Céline La Torture Du Cochon

possible de statuer sur votre sort, grâce à une meilleure élaboration du dossier – par exemple à la faveur d’une enquête permettant de renforcer la conviction et de documenter la décision, ou de l’infirmer. En réalité, elle est 1. Anne Alcaraz et Céline Gleize, « Sanctions disciplinaires : attention à l’amnistie présidentielle », sur le site de L’Entreprise.com : www.lentreprise.com/3/1/4/article/12211.html. 36 © Groupe Eyrolles Les différents types de querelles, leur enchaînement possible

notre travail sans le secours de Danielle Goussot, ingénieure de recherche au Centre Zola (C.N.R.S. / Item), qui nous a orienté dans la littérature de la critique zolienne. Toute notre reconnaissance à Sahra Dilmi, à Patrick Riard, à Gaëlle Cueff à Céline Daché, à Antonia Guerrero, à Thomas Demoulin, à Michelle Mocrette, à Cécile de Cossé Brissac, à Claude Tuduri du C.I.S.E.D., pour avoir lu et relu nos brouillons et en avoir discuté très longuement afin de donner la place à l’Autre dans ce travail

beau demain. 12 13   1. Remise dans l’ordre du texte. a. « Qu’est-ce que vous avez, mon ami ; vous n’êtes  pas malade ? » e. Il reprit : « Non, ma chère amie, mais je veux vous demander  une chose qui pour moi a beaucoup d’importance,  et qui me torture le cœur. Me promettez-vous de  me répondre franchement ? » d. Elle sourit. « Je suis toujours franche. Dites. c. – Voilà. Je vous ai aimée du jour où je vous ai vue.  Vous en étiez-vous doutée ? » b.  Elle  répondit  en  riant,  avec  quelque  chose 

partir de radicaux distincts (ex. : homme / femme, bélier / brebis). Retenez les correspondances fréquentes en concours : - jars / oie - lièvre / hase - parâtre / marâtre - sanglier / laie - taureau / vache (bœuf : mâle châtré) - verrat / truie (cochon est générique) - chien de chasse / lice - étalon / jument (cheval est générique) - gendre / bru 140 2 Orthographe grammaticale Le nombre La construction du pluriel du nom et de l’adjectif Règle générale Le nom et l’adjectif forment

mémoire comme nous allons le voir à présent. Effectivement, en perdant son regard dans le miroir déformant du souvenir, (« Oh le souvenir ! le souvenir ! miroir douloureux, miroir brûlant, miroir vivant, miroir horrible, qui fait souffrir toutes les tortures » [C.N., II, p. 940]), en fouillant sans cesse dans les cendres du passé, dans ce qui est mort, Jeanne s’éloigne de la réalité, la seule à même de lui donner toute substance : elle « revivait surtout dans le passé, dans le vieux passé, hantée par