Cycle de Kondratiev

(grande famine en Irlande entre 1845 et 1849 à la suite de la maladie de la pomme de terre) *Crise boursière et/ou financière (cf crise de 1929) *Crise de surproduction : l’économiste russe Kondratiev a émis l’hypothèse que chaque période de croissance correspondant à une innovation et son exploitation, à la fin du cycle, on aboutit à une crise de surproduction. - L’exemple de la crise de 1929 : dossier p 24-25. *Doc 1 p 24 : Une crise boursière : le 24 octobre 1929, le cours des actions s'effondre brutalement

» Photo 2 p28 « Supermarket Shopper, Duane Hanson, 1970” I) Croissance économique et mondialisation Photo 2 p17 « Port de Keppel, Singapour, terminal de conteneurs, 2004 » 1) Comment expliquer la croissance et ses phases ? Graphique « Cycles de Kondratiev & Juglar » 1.1) Les moteurs de la croissance Photo 4 p55 « Chaîne de montage moteurs, Citroën, Paris, 1931 » On distingue deux Révolutions Industrielles qui correspondent chacune à des phases de transformations techniques intenses. Chacune d’elles

réactions violentes mènent soit au sursaut du malade, soit à la victoire de la maladie. Du grec « krisis », le mot signifie « jugement » et induit une décision. La définition économique de la crise pourrait partir du même postulat : une rupture sur un cycle de croissance conduisant soit à un redémarrage de la croissance, soit à une récession. C’est un moment normal, une sorte de crise purgative pour éliminer les acteurs économiques « malsains » pour les uns, le reflet des carences du capitalisme pour

travaux des économistes qui, de Juglar à Schumpeter en passant par Marx et Kondratiev, ont exploré la dimension cyclique de la régulation capitaliste. Identifiant des cycles plus ou moins longs dans le mouvement des prix, ils les ont mis en relation avec divers facteurs comme la production, le profit, le commerce extérieur ou les investissements. Dans les années 1920, en particulier, étudiant des séries de prix depuis 1789, Kondratiev a repéré des mouvements de longue durée (25 ans), de croissance puis

produisent des biens et des services qu’elles vendent aux ménages par l’intermédiaire du marché CYCLE ECONOMIQUE L’activité économique est cyclique. On peut l’observer par l’évolution cyclique du niveau de production ou du niveau de prix, au cours du temps. (activité = production or forte production = forte demande = inflation) Le cycle le plus connu est celui montré par Kondratiev, dit cycle long ( POLY page 3 2.2. Des modes d’approche différents parmi les capitalistes Deux

de l’activité économique. Si à long terme l’économie enregistre un taux de croissance tendanciel, à court terme l’activité économique enregistre des fluctuations, des cycles, autour de ce trend. La typologie des cycles Les cycles longs Nicolas Kondratiev met en évidence l’existence de cycles dont la périodicité est comprise entre 40 et 60 ans. Ces cycles présentent des caractéristiques communes : - en phase A : les prix, la croissance de l’activité, la production et l’emploi varient dans le même

travaux des économistes qui, de Juglar à Schumpeter en passant par Marx et Kondratiev, ont exploré la dimension cyclique de la régulation capitaliste. Identifiant des cycles plus ou moins longs dans le mouvement des prix, ils les ont mis en relation avec divers facteurs comme la production, le profit, le commerce extérieur ou les investissements. Dans les années 1920, en particulier, étudiant des séries de prix depuis 1789, Kondratiev a repéré des mouvements de longue durée (25 ans), de croissance puis

1933), qui a étranglé l'économie. Or la première partie du cycle est précisément le genre de politique que préconise Keynes. La conclusion de Friedman est par conséquent que la manipulation de la masse monétaire est effectivement active sur l'économie, mais uniquement à court terme et dans un sens négatif, soit en stimulant artificiellement le dispositif économique en cas d'excès, soit en l'étranglant en cas de défaut. À moyen terme, sur un cycle complet, pour le monétariste la monnaie retrouve sa neutralité

qu'il y a croissance lorsque la croissance du PIB est supérieure à la croissance de la population. À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'« expansion », qui s'oppose à « récession », et qui indique une phase de croissance dans un cycle économique. La croissance potentielle estime l'écart entre la croissance mesurée et celle qui serait obtenue avec une pleine utilisation de tous les facteurs de production ; cet écart est minimal au plus fort d'une expansion. Au sens strict, la croissance

mathématisation est donc selon eux un habillage permettant une valorisation scientifique de la matière. On assiste également au début du XXe siècle, à une réflexion pour mettre les mouvements historiques en formule, comme le fait Nikolaï Kondratiev qui discerne un cycle de base pour expliquer les phases d'expansion et de crise en économie politique, ou Nicolas-Remi Brück et Charles Henri Lagrange13 qui, dès la fin du XIXe siècle, ont amplifié leur analyse jusqu'à pénétrer dans le domaine de la géopolitique