Cycle de Kondratiev

variables) ; la hausse générale des rémunérations (coûts directs et indirects, frais fixes et variables) ; l’accès au marché de nouveaux offreurs ; une modification de la technologie du produit ou des produits de substitution (chaque produit a un cycle de vie : il doit constamment être amélioré sinon, il tombe en désuétude, remplacé par des produits plus performants répondant au même besoin) ; etc. Parmi ceux qui modifient la demande : la hausse du budget des demandeurs, quelle qu’en soit l’origine :

qu'il y a croissance lorsque la croissance du PIB est supérieure à la croissance de la population. À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'« expansion », qui s'oppose à « récession », et qui indique une phase de croissance dans un cycle économique. La croissance potentielle estime l'écart entre la croissance mesurée et celle qui serait obtenue avec une pleine utilisation de tous les facteurs de production ; cet écart est minimal au plus fort d'une expansion. Au sens strict, la

Dévaluation du franc français. Cinéma parlant et télévision en noir et blanc. E. Preobrazhenski, Novaia Ekonomika. • 1927 : Premier téléphone transatlantique. Effondrement de l'économie allemande. J. Rueff, Théorie des phénomènes monétaires. • 1928 : N. Kondratiev, Bol'shie Tsikly Kon'iunktury. • 1929 : Plan Young. Krach boursier à Wall Street. • 1929-1933 : Dépression économique mondiale la plus grave du siècle. • 1930 : Création de la Banque des Règlements internationaux (BRI). I. Fisher, The Theory of

production et facteur de production Le travail, n’est pas un moyen de production (ce n’est pas une « chose ») mais un facteur de production. Composition du capital technique : - Le capital fixe : facteur de production utilisé plusieurs fois dans le cycle de production (exemple : machines). Il se déprécie au cours du temps soit techniquement (usure) soit économiquement (obsolescence : quand il est déclassé c’est à dire dépassé à cause de l'apparition de machines plus performantes ou lorsqu’il est non

 sur  l'existence  de  périodes  de  crise.  On  présentera  les  idées   directrices  des  principaux  schémas  explicatifs  des  fluctuations  (chocs  d'offre  et  de  demande,  cycle  du  crédit),  en   insistant  notamment  sur  les  liens  avec  la  demande  globale.  En  faisant  référence  au  programme  de  première,  on   rappellera   le   rôle   des

Théorie du revenu relatif. les théories du cycle de vie et du revenu permanent : ¬! Friedman et Modigliani la consommation est fonction de l’accumulation patrimoniale et du taux d’intérêt. ¬! Les consommateurs peuvent transférer des pouvoirs d’achat d’une période à l’autre : consommation inter temporelle. ¬! Importance du taux d’intérêt car c’est le prix d’arbitrage entre le présent et l’avenir. ¬! Théorie des choix inter temporelles = théorie du cycle de vie = analyse relation entre consommation

commerciales et leur retour périodique en France, en Angleterre et aux États-Unis », le Français Juglar formule la « loi des crises », décrivant des cycles de 6 à 11 ans alternant phases d’expansion et de contraction[6]. - En 1926, le Russe Kondratiev découvre des cycles de longue amplitude (environ 25 ans), superposés aux précédents avec, là aussi, deux phases : o Phase A : hausse globale des prix, des salaires et des profits o Phase B : stagnation ou récession Les

c) les théories du cycle de vie et du revenu permanent : ➢ Friedman et Modigliani la consommation est fonction de l’accumulation patrimoniale et du taux d’intérêt. ➢ Les consommateurs peuvent transférer des pouvoirs d’achat d’une période à l’autre : consommation inter temporelle. ➢ Importance du taux d’intérêt car c’est le prix d’arbitrage entre le présent et l’avenir. ➢ Théorie des choix inter temporelles = théorie du cycle de vie = analyse relation

sorte d'assurance. Ce ne sont donc pas les écarts de revenus qui sont déterminants mais les préoccupations d'assurance contre l'incertitude. Théorie de la démographie et de l'épargne Modigliani, prix Nobel 1985, et Brumberg relient l'épargne au cycle de vie de l'individu. Ils supposent que l'individu cherche à maximiser l'utilité de sa consommation future. Contrairement à Friedman, pour qui la période de maximisation de l'utilité est infinie et donc, que l'individu n'épargne pas seulement pour

mathématisation est donc selon eux un habillage permettant une valorisation scientifique de la matière. On assiste également au début du xxe siècle, à une réflexion pour mettre les mouvements historiques en formule, comme le fait Nikolaï Kondratiev qui discerne un cycle de base pour expliquer les phases d'expansion et de crise en économie politique, ou Nicolas-Remi Brück et Charles Henri Lagrange7 qui, dès la fin du xixe siècle, ont amplifié leur analyse jusqu'à pénétrer dans le domaine de la géopolitique