Cycle Cellulaire Et Replication

A - Croissance bactérienne B - Contrôle des µorganismes C - Lutte antimicrobienne    A  -­‐  La  Croissance  Bactérienne   I - Le cycle cellulaire bactérien II - Mesure de la croissance bactérienne II-1 : mesure de la biomasse II-2 : mesure d activités métaboliques II-3 : méthodes de numération : II-3-1) numération des micro-organismes totaux a) méthodes directes: - comptage en microscopie photonique - compteur de particules (Coulter counter) b) méthode indirecte II-3-2) numération

la PAES en fiches de Santé 1re année Ét Etudes Biologie cellulaire UE2 Plus de 110 fiches pour s’entraîner aux concours ! • Toutes les notions essentielles • Des annales corrigées la LE PAES en fiches PCEM EN FICHES de Santé 1re année Études Biologie cellulaire C. Favro - F. Nicolle Cédric FAVRO est professeur de Biochimie – Génie Biologique et Physiologie. Il enseigne en BTS Diététique au lycée René Auffray à Clichy-la-Garenne et en École de préparation au concours de Première

des oestrogènes) dans la lignée cellulaire de carcinome mammaire (MD1-MB-231) Le but plus particulièrement des deux premières séances de TP est de cloner le gène ESR1 dans un plasmide pour faire une protéine de fusion et de vérifier si ce clonage a fonctionné. II-Principe : A- Clonage La première étape pour le clonage était d’insérer le gène ERS1 dans un plasmide. Notre plasmide “vide”, sans notre gène d’intérêt est composé : • D’une origine de réplication (Ori sur le schéma) • D’un gène

PHYLOGENESE Parenté des êtres vivants actuels et fossiles. Caractéristiques communes à tous les êtres vivants : - structure universelle de l’A.D.N. - molécule énergétique universelle (A.T.P.) - expression de l’information génétique - structure cellulaire ⇒ Origine commune mais degré de parenté plus ou moins fort. On détermine ce degré par différentes données : Morphologiques : - structure interne similaire (→ organes homologues) - état primitif ≠ état dérivé - « Plus il y a de caractères

associées et des enzymes virales provoquant les réactions chimiques dans les cellules infectées, le tout contenu dans deux « coques » protéiques appelées capsides, elles-mêmes entourées d’une membrane portant des protéines spécifiques. 2) Le cycle du VIH Le VIH pénètre dans l’organisme par voie sexuelle ou sanguine. Il est capable de se fixer à des cellules particulières du système immunitaire : les lymphocytes T4. Le virus utilise pour rentrer dans ces cellules hôtes, les protéines présentes

complémentaires. Le cycle est répété plusieurs fois (habituellement 20 cycles ce qui représente environ 1 million de copies) dans le même tube. On obtient ainsi, à la fin de la réaction assez de copies de la séquence cible pour permettre son identification. Les fragments d'ADN produits sont ensuite séparés en fonction de leur taille et permettent d’établir une empreinte génétique. Cette technique reproduit la réplication naturelle de l'ADN au cours de la division cellulaire et permet de répliquer

un génome de 7,5 KB. Son cycle de multiplication a lieu dans le cytoplasme : l`ARN est traduit au départ en poly protéine qui va être scinder en 3 protéines : P1 Donne VP1 , VP2 , VP3 , VP4 protéine de structure P2 protéines fonctionnelles : P3 ARN polymérase , pro estérase . L`assemblage s`effectue dans le cytoplasme , la libération des virions par cytolyse cellulaire . Épidémiologie : La distribution

documents multimédiasont disponibles sur Commons | | | Une bactérie, ou bacteria, est un organisme vivant unicellulaire procaryote (caractérisé par une absence de noyau et d'organite). La plupart des bactéries possèdent une paroi cellulaire glucidique, le peptidoglycane. Les bactéries les plus grosses mesurent plus de 2 μm et, jusqu'au début du XXIe siècle, les spécialistes considéraient que les plus petites mesuraient 0,2 μm, mais il existe des « ultramicrobactéries », y compris en

1 année lmd Organisation cellulaire Contrairement à ce que l'on pense, les cellules ne sont pas toutes construites sur le même schéma. Bien sûr, elles se ressemblent, elles sont toute constitué d'un cytoplasme entouré d'une membrane, contiennent un génome à base d'ADN et les même règles physiologiques peuvent dans la plupart des cas, s'appliquer à toutes. Mais au delà de ces ressemblances, il existe des différences fondamentales. Il ne s'agit pas de simples différences morphologique, mais des

actuelles et fossiles sont apparentées.   * Problème : Comment préciser les degrés de parenté entre les différentes espèces (vivantes ou fossiles) ?   I- L’unicité du monde vivant.   I-1- Unité structurale : unité d’organisation au niveau cellulaire.   * Tous les êtres vivants ont une composition chimique très proche : - atomes les plus représentés : C H O N, - quatre grands groupes de molécules organiques : glucides, lipides, protides et nucléotides.   * Tous les êtres vivants sont constitués