrorisme : Concept qui ne fait pas l’unanimité. PESC : UE est née dans et par la Guerre Froide. Volonté de gagner le terrain perdu par l’Occident, sur l’Armée rouge. Ensemble européen contre l’URSS. Durant GF, l’Europe était un enjeu stratégique

vulnérabilité croissante  44 Nouvelles menaces et vulnérabilités Attaques   Sur l'individu  Quelques attaques au hasard sur l’individu lambda  Attaques de masse sur l’individu standard  Sur l'entreprise et l'État  Cyberterrorisme  Intelligence économique  Embargo économique sur des versions de matériel, de logiciel Avant 1980 :  l’informatique appartient à des fiefs    1980: Tout est fichier  Instruments: Unix et Langage C (âge d’or des

être l’instrument d’abus relativement spécifiques, en ce sens qu’ils ont pour cibles des biens de l’informatique. On parle, dans ce cas, de « criminalité informatique », à moins d’utiliser un néologisme dans le vent tel que cybercriminalité (ou cyberterrorisme). Les comportements répréhensibles sont diversifiés : entrée par effraction dans un système informatique, manipulation ou destruction de données, pillage de données, piratage de programmes, envoi d’un virus, etc. Mais, l’internet

SEAE, grand changement du Traité de Lisbonne, s’il est pleinement opérationnel, devrait créer les conditions adéquates pour la réalisation d’une Europe de la défense ambitieuse. Par ailleurs, en élargissant les missions de la PSDC (terrorisme, cyberterrorisme, piraterie etc.), le Traité de Lisbonne donne à l’UE les instruments pour continuer à faire ce qu’elle fait déjà mais mieux, notamment son habilité à gérer des conflits d’une incroyable diversité. Cela participe d’une autre priorité, plus

développement des nouvelles technologies favorise la cybercriminalité et les cyberattaques. Celles-ci peuvent être le fait d’États (renseignement, sabotage, ingérence) ou d’acteurs privés (individus malveillants, organisations terroristes -cyberterrorisme : vocabulaire p.148...). Ces attaques peuvent porter atteinte à des systèmes informatiques privés ou publics 50 , comme aux données personnelles des citoyens 51 . Cette cyberconflictualité -cyberguerre : vocabulaire p.148 est au cœur de nouveaux

autant de défis pour les gouvernements qui ne peuvent faire jouer la panoplie traditionnelle de moyens, en particulier militaires, utilisés face à un agresseur étatique bien identifié. On peut aussi ranger dans ces menaces d’un type nouveau le cyberterrorisme qui chercherait à paralyser les infrastructures d’un pays grâce à des agressions informatiques. Ce serait certes l’ensemble d’une nation et son coeur qui pourraient être affectés mais, ici encore, la réponse ne paraît pas rentrer dans le cadre