Céline Mourir Ou Mentir

Dissertation littéraire Céline – Voyage au bout de la nuit – (édition folio) Énoncé: «La plupart des gens ne meurent qu'au dernier moment; d'autres commencent et s'y prennent vingt ans d'avance et parfois davantage. Ce sont les malheureux de la terre.» p.36 Reformulation: Nous sommes malheureux lorsque nous nous représentons notre mort tôt, car nous ne jouissons plus du présent. Introduction: Dans Voyage au bout de la nuit, Céline aborde plusieurs thèmes, dont celui de la fascination

la nuit « La vérité de ce monde, c’est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. » Dans Voyage au bout de la nuit, Céline nous ramène en permanence devant le thème de la mort. Principalement lorsque Bardamu se trouve à la guerre et lorsqu’il se rend en France. Mais le personnage de Voyage au bout de la nuit exerce, de mieux en mieux au fil du livre, le seul moyen pour échapper à cette mort : le mensonge. La mort pour Céline, c’est la fin vers quoi tend toute chose. Néanmoins chaque être va

1- « Voyage au bout de la nuit » est un roman largement inspiré de la vie de Céline, (Ferdinand Bardamu est l’alter ego de Céline), l’auteur s’inspire dans son expérience dans la médecine, et de son expérience de la première guerre mondiale, qui lui a ouvert les yeux concernant l’absurdité de la nature humaine. Céline révèle ainsi dans son roman l’absurdité du monde et de la guerre, qu’il ira jusqu’à qualifier ‘d’abattoir international en folie’. Dès le démarrage, le ton est ironique voire sarcastique

vraie maitresse des véritables hommes. » Louis-Ferdinand Céline, voyage au bout de la nuit « Faire confiance aux hommes c'est déjà se faire tuer un peu. » Louis-Ferdinand Céline, voyage au bout de la nuit « Le goût de la vérité à tout prix est une passion qui n'épargne rien et à quoi rien ne résiste. » Albert Camus «  Les gens n'ont rien à se dire, ils ne se parlent que de leurs peines à eux chacun, c'est entendu. » Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit «Si on supposait qu'à la

| | |Enfin le XXème siècle goûte particulièrement ce type de héros faible: | | |Kafka, Céline, Camus, Sartre | |XVIIIème: Tous les héros des romans « romanesques » de Dumas: Le Comte| | |de Monte-Cristo, les Trois Mousquetaires

Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline * L’Auteur :   Louis- Ferdinand DESTOUCHES (1894-1961), plus connu sous le nom de sa grand-mère Louis- Ferdinand CELINE, est médecin et écrivain français. Il participe à la Première Guerre Mondiale, est blessé puis décoré. Il travaille ensuite pour une compagnie de traite qui l’envoie en Afrique. Ayant écrit des pamphlets antisémites dont Bagatelles pour un massacre (1937), il critique également le régime de Vichy, les gaullistes, les communistes…Obligé

Extraits de l’œuvre Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline Page 8 : « L’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches et j’ai ma dignité moi ! » Page 60 : « La meilleur chose à faire, n’est-ce pas, quand on est dans ce monde, c’est d’en sortir ? Fou ou pas, peur ou pas. » Page 78 : « L’amour c’est comme l’alcool, plus on est impuissant et soûl et plus on se croit fort et malin, et sûr de ses droits. » Page 78 : « Après tout, pourquoi il n’y aurait-il pas autant d’art

est-il révélateur du caractère du personnage ? 3- HUGO, Les Misérables, 1862 lignes 1 à 21 : Comment Hugo approfondit-il le portrait du "gamin ébauché plus haut" ? 4- CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932 En quoi peut on considérer dans cet extrait Bardamu comme un antihéros ? Quelle image du héros Louis Ferdinand Céline nous donne-t-il dans cet extrait? En quoi Bardamu fait-il ici figure d’antihéros ? 5- CAMUS, L’Etranger, 1942 Quelle image l’auteur nous offre-t-il de son « héros » ?

qu'il n'y a pas que l'amour qui existe . Car sans amitié nous ne serons rien du tout ! ♥ J'ai toujours eu l'habitude de tout exagérer. Quand j'avais froid, je gelais. Quand je saignais, je faisais une hémorragie. Quand j'avais mal, j'étais entrain de mourir. Quand je me coinçais le doigt dans une porte, j'allais être amputée. Quand j'avais un 0/10 je disais que j'allais redoubler. Quand je rentre en retard chez moi et que je dis que j'ai couru pour rentrer alors que je trottinais. Quand je dis que je

contre ») _Tout comme les principaux romans picaresques, Céline a adopté un point de vue interne : Bardamu est à la fois protagoniste et auteur _A la fin de Voyage, Bardamu a aucunement évolué de manière positive, il semble même régresser de pages en pages (Quand Bardamu est au combat « « Je suis le seul à savoir ce que je veux : je ne veux plus mourir. » alors qu’à la fin « La vérité de ce monde c’est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n’ai jamais pu me tuer moi. ») _A l’instar des romans