Cycle des dieux

d’explication de l’existence du monde, conçu comme un être personnel. ( Être éternel, unique, tout-puissant et miséricordieux, créateur et juge. 10) Qu’est-ce qu’un mythe ? ( Œuvre à vocation orale qui explique la création du monde par les Dieux et les implications morales liées à cette création. 11) Qu’est-ce qu’un rite ? ( Ensemble des cérémonies en usage dans une communauté religieuse. ( Cérémonie réglée ou geste particulier prescrit par la liturgie d’une religion. ( Pratique réglée

écrite en 1677, c’est une de ses dernières pièces, 9e tragédie et dernière du cycle grec. Cette œuvre rend compte des caractéristiques du Classicisme. Phèdre, la femme de Thésée, roi d’Athènes, aime Hippolyte, le fils de Thésée. Phèdre, croyant Thésée mort, avoue ses sentiments à Hippolyte mais Thésée revient et Phèdre lui ment : elle lui dit qu’elle a été séduite par son fils. Thésée, fou de rage, implore les dieux pour qu’ils le punissent. Hippolyte meurt mais finit par se douter de quelque chose

cérémonies religieuses , et est utilisé comme offrande divine . Le vin est un produit de luxe permettant de faire l’intermédiaire entre l’homme et le divin. Il s’agit souvent d’un breuvage d’immortalité offert aux dieux pendant les cérémonies religieuses. On retrouve là encore le lien entre l’homme, Dieu, et l’immortalité . Les romains, eux, lui ont trouvé un dieu : Bacchus qui est le Dieu du vin, mais aussi de la Vigne

jours les intentions qui importent. Ce comportement ce mari fort bien avec l’adage «la fin justifie les moyens». Charlotte Goëtz-Nothomb nous explique une évolution flagrante du mode de vie du héros. En effet, le héros antique se battait contre des dieux, des créatures, des montres... L’ennemi venait de l’extérieur et le combat était, le plus souvent, physique. Le héros figurait un idéal, un modèle d’excellence à atteindre.  Cependant, au fil des siècles, le combat a évolué, il n’est plus de même nature

2- La portée politique A partir de 534 av. JC, les Dionysies urbaines devinrent de véritables fêtes nationales et les représentations théâtrales le moyen de faire participer tout un peuple à la célébration d’un passé légendaire tissé de mythes, de dieux et de héros valeureux. La cité organisait les festivités, les citoyens les plus riches assumant les frais car le spectacle était gratuit. Le théâtre était alors vraiment l’expression d’une culture populaire qui parvenait à fédérer tout une communauté

des siècles la faculté de se déplacer instantanément là où ils le désiraient. Contrairement aux habitants des autres royaumes, qui vénéraient divers membres du panthéon des Ghariyals, les Sholiens n’accordaient leur confiance qu’au père de tous les dieux. Hawke n’était pas né dans leur pays de neige et il n’avait pas eu le bonheur d’étudier auprès de leurs grands maîtres. Il avait vu le jour chez les Elfes, un peuple tout aussi pacifique que celui des Sholiens. Hawke avait appris, depuis, que

le théâtre et d’autres formes d’art (architecture, sculpture…) ont une origine sacrée, religieuse, cultuelle. La littérature et les arts sont nés du culte, de l’hommage que l’homme vouait à ses dieux et qu’il cherchait à imiter. (Platon) L’art relève de la création. (Aristote) On représente les dieux par le récit oral, le théâtre, la danse, la musique et la sculpture et ce de manière symbolique. Carl Gustave Jung parle d’ « inconscient collectif » : fonds culturels communs de l’humanité transmit

DIEU DIEU Eparpillé A-T 15 Millions Christianisme Eternité DIEU DIEU Monde Bible 1.4 Milliard Hindouisme 1500 AV- JC Aucun BRAMA Inde VEDAS 750 Millions Shintoïsme 660 AV- JC Aucun Dieux de la Nature Japon KO JI KI et NIHON GI 112 Millions Zoroastrisme 660 AV- JC ZOROASTER AHURA MAZDA Perse et Inde AVESTA 200 000 Taoïsme 604 AV- JC LAO-TZE Le Tao Chine TAO TEH KING 55 Millions

(correspondant au département de l'Eure et Loir aujourd'hui) un conseil de druides. Les druides échangeaient sur de multiples sujets : l'immortalité de l'âme, la morale, les astres, les dieux ou encore l'origine du monde. C) La religion chez les Gaulois Les Gaulois sont polythéistes. Ils croient en plusieurs dieux. Ils honorent notamment Teutatès, le dieu de la guerre, ou encore Epona, la déesse protectrice des vivants et des morts. Les gaulois croient en la réincarnation de l'âme. C'est pour

patrimoine ». René Nouailhat, La question religieuse dans l’enseignement, Congrès ADDEC novembre 2007. Ainsi, dans le palier 5 du socle commun dédié à la culture humaniste, connaissances et capacités attendues font mention du fait religieux pour le cycle 3 et les classes de collège. Les 1 domaines concernés sont l’histoire-géographie, le domaine littéraire, les arts plastiqueséducation musicale. Et comme l’affirmait Régis Debray dans le Guide républicain en 2004 : « Le fait religieux s’inscrit